Une nouvelle.

Il se passa plusieurs heures.

Dans leur vestiaire attitré, l'équipe de Zania n'était pas dans le meilleur des état.

Les soigneurs de l'arène avaient été capables de refermer les blessures, mais les douleurs étaient toujours là.

Néanmoins, les muscles et tendons criant leur douleur étaient de loin le moindre de leurs soucis.

Entre la détresse mentale que leur avait infligé le mage et la honte que ressentait toujours l'amazone, un lourd silence s'était installé depuis qu'elles étaient revenues, chacune s'occupant machinalement dans son coin en attendant que le vainqueur vienne chercher son dû.

Au loin, elles avaient entendu l'arène se vider, la zone de combat ne serait pas utilisée avant le lendemain, et les autres combattants, du moins ceux qui n'étaient pas en train de vider chope après chope à la taverne au-dessus, avaient déjà quitté les lieux.

Aussi, il ne fut guère difficile de savoir qui frappait à leur porte, et il aurait été futile de faire plus longtemps durer ce contraignant moment.

"Alors? Que veux-tu?" demanda simplement l'amazone, ne prenant pas la peine de saluer l'homme entrant dans le vestiaire accompagné par ses acolytes, ces dernières visiblement en pleine forme.

"Allons les filles! Le combat est fini, pourquoi donc ces têtes de déterrées?" demanda l'homme, rayonnant en comparaison de l'état des guerrières face à lui.

"Ta gueule, mage à la con! On a peut-être perdu, mais ne viens pas te foutre de nous!" cracha Reb, ne se rendant pas compte qu'elle venait de s'empoigner les avant-bras par réflexe, la douleur des fractures ouvertes toujours présentes.

Les autres étaient moins bruyantes, mais le sentiment était visiblement partagé.

Secouant la tête en soupirant, le mage leva les mains en signe de reddition.

"Paix, paix. Vous voulez savoir ce que je demande? Très bien..."

Fouillant son Havresac sous les yeux méfiants des femmes, il en sortit plusieurs bouteilles d'alcool.

"Trinquons!"

"...quoi?" finit par demander Zania, aussi lasse que surprise.

Ses amies laissant échapper un petit rire amusé, John poursuivit.

"Dans ce tournoi, on a affronté une équipe de vieux cons qui ont vite déchanté et un noble trou-du-cul que j'ai pris plaisir à corriger. Mais vous, si on exclut quelques divergences d'opinion, c'était un combat plutôt sympathique, non?"

Serrant le poing en claquant la porte, l'amazone vint lui empoigner le col.

"Sympathique?! Tu as usé de...je sais même pas de quoi il était question! Mais en tout cas, ce n'était en rien honorable!"

Penchant la tête de gauche à droite, comme pour habilement choisir sa réponse, l'homme acquiesça.

"Oui, c'est vrai...vous allez me reprocher d'avoir utiliser mes capacités du mieux possible? Si vous aviez perdu contre un épéiste, vous lui auriez reproché sa maîtrise de l'épée?"

"Ce...c'est pas pareil!" défendit l'orc.

"En quoi? La magie est un outil, comme le sont l'arc et la lance. Pensez-vous que, si vous rencontrez un ennemi sur le terrain, il vous affrontera honorablement? Vous n'êtes pas crédules, tout de même? On use de ce qu'on a, rien de moins, c'est normal lors d'un affrontement."

L'air on ne peut plus sincère de l'homme perturba bien plus l'amazone que s'il lui avait crié dessus.
Car au fond, elle se rendait bien compte qu'il avait raison, même si c'était blessant.

"...Pourquoi vouloir trinquer avec nous? Vous êtes victorieux et nous avons perdu, nous n'avons rien à faire ensemble."

"Connerie! Vous avez permis à mes compagnes d'apprendre pas mal de choses pendant vos affrontements. Et puis merde, c'était un combat amical, pas un guerre à mort."

"Je t'aurais tué si je l'avais pu, j'y songe encore." avoua sans crainte l'amazone.

"J'espère bien, être aimé de tous serait des plus ennuyeux. Néanmoins, et parce que je sais que vous avez à cœur d'être bien vite débarrassées du fardeau de votre dette, les filles et moi-même nous sommes dits que, quitte à boire un coup, autant le faire avec vous. Il y a ça et...Ambre, tu leur dit?"

Avançant à son tour, la fée ayant repris sa forme normale, mais à taille humaine, leur sourit.

"Vous souffrez toujours, pas vrai? Les soigneurs de l'arène sont loin d'être les meilleurs du royaume. Nous avons des potions et des onguents du tonnerre. J'imagine que vous ne voulez pas perdre trop de temps en convalescence, alors si vous voulez..."

"On le connait, le coup du poison, merci bien!" cracha Kraka.

"Votre amie elfe n'est pas morte, que je sache? C'est pourtant le même genre de produit que j'ai utilisé pour sa jambe."

