Il profite d'abord de son corps tant qu'il peut encore

-Vous savez, moi aussi, je m'intéresse un peu au tennis. Vous faites beaucoup parler de vous, mais pas en bien. Vous insultez les arbitres, vous cassez votre raquette, ça me semble surprenant pour une femme de 37 ans. Mais ça me semble parfaitement normal pour une adolescente.

-Qu'est-ce que vous racontez ? Ça suffit, je m'en vais tout de suite.

-Stop !

Serena venait de se lever et de se diriger vers la porte, mais le mot prononcé par John la figea instantanément, comme si un champ magnétique entourait son corps et l'empêchait de faire le moindre mouvement. John se leva à son tour et lui fit face. La sportive était bloquée en plein mouvement. Seuls ses yeux parvenaient encore à bouger, et roulaient à droite et à gauche, terrifiés.

-Je vais m'occuper de ton cas, Serena, mais avant, je vais m'amuser un peu.

-Ngggg...

John saisit Serena et la retourna, avant de la plaquer contre son bureau.

-Dans une heure, je n'aurai plus le droit de faire ça, alors j'en profite tant que j'en ai encore le temps.

John déboutonna le pantalon de Serena et le descendit jusqu'à ses genoux, avant de faire de même pour sa culotte. Quand elle comprit ce qui l'attendait, Serena écarquilla les yeux, incapable de s'enfuir ou de protester. Sans prendre la peine de dire quoi que ce soit d'autre, John défit sa propre braguette et sortit sa bite. Il agrippa violemment les fesses de Serena et s'enfonça dans son cul jusqu'à la garde.

-Nggggg...cria Serena, les larmes coulant le long de sa joue, tandis que John commençait ses coups de boutoir, lent d'abord, puis de plus en plus rapides.

-Bordel, s'écria John en lui claquant les fesses, tu es tellement étroite. J'adore ça.

Serena assistait impuissante à son propre viol, comme si elle n'était qu'une spectactrice lointaine. Mais la douleur qu'elle ressentait lui rappelait que c'était bien d'elle qu'il s'agissait.

-Nggg...ngggg...nggg... gémit-elle au rythme des va et viens de John.

John malmena son cul pendant une bonne dizaine de minutes, sans douceur, sans pitié, insensible à ses gémissements. Serena en était arrivée à croire que ça n'en finira jamais, quand elle sentit soudain son cul se remplir de sperme et John soupirer de contentement. Quand il se retira enfin, laissant un long filet de sperme entre son gland et le trou qu'il venait de quitter, John se remit en marche vers son bureau et s'assit dans son fauteuil, avant de claquer des doigts.

Serena sentit ses jambes se dérober sous elle et s'effondra par terre, le cul encore à l'air.

-Qu'est-ce que...comment...tu vas payer, enculé.

-La seule enculée ici, c'est toi, Séréna, s'esclaffa John.

La sportive essaya tant bien que mal de se relever, en proie à des sanglots violents et à des haut-le-corps.

-Ne t'en fais pas, c'est bientôt fini.

-Non, attendez, je...

John claqua des doigts, figeant à nouveau Serena dans son mouvement. Il fit craquer ses phalanges. C'était l'heure de se mettre au travail.