Attaquer les SJW

Pour devenir un criminel, il faut une ou des victimes.

Et il existe un groupe tout trouvé pour ça. Un groupe qui prétend toujours être victime des autres : les SJW.

Dedans, on pouvait par exemple trouver :

• les gros qui trouvent anormal qu’on se moque d’eux, alors qu’ils empiffrent comme des porcs.
• Les noirs et les arabes qui pensent qu’ils sont discriminés, alors qu’ils vont en entretien d’embauche en jean et baskets.
• Les homos qui passent leur temps à agir comme des cocottes et qui s’étonnent de se faire traiter de tapette.
• Les femmes qui dès qu’on leur parle un peu crûment pensent qu’elles se font violer.
• Les végétariens et végans qui traitent de criminels ceux qui mangent un bon steak, mais que ça ne dérange pas d’attaquer des bouchers.
• Les musulmans qui se disent victimes de persécution alors qu’ils mitraillent les gens dans la rue à la première occasion.
• Les féministes qui pensent que tout est la faute des hommes, mais sont infoutus de se gérer une boite ou de se faire élire sans discrimination positive.
• Les écolos qui affirment qu’on détruit la planète avec nos voitures, mais que ça n’empêche pas de prendre l’avion pour faire des conférences à la con.
• Les lesbiennes qui haïssent les hommes, mais que ça ne dérange pas qu’une autre femme soit enceinte à leur place.

S’ils voulaient jouer les victimes, j’allais leur donner une bonne raison de se plaindre pour une fois.

Et trouver une de ces personnes était la facilité même. Il suffisait de créer un compte Twitter et d’écrire un propos outrageant. Quelques minutes plus tard, un flot de SJW (des guerriers de la justice sociale) allait débarquer pour expliquer que je n’ai pas le droit de dire ça, et d’exiger des excuses. Mais cette fois-ci, il n’y aurait pas d’excuse. Je n’aurais qu’à piocher l’une des réponses et remonter à sa source grâce à la télécommande. Et alors on s’amuserait…