Forcément intéressées par ce qu'avait à dire leur amie, les autres guerrières se tournèrent vers Felia qui, jambes à nue, ne pouvait qu'aller dans ce sens.

"C'est triste à dire, mais ils ont raison. Je n'ai jamais vu une blessure se refermer aussi vite sans potion de soin d'un niveau supérieur. De plus, j'ai bien prêté attention aux éventuels effets secondaires, et à part une douce chaleur dans ma chair, je n'ai rien ressenti."

"La chaleur est un résidu de la magie utilisée dans la fabrication, elle est là pour s'assurer que la blessure ne se réouvre pas." Expliqua Ambre.

"...t'es sûre de toi, Felia?" finit par demandé Reb, incertaine.

L'elfe acquiesçant, l'orc présenta ses bras endoloris.

"Si vous dites vrai...je serai pas contre une guérison plus rapide de mes bras..."

"Je m'occupe d'elle." dit Giriel, empoignant la petite bouteille contenant de l'onguent.

Étonnée de voir la louve s'approcher, l'orc fut d'autant plus surprise lorsque cette dernière la fit assoir sur l'un des bancs, montrant qu'elle était plus forte que ce qu'il paraissait.

"T'es pas rancunière..." nota la guerrière.

"J'ai perdu mon sang-froid et tu m'as battue, il n'y a pas de rancune à avoir...et puis John t'a bien punie en retour, alors ça va..." répondit la louve, un petit sourire carnassier lui passant sur les lèvres alors qu'elle se badigeonnait les mains du produit, commençant à doucement masser les membres endoloris de la grande guerrière.

"J'imagine que c'est vrai...c'est vrai que c'est efficace!" dit soudainement l'orc, elle-même surprise par la rapidité avec laquelle ses muscles se détendaient, la chaleur du produit se propageant en elle par vagues des plus agréables.

"Ben voilà, on avance! Alors pour le reste...on a mis la main sur quelques bouteilles pas mal au cours de nos voyages...vous pensez quoi de la liqueur elfique?" proposa John en montrant une élégante bouteille finement ciselée.

"Liqueur elfique?" répéta Felia, soudainement intéressée si l'on en jugeait à ses oreille légèrement dressées.

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"Et je te dis que non!" répéta l'amazone, son verre vide toujours à la main.

Près d'une heure après, l'ambiance était pour le moins différente.

Quatre bouteilles de différents alcools avaient déjà été vidée, et s'était à présent un tonnelet qui se faisait joyeusement dégusté par les deux groupes, certains plus adeptes que d'autres des différentes boissons.

Au fur et à mesure, les quatre guerrières s'étaient un peu déridées, les soins apportés à l'orc et l'elfe aidant ces dernières à briser la glace.

"T'es grave, quand-même! Vous ne naissez pas dans les choux tout de même?!" questionna John, hilare face à l'obstination de la femme.

"Les amazones n'ont pas besoin d'hommes, ni aujourd'hui ni jamais! Nous faisons l'honneur à certains d'une nuit en notre compagnie, mais aucun n'est autorisé en notre royaume! Ainsi, nous restons un peuple fort!"

"Et donc...sans cette nuit passée avec un homme, votre peuple si fort péricliterait en une génération..." rétorqua le mage en riant, ses amies l'imitant.

"Pauvre con!" cracha la guerrière, menaçant de lui lancer son verre.

Néanmoins ,lever le bras lui fit serrer les dents.

Elle s'était abstenue de recevoir d'autres soins, et ses muscles la faisaient grandement souffrir.

"Tu refuses à ce point notre aide que tu préfère souffrir pour rien?"

"Tu ne me toucheras pas!" promit-elle, pointant un doigt accusateur sur l'homme.

"Abandonne, mon grand, c'est une cause perdue...et moi, j'ai le droit de te toucher ou pas? Je suis une femme après tout, et sans les soins de mes amies, je serais sans doute brisée après ce que tu m'as fait..." rappela Samia, un petit sourire en coin venant narguer la cheffe de groupe.

"JE N'AI....c'était un combat...et puis j'étais énervée à cause de lui..." se défendit un peu la femme, calmant tout de même sa fureur face à l'halfeline.

"Et puis...je refuse de me dévoiler alors qu'il est là!" se reprit-elle, trouvant une nouvelle excuse pour ne pas se laisser approcher.

" Zania, je te rappelle qu'on a des bains privés dans nos vestiaires..." dit Felia.

L'amazone la foudroya du regard, mais l'orc la seconda.

"T'es la cheffe de notre groupe, Zania. On a pas envie de te savoir mal alors que tu as moyen de te faire soigner ici et maintenant."

"Je jure de ne pas jouer les voyeurs." promit le mage, une main sur le cœur.

"Si il essaie, on le tue pour toi." ajouta Kraka, vidant un autre verre servi par Ambre, les deux ayant à elles seules terminé ce qui devait être une liqueur forte si l'on en croyait le rouge à leurs joues.

