Récompenses et soins.

Nombreux étaient les morts parmi les villageois, et encore plus nombreux étaient les blessés.

La bataille à présent terminée, il fallait s'occuper de ceux pouvant encore survivre à leurs blessures, ce qui fut rendu plus aisé grâce à l'aide des elfes, formés aux premiers-soins, et aux serviteurs du manoir qui connaissaient les différentes caches contenant du matériel fort utile tel que des bandages propres, quelques potions de soins ainsi que des onguents cicatriciels qui feraient des merveilles sur les entailles des malheureux.

Laissant Ambre distribuer ce qu'il leur restait du nectar salvateur à leur disposition, John s'occupa personnellement de ses compagnes, les deux anikines étant à nouveau blessées après le combat.

"Vous devez faire plus attention..." sermonna-t-il.

"Dit celui qui est parti affronter seul un type deux fois plus grand que lui." rétorqua narquoisement la louve.

Mordillant gentiment la blessure qu'il était en train de lui soigner, il la sentit lui griffer légèrement le dos en affectueuse représailles.

"Dis...c'était quoi, tout à l'heure?" questionna Lin-Lin, dévoilant son épaule d'où elle venait d'arracher un trait d'arbalète.

"Quoi donc?" demanda le mage en se concentrant à présent sur elle, la faisant un instant soupirer de bien-être alors qu'il léchait amoureusement la blessure qui commença rapidement à se refermer.

"On t'a vu, tu sais...quand tu as grandi. Les humains peuvent devenir berserk? Je n'étais pas au courant." seconda Giriel.

"C'est une capacité que j'ai reçue il y a peu de temps. Mais tu as raison, ce n'est pas normal pour un humain de pouvoir faire ça, tâchons donc de ne pas trop ébruiter la chose, voulez-vous?"

"Soigne-moi encore un peu et j'oublie tout le reste..." promit Lin-Lin, caressant les cheveux de l'homme.

................................................................................................................................................................................................................Au bout de compte, il y eut bien plus de villageois sauvés de leurs blessures que de malheureux y succombant.

Il fut ensuite temps de se réjouir. Les cuisines du manoir furent pillées, les vivres ramenés à l'auberge où une fête de la victoire n'allait pas manquer d'avoir lieu.

Les futs d'alcool transportés par les orcs réchauffèrent bien vite les cœurs, la cuisine laissant bientôt sortir des dizaines de plats préparés avec talents par les plus habilles marmitons du village pouvant toujours tenir debout.

John se vit offrir une choppe qui jamais, au cours de la soirée, ne resta vide assez longtemps pour qu'il le remarque.

Que ce soient les villageois, les esclaves, humains ou non-humains, tous avaient une parole sympathique, des remerciements ou encore une tape dans le dos à lui offrir, ce qui ne manqua pas de d'abord le gêner un brin, puis de lui accrocher un sourire au visage, partageant l'ivresse bienheureuse des autres survivants.

Le reste de son groupe, profitant de la fête, dansait, mangeait et buvait, Ambre allant jusqu'à reprendre une taille suffisamment réduite pour pouvoir se baigner dans un verre d'alcool comme s'il s'agissait d'une étrange baignoire, dévorant avec plaisir une espèce de grosse cerise confite au miel en hoquetant de temps à autre, ivre.

Tous profitèrent de la fête des heures durant, la musique et les danses se succédant sans fin.

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L'aubergiste, on ne peut plus reconnaