Gal est entièrement docile

Quand John arriva le matin, il fut accueilli par Gal qui venait l’accueillir en trépignant de joie. L’ancienne actrice exprimait une joie à l’état pur à la vue de son maître. Elle le rejoignit en marchant à quatre pattes. John se pencha pour se mettre à sa hauteur et lui caresser les cheveux, et Gal lui embrassa frénétiquement le visage.

Les choses s’étaient enchaînées assez rapidement depuis un mois. Peu à peu, la méthode de John, malgré sa cruauté, avait montré des résultats. Peu à peu, Gal mettait de moins en moins d’applomb à résister à son ravisseur. Avec le temps, elle en était arrivée à oublier que c’était par peur de la souffrance, et l’idée qu’elle avait réellement envie de satisfaire son maître avait fini par s’installer.

Après deux semaines, elle avait oublié comment se tenir sur ses deux jambes et cavalait désormais comme une chienne à travers les bureaux de John. Une semaine plus tard, elle avait perdu l’usage de la parole et ne parvenait désormais qu’à haleter et pousser des couinements.

Peu à peu, elle avait tout oublié. Sa carrière, sa famille, sa vie avant d’entrer dans le bureau de John. Elle ne se souvenait plus à quoi ressemblait le monde extérieur. John avait fini par retirer le bâillon et la ceinture quand il avait compris qu’il n’en avait plus besoin pour obliger Gal à se tenir tranquille. A présent, elle marchait à quatre pattes, nue comme un ver, prête à obéir à la moindre demande de John.

John était assis à son bureau, planifiant son prochain rendez-vous sur son ordinateur, quand il sentit soudain un poids sur son genou. Il baissa les yeux et vit que Gal y avait posé son menton et le fixait désormais de ses grands yeux candides. Il sourit en comprenant ce qu’elle attendait.

-Tu y as pensé toute la nuit, hein ? Allez, j’ai justement un moment de libre.

John se leva et aussitôt, il vit Gal trépigner d’excitation alors qu’il se mettait à genoux derrière elle. Il défit sa braguette pendant que l’ancienne actrice frottait ses fesses contre lui. Quand il la pénétra en levrette, Gal se mit à couiner, d’abord doucement, puis de plus en plus fort, pendant qu’il accélérait le rythme. L’actrice réduite au rang de bête haletait, sentant l’orgasme monter en elle.

Elle jouit avant John, finalement, poussant un hurlement semblable à celui d’un loup. John se retira, encore dur, et fit signe à Gal de se tourner vers lui, sans arrêter de se masturber. Gal fit face à sa bite, comprenant ou il voulait en venir, et ouvrit la bouche en tirant la langue, le regard brillant d’excitation.

John éjacula directement dans sa bouche. Il vit la langue gourmande de Gal lécher les gouttes de sperme tombées ailleurs sur son visage, avant d’avaler goulûment sa semence. Finalement, elle parcourut le gland de John de sa langue pour s’assurer qu’elle avait bien tout nettoyé, avant de pousser un soupir de contentement.

-C’est bien, Gal, c’est une bonne Gal, ça !

Gal Gadot, vedette d’Hollywood, trépigna de joie en entendant ces mots. John retourna sur son ordinateur et décida de regarder les infos.

Cela va faire bientôt un mois que l’actrice Gal Gadot, interprête de Wonder Woman, a disparu sans laisser de traces. Les soupçons se portent sur son mari, qui l’a copieusement insultée quand la police est venue l’interroger. Les enquêteurs piétinent pour le moment.

John regarda l’intéressée, qui reniflait les environs en parcourant la pièce à quatre pattes, et éclata de rire. Il se demanda comment réagiraient les fans de l’actrice s’ils la voyaient comme ça. Finalement, il haussa les épaules et se remit au travail.