"....très bien. Suis-moi, halfeline." ordonna la guerrière, ouvrant la marche vers une des portes au fond de la pièce.

"À plus tard..." chantonna la voleuse, attrapant le produit en faisant un petit clin d'œil à son amant avant de suivre l'amazone.

Ce ne fut qu'une fois la porte fermée que John, pouffant un instant, poursuivit.

"Je pleins celui qui lui servira pour une nuit...elle va le briser en deux."

Ne pouvant s'empêcher de rire à l'idée, Reb serra les dents, se tenant un instant le ventre.

"Un problème?" s'inquiéta Giriel, attrapant le verre de l'orc pour éviter qu'il tombe.

"Demande à ton pote, c'est lui qui ma enfoncé les abdos..." rétorqua la grande guerrière, fusillant un instant le concerné du regard.

"Tu aurais dû me le dire plus tôt, laisse-moi t'aider..." proposa Giriel en reprenant le flacon d'onguent déjà bien entamé.

"Hé! Attend un peu..." s'opposa un instant l'orc lorsque la louve souleva sa tunique pour révéler son ventre musclé.

"Ne soit pas bête, je veux juste t'aider...tes bras ne vont-ils pas mieux? Tu ne te sens pas bien?"

"Si...je me sens bien mieux déjà...depuis tout à l'heure." admit la femme en daignant s'incliner un peu en arrière, s'appuyant sur ses coudes contre le banc pour offrir son ventre à la louve.

Et le contraire aurait été étonnant, car entre les fluides de John dans l'alcool, les médicaments ou encore les phéromones qu'il relâchait doucement dans l'air depuis tout à l'heure, un bien-être généralisé avait doucement gagné les femmes autour de lui, même si la moitié d'entre-elles étaient bien évidemment ses complices.

Ambre, tout particulièrement, s'était de suite dévouée pour occuper la lézakine, cette dernière depuis déjà plusieurs minutes subjuguée par la charmante fée s'occupant de lui offrir une délicieuse liqueur tandis qu'elle lui massait les tempes, lui faisant doucement oublier la terreur que lui avait procuré cet horrible mage.

Lin-Lin, ayant à cœur d'en apprendre plus sur la technique de l'elfe, lui avait proposé de lui passer une seconde couche d'onguent sur la cuisse, justifiant ce contact par une sécurité pour éviter quelconque séquelle. L'alcool et l'aphrodisiaque déjà en elle aidant, elle était à présent allongée sur le ventre, la pandakine faisant pénétrer plus encore la grasse mixture de ses doigts agiles.

"Je vais refaire le plein d'alcool..." dit distraitement John, accordant un clin d'œil à Ambre en sortant de la pièce.

Tout cela faisait bien sûr partie du plan, il attendrait la suite non loin en laissant à ses amantes toute liberté, n'étant là que pour leur prêter main-forte en cas de problèmes, si problèmes il devait y avoir.

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"Hihi! C'est trop drôle!" rit Ambre, se balançant d'avant en arrière, appréciant sa nouvelle anatomie qu'elle faisait apparaître et disparaître à l'envie, s'entrainant autant que ses amies pareillement équipées.

Quelques temps avant de rejoindre le vestiaire de l'équipe adverse, une fois qu'il eut récupéré assez de mana et que les produits furent prêts, John s'était occupé de ses amies, chacune d'elle plus que ravie de découvrir les nouvelles capacités de leur maître, et ce dans les moindres détails.

"Et maintenant? Que faisons-nous? Tu vas t'occuper d'elles?" demanda la fée.

"Moi? Du tout, ou presque pas. C'est vous qui avez été malmenées, c'est à vous que revient le plaisir de les dominer. Et puis, après tout...vos conquêtes sont aussi les miennes, alors j'adorerais vous voir vous amuser..." conclut l'homme avec un sourire mauvais.

"On a carte blanche?" demanda Giriel.

"Elles sont toutes à vous, mais je vous suggère de les prendre à part, et de les affaiblir un peu avant, d'où mes concoctions..."

"Je prends l'orc!" clama Giriel, un sourire prédateur aux lèvres.

"Cette lézarde à voulu me bouffer, je la veux!" ajoute Ambre.

"Si tu es d'accord, j'ai un compte à régler avec l'elfe." proposa Lin-Lin.

"L'amazone m'a brisé plusieurs os, je me ferai un plaisir de la faire souffrir tout autant...mais, mon chou, reste quand-même aux aguets, juste au cas où..."

"J'ai une idée pour t'aider, ma petite voleuse...pour vous aider toutes..." répondit simplement le mage, autorisant d'un geste ses femmes à faire ce qu'elles voulaient, ce qui les ravit au plus haut point.

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Le vestiaire des anciennes championnes était assez vaste, ce qui permit aux quatre compagnes du mage de doucement isoler leur proie à leur façon.

"Tu...ça chatouille!" avoua l'orc, se tortillant un peu sous les mains de la louve qui, infatigable, massait avec une douce pression les abdominaux de la guerrière, faisant entrer en elle encore un peu plus de l'onguent médical.

"Pardon, c'est dérangeant?" demanda-t-elle en retour, une pointe de connivence pouvant être entendue dans sa voix.

Posant les yeux sur la louve, l'orc se surprit à apprécier la chaleur qu'elle lui procurait, ou peut-être était-ce l'alcool qui la faisait un brin halluciner, toujours était-il que, venant poser ses mains sur les siennes, elle secoua un peu la tête.

"Non...continue, s'il-te-plaît."

Un soupir de bien-être fut entendu dans la pièce quand, appuyant visiblement sur un nœud, Lin-Lin fit se raidir l'elfe qui, les yeux fermés, se détendait comme jamais.

"Comment fais-tu ça?...On ne m'a jamais massé de la sorte..."

"Notre cher mage est parfois assez dur lors de nos entraînements. Les muscles endoloris, on connait...et ici? Tu sens quelque-chose?"

Appuyant sur les cuisses, juste sous les fesses, la pandakine laissa un peu de son mana voyager vers l'elfe, lui déclenchant un petit cri de surprise alors que, de plaisir, elle se raidit.

"C'était quoi?!" demanda-t-elle, se tournant vers sa masseuse.

"Mon mana. John m'a appris à l'utiliser pour...comment dire...améliorer ma technique? Tu veux en ressentir plus?"

Présentant ses mains, l'anikine entrecroisa ses doigts avec ceux de l'elfe, laissant doucement voyager son mana vers elle.

Ce qu'elle ne lui avait bien sûr pas dit, c'était que son attention était tout particulièrement dédiée à faire réagir l'essence de son maître déjà présente en Felia, ce qu'avait déjà ingurgité et respiré la guerrière vibrant pour répondre à l'appel de Lin-Lin qui, un sourire séduisant aux lèvres, déclencha une vague de chaleur érotique chez sa cible.

"C'est...intéressant..." parvint à souffler Felia, ne pouvant avouer que, déjà, son entre-jambes s'humidifiait à vue d'œil.

Un peu à l'écart, Ambre était assise derrière Kraka, la tenant contre elle en la faisant doucement boire à son verre après y avoir laisser couler un peu de salive pour la mélanger à son vin.

"Tu es sûre que c'est bon? Je sais que j'ai été...insistante...pendant le match, mais si..." demanda la lézakine, l'essence du mage la rendant un brin timide face à la confiante fée.

Posant un doigt sur ses lèvres écailleuses, Ambre lui fit doucement tourner la tête pour plonger son regard dans le sien.

"Nous étions adversaires...plus maintenant...tu veux toujours savoir quel goût j'ai?"

Ne la laissant pas réfléchir un instant de plus, elle posa doucement ses lèvres sur les siennes, allant chercher sa langue avec la sienne.

"Alors? ai-je une saveur agréable?" demanda-t-elle ensuite, un petit sourire taquin aux lèvres.

Caressant à son tour la joue de la fée, la lézakine déposa à nouveau ses lèvres sur les siennes, cherchant à lui voler plus de salive avant de lui lécher le cou, collant son visage au creux de son épaule pour mieux respirer son odeur.

"Il y a quelque-chose chez toi...chez vous toutes...que je n'arrive pas à comprendre. Une odeur, un fumet particulier, enivrant...qu'est-ce que c'est?..."

Surprise par les dents de la fée lui mordillant l'oreille, elle en oublia un instant sa question.

"J'ai bien une idée sur comment tu pourrais le découvrir..."

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"Comment faites-vous pour le supporter?! J'ai constamment envie de lui arracher la tête!..."

Se relaxant dans son bain, Zania soupira, lassée de cette soirée qui lui demandait un effort sociale qu'elle n'était tout simplement pas désireuse de fournir.

"Il a ses moments, parfois... Tu me fais un peu de place?"

N 'attendant pas que l'amazone puisse refuser, Samia, aussi nue que la guerrière, la rejoignit dans le bain, les produits de soin posés sur le rebord.

"Je t'ai pas invité..." grogna la femme.

"Peut-être, mais au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, je manque d'allonge pour t'aider depuis l'extérieur." se moqua gentiment l'halfeline.

"Hmpf...j'imagine que tu n'as pas tort...vas-y, montre-moi donc ce produit miraculeux..." ordonna la cheffe de groupe.

"Que d'empressement, mais d'accord. Histoire que nous soyons bien d'accord, tu m'autorises à te toucher? J'aimerais autant éviter que tu me brises à nouveau les os..."

"C'est bon...et ne compte pas sur moi pour m'excuser. Quand on se bat, il faut s'attendre à être blessée..."

"Je ne t'en veux pas le moins du monde. Chacune de mes blessures est une leçon...n'est-ce pas la même chose pour toi?" demanda gentiment la voleuse en s'approchant, badigeonnant ses mains du produit.

L'amazone allait rétorquer quelque-chose, mais la matière grasse lui arrivant sur l'épaule, procurant une chaleur et un bien-être presque débilitant vu son état, coupa net son sal caractère.

"...J'admet que...ce n'est pas déplaisant...qu'est-ce que c'est?"

Leur différence de taille forçait Samia à se tenir debout pour s'occuper au mieux de la guerrière, en profitant pour s'approcher un peu, agrandissant progressivement la zone où elle travaillait.

"Le résultat d'un travail combiné d'Ambre et John. Son alchimie et leurs essences sont parvenues à créer un onguent curatif parfait...regarde plutôt..."

Faisant comme demandé, l'amazone tourna les yeux vers son épaule, encore rouge de ses blessures internes il y a peu, dégonfler et reprendre une teinte plus normale, sans parler de la sensation plaisante qui en émanait à présent.

"...J'imagine que ton amie doit être très douée..." dit-elle simplement, faisant pouffer la voleuse.

"Quoi?!"

"Es-tu à ce point frustrée que tu refuses la simple idée qu'un homme puisse t'aider d'une façon ou d'une autre?" rit un instant l'halfeline, faisant rougir de colère Zania.

"JE NE SUIS P...!!!"

Elle se redressa avec ****, l'eau lui arrivant aux cuisses une fois qu'elle fut levée.

"Bien sûr que si...mais je ne te jettes pas la pierre, nombreux sont les hommes décevants en ce monde...tant que tu es debout..."

Profitant de sa position avantageuse, la semi-homme plaça ses mains grasses sur les hanches finement taillées de la femme, la faisant tressaillir.

"Qu'est-ce que tu..."

"Tu ne trompes personne, ma grande. Si il l'avait voulu, John t'aurais brisé en deux, voir pire encore...comment tu te sens ici? "

Usant de sa capacité d'observation hors du commun, elle toucha exactement là où elle savait que les sensations de la guerrière seraient les plus fortes, tout du moins là où elle pouvait pour l'instant le faire sans éveiller ses soupçons.

Après tout, il lui fallait prendre son temps, c'était préférable.

"J'ai déjà soigné plus d'une combattante, de blessures graves ou de simples entorses...et toi, ma belle, tu as plus de nœuds qu'une pelote de fils entremêlés...si c'est moi qui te le propose, me laisseras-tu t'aider? On est entre filles, après tout...alors?"

Détournant un instant les yeux, la guerrière avait du mal à accepter qu'elle appréciait ce que lui faisait la petite femme, néanmoins...

"...D'accord..."

"Et bien voilà, on avance. Commençons par ces hanches..."

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"Hmmm...hé! Qu'est-ce que t..."

Faisant taire l'orc par un baiser, Giriel la surprit de ses mains sur ses cuisses qui, remontant, vinrent doucement lui caresser la poitrine.

Au fur et à mesure que le temps passait et que les contacts entre les différentes femmes se prolongeaient, les vêtements commençaient doucement à disparaître.

"Je n'ai jamais combattu une femme comme toi...ta **** m'attire..." lui glissa-t-elle à l'oreille avant de la mordiller, venant se placer à califourchon sur elle.

Réceptive, enivrée, droguée par l'aphrodisiaque, il était difficile de dire ce qui aidait le plus la grande guerrière à se laisser faire, à moins bien sûr que le charme évident de la louve ait été suffisant pour la vaincre, ses grands bras venant la serrer contre elle.

"Je n'ai jamais rencontré des guerriers autre que des orc pouvant grandir comme tu le fait...je veux en voir plus...mais pas pour me battre, cette fois..."

"Viens avec moi...c'est debout que je te veux, comme une guerrière..." lui susurra la louve, offrant un sensuel coup de langue sur le nez de la femme qui, respirant avec ****, ne se fit pas prier pour se relever rapidement, soulevant l'anikine sans mal pour l'emmener un peu plus loin dans un coin de la pièce.

Les mains de Lin-Lin, doucement, avaient guidé celles de l'elfe vers ses épaules, la faisant s'approcher pour que, tendrement, elle puisse caresser son corps, une main parcourant sa poitrine, l'autre...

"!!!"

Calmant la guerrière d'un sourire complice, la serrant contre elle comme pour garder une certaine discrétion, l'autre main de la pandakine poursuivi sa caresse de la culotte humide, ses doigts pouvant sans mal sentir la fente sous le fin tissu.

"On dirait que mon massage t'a fait du bien..." lui murmura-t-elle à l'oreille.

"Ce...ce n'est pas..."

L'esprit troublé de l'elfe ne fut que plus déstabilisé encore lorsque, d'un coup, la pandakine attrapa la pointe de son oreille entre ses lèvres, en suçotant l'extrémité.

Étouffant son gémissement dans la fourrure de son amante, Felia ferma les yeux, ne sachant plus où se mettre.

Son chemisier déjà délassé, Ambre caressait de son corps celui de Kraka, bien plus à l'aise dans la nudité que ses comparses.

"Je ne suis pas désagréable à toucher? Je sais que les écailles..."

Prenant les tétons de la lézakine entre ses doigts, la fée la fit japper en jouant avec.

"J'adore tes écailles...c'est sensuel à mourir..."

Mordillant un peu son oreille, elle lui susurra quelques mots doux avant de conclure par un soupir.

"Moi aussi, je voudrais savoir quel goût tu as...et pas seulement ta bouche..."

Il n'en fallut pas plus à Kraka pour se tourner vers elle, attrapant son visage pour l'embrasser à pleine bouche.

"Je te veux! Là, tout de suite!" avoua-t-elle, bête en chaleur ou prédateur devant une viande d'exception, difficile à dire.

La fée ne répondit pas, se contentant d'aventurer une de ses mains plus bas, faisant un instant fermer les yeux à son amante."

"Tu peux mordre, mais je garde tout mes morceaux, d'accord?" taquina-t-elle.

"Je ferai de mon mieux..."

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Dans le couloir, assis sur une chaise placée contre la porte, John écoutait, les yeux fermés, ce qu'il se passait à l'intérieur.

Loin d'être voyeur dans l'âme, il observait l'aura de ses compagnes doucement prendre le dessus sur celles de leurs proies.

Par une rune gravée sur chacune d'entre-elle, il leur envoyait continuellement une infime dose de son mana, les laissant en disposer come bon leur semblait.

Ainsi qu'il le leur avait promis, il s'était écarté pour le moment, laissant le champ libre au quatre femmes avides de douce vengeance. Chose qui, à en croire les variations d'énergies à l'intérieur des vestiaires, ne serait plus longue à venir.

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Heurtant le mur dans son dos, Reb ne savait où placer ses mains, craignant de broyer le crâne de la louve entre ses cuisses.

Dévorant l'entre-jambes de l'orc, Giriel griffait légèrement la chair de la guerrière, lui offrant un plaisir masochiste que cette race combattante appréciait bien plus que la normale.

Lui léchant le nombril en remontant, elle vint se dresser contre elle, arrivant juste son menton, tirant son visage vers elles pour l'embrasser à pleine bouche.

"Tu veux faire un truc marrant? Transforme-toi..." proposa Giriel.

"Je risquerais de te tuer..." hésita la guerrière, peu encline à achever prématurément leurs ébats.

"Je t'accompagne..." rétorqua la louve, son sourire carnassier trouvant écho chez la grande femme qui ferma un instant les yeux pour prendre du volume et du muscle.

Faisant de même, l'anikine tout aussi nue que son amante reprit sa forme berserk, mais une différence notable apparut bien vite.

Alors que l'orc, les yeux fermés, appréciait le sentiment de ses muscles se déployant, elle sentit soudain qu'on s'enfonçait en elle.

Pensant un instant que la louve la gratifiait à nouveau de ses caresses, elle se laissa faire, mais la différence de taille était étrange.

"Je ne pensais pas que tes mains grandiraient tant..." souffla-t-elle, son sexe répondant favorablement au traitement qu'on lui infligeait.

"Ces mains-ci?" demanda Giriel, grognant de plaisir en venant entrelacer ses doigts à ceux de l'orc, ses hanches continuant à réduire la distance avec celle de la guerrière.

"Oui, celles-l...!!!!"

Bien évidemment surprise, l'orc regarda vers le bas, écarquillant les yeux lorsqu'elle remarqua la grosse verge remplaçant le clitoris de la louve.

John avait usé de son nouveau don sur ses quatre compagnes, à leur demande, pour les aider dans leurs projets.

Toutes à présent capable de s'équiper du même genre de sexe épais et long d'une bonne vingtaine de centimètre, voir même plus proche de la trentaine. Elles pouvaient à loisir changer leur anatomie pour que, plutôt qu'un bouton d'amour, ce soit un sceptre de chair qui trône fièrement entre leurs cuisses. Ambre avait glissé l'idée qu'elles gardent de toute façons le reste de leur anatomie féminine, prophétisant que cela leur serait sans doute profitable sur le long terme.

Venant lui mordiller le cou, Giriel rit un instant.

"Un cadeau de mon maître...et tu es ma première fois..."

Reb voulut crier, mais la louve s'enfonça d'un coup de rein vif, sa nouvelle anatomie s'enfonçant d'au moins vingt centimètres jusqu'à ce que son corps se colle au sien, lui coupant un instant le souffle.

"T'es...t'es quel genre de monstre?!" parvint à souffler l'orc, peu habituée à ce genre d'anatomie, voir ce genre de proximité avec une verge.

"Le genre rancunier...et excité!"

Ne laissant pas à l'orc l'occasion de se défendre, Giriel entama de violents coup de va-et-viens, butant à chaque fois au fond de l'intimité de l'orc incroyablement serrée comparée à sa taille.

Giriel léchait, mordait, embrassait, faisait tout pour faire vriller la tête à son amante, cette dernière se débâtant sans parvenir à y mettre suffisamment de ****.

"Pour...pourquoi j'arrive pas...à te repousser!?"

Riant tout en baisant sa victime, la louve plongea son regard dans le sien.

"Parce que ton corps ne veut pas que ça s'arrête! L'essence de mon maître est déjà en toi, et tout ton être ne demande qu'une chose: le servir!"

Trouvant un peu plus de ****, Reb parvint à faire reculer un peu plus la louve, mais cette dernière rugit sauvagement en lui fonçant à nouveau dessus, lui prenant la tête pour la frapper contre le mur derrière elle tandis que son chibre retrouvait le sexe humide de la grande femme, s'y enfonçant à nouveau.

Sonnée, son corps brûlant d'un désir étranger à sa volonté, l'orc chercha du regard ses amies, ses alliées, voulant réclamer leur aide, mais ce qu'elle vit la découragea.

Jambes et bras entremêlés, Lin-Lin ondulait du bassin, s'enfonçant dans l'elfe qui, incapable de se séparer d'elle, lui mordait l'épaule, les yeux clos, en gémissant de plaisir, s'abandonnant au feu qui dévorait son corps.

"Que pense la chasseuse de la corne de sa proie, à présent?" haleta Lin-Lin, trouvant un plaisir malsain à la dominer si masculinement.

"P...plus fort...prends-moi plus fort..." demanda l'elfe, n'en revenant pas elle-même.

Pouffant de plaisir, la pandakine s'exécuta, empoignant les fesses de la sylvaine pour violement lui faire percuter son bassin, s'enfonçant en elle sans le moindre mal malgré la taille conséquente du cadeau de son maître.

"Ar....aRg!!!! Gluk gluk gluk!!!"

Allongée sur le dos, Karka se faisait violement pénétrer la bouche, Ambre effectuant d'amples et rapides coups de rein tandis que, maintenant les mains de sa victime au sol avec ses genoux, elle dévorait la vulve d'une douceur impressionnante de la lézakine.

"En tout cas, tu n'as pas d'écailles ici!" se moquait-elle, fermant un instant les yeux pour apprécier la gorge serrée de l'anikine.

"Ho putain! C'est ce que ressent John? Comment fait-il pour ne pas nous baiser à chaque seconde? C'est trop bon!"

Doigtant violement la lézakine, la fée se raidit soudainement, sentant monter en elle un sentiment nouveau.

"Ho! Ho hooooooo, je sens que ça vient...." prévint-elle.

L'anikine cria, mais sa gorge pleine l'empêcha de sortir un véritable son autre que celui d'un étranglement.

"De quoi tu te pleins? Tu voulais me goûter, pas vrai? Al...alors...ho merde, c'est trop bon...alors prend donc....çÀÀÀ!!!!"

Se redressant, Ambre saisit Karka à la gorge, heurtant les lèvres de sa victime en lui donnant quelques autres coups de reins avant de, criant son plaisir, se répandre en une quantité sans aucun doute augmentée par la magie de son maître, le sperme giclant dans la gorge de la guerrière se débattant encore un peu avant de finalement abandonner, manquant de souffle et, surtout, ravagée par un puissant orgasme que vint remplacer un deuxième puis un troisième, l'essence du mage résonant avec les fluides de ses amantes.

"Bois donc, salope...on est loin d'avoir fini..." promit Ambre, respirant avec ****.

Lin-Lin, serrant soudainement l'elfe contre elle, se répandit dans ses entrailles, sentant le ventre de la fine femme s'arrondir alors que sa verge palpitait, envoyant à chaque pulsion un peu plus du blanc liquide en elle.

Giriel, heurtant autant la chate de l'orc avec ses hanches qu'elle martelait la tête de sa victime contre le mur derrière elle, grogna sa jouissance lorsque, à son tour, elle sentit sa verge cracher sa semence, distendant les musculeux abdominaux de l'intérieur.

"Regarde donc, on croirait que je t'ai engrossée..." soupira-t-elle, caressant le ventre de la femme qui, les yeux dans le vague, ne répondit pas.

Soudainement, le trio fut secoué, un éclair leur passant à travers le corps et l'âme.

Chacune, au plus profond de leur être, entendirent la voix de leur maître, doublée de celle qui, pour l'homme, servait d'explication à ses caractéristiques.

Assimilation...

Le trio venant d'être dominé, comme si l'éclair passait également à travers elles, furent parcourues de soubresauts, des tatouages de cuivre dessinant sur elles des motifs ressemblant à ceux des compagnes du mage, mais plus que d'harmonieux embellissements, il s'agissait ici de chaines stylisées se formant aux poignets, aux chevilles et à la gorge, les tout parcourant l'entièreté de leurs corps pour se réunir au niveau du nombril et de l'intimité, formant une espèce de cadenas stylisé les contraignant, elles le comprirent de suite, à une servitude éternelle pour celles les ayant dominées.

Mais ce ne fut pas tout. À peine les tatouages furent-ils dessinés qu'une nouvelle fois, les voix résonnèrent dans l'âme des trois compagnes.

Présent du Maître...

Parcourues d'un sentiment de puissance, le trio sentit qu'elles gagnaient plusieurs niveaux ainsi que des caractéristiques, leurs forces leurs revenant de suite avec un boost qui jamais plus ne leur serrait enlevé.

Et pour finir, des veines dorées liant les amantes à leurs victimes se formèrent un instant, laissant au même moment entendre une dernière fois les voix dans leurs âmes.

Taxe du Maître...

En plus de la **** vitale qu'elles sentirent couler en elle, le trio reçut un petit plus:

Pour Ambre, ce fut une peau qui, malgré la douceur qu'elle gardait toujours, devint plus résistante. Pour Lin-Lin, ce fut une élasticité nouvelle dans les muscles, une flexibilité qui lui ouvrit des portes nouvelles sur les positions qu'elle pouvait faire prendre à son corps.

Et finalement, pour Giriel.

"Que...que..."

Toujours un peu sonnée, Reb pensa qu'elle hallucinait.

"Oui...Oui..."

Grognant sa jouissance en sentant couler en elle cette puissance nouvelle, la forme transformée de Giriel aspira littéralement la taille et les muscles de l'orc, échangeant avec elle la différence de hauteur et de volume, la dominant à présent de son gabarit impressionnant. Ses canines pointues pouvaient à présent, si elle le désirait, envelopper la gorge de la guerrière, ses mains entourant facilement celles de Reb.

"Ho mais quel pied! Merci Maître!" rugit Giriel, sa nouvelle puissance lui redonnant plus de **** que nécessaire pour reprendre ses coups de reins, sa verge pouvant à présent être devinée depuis l'intérieur du ventre moins musclé de l'orc, ses contours allant et venant au gré de la louve bien plus grande.

"En voilà une bonne idée...Tu ne vas pas t'évanouir de suite, ma petite beauté à écailles."

Se retirant de la gorge de Karka, Ambre ne perdit pas de temps et, lui attrapant les jambes, lui releva le bassin, s'enfonçant dans son intimité et commençant à donner des coups de reins vers le bas, ne se préoccupant pas de l'éventuel inconfort qu'elle pouvait ressentir.

"Ne...me fais pas de mal...pitié..." supplia Felia, implorant comme un petit animal sans défense la pandakine à présent bien plus forte qu'elle.

"Juste un peu, promis...mais rien ne dit que tu n'aimeras pas ça..."

Soulevant un instant la sylvaine, Lin-Lin changea de cible, posant son gland contre le trou du cul, encore vierge, de la guerrière qui, ouvrant grand les yeux, secoua la tête avec toute la **** qu'elle avait encore.

"Non! Pitié, non!"

"Tu m'as planté ton épée pendant le match...chacun son tour!" soupira finalement Lin-Lin, laissant doucement retomber l'elfe qui, criant sa douleur, ne put rien faire pour empêcher le bâton de chaire de lui ouvrir l'entre-fesses.

"Wow...c'est étroit...que c'est bon..." apprécia la pandakine.

Felia parvint à poser ses pieds au sol et poussa, voulant se relever, mais son amante ne la laissa pas faire, ses mains sur ses hanches.

"Arrête! Arrête!!!"

"Laisse-moi réfléchir...non, je vais plutôt t'enculer." répondit simplement l'anikine, s'amusant visiblement alors que, plus forte que sa victime, elle la força à descendre un peu, puis un peu plus, jusqu'à ce que, finalement, ses dernières forces l'abandonnent et, vaincue, qu'elle doive se laisser tomber, s'empalant littéralement sur la verge qui, fort heureusement, était encore luisante de foutre, évitant de blesser au sang la sylvaine.

"...!!!"

Bouche grande ouverte, l'elfe poussa un cri silencieux, la pandakine en profitant pour lui mordiller la lèvre en reprenant ses coups de reins.

La pièce fut animée plusieurs minutes des gémissements et des soupirs de plaisir, le trio de John savourant leur **** nouvelle et les trois autres subissant la douleur mêlée au plaisir qui les ravageait encore, leur infligeant orgasme après orgasme, brisant leur volonté autant que leur corps.

Ce ne fut que lorsque la porte des bains s'ouvrit à la volée, alors que le trio venait de se vider une nouvelle fois, qu'elles perdirent intérêt pour leurs victimes, se tournant plutôt vers la mine déconfite de Zania, un filet de foutre lui coulant encore des lèvres.

"Qu'est-ce qu..."

Poussée violement au sol, les compagnes de John virent une Samia plus que satisfaite leur faire un petit signe de main.

"Désolée, elle sait se débattre, celle-ci...Un coup de main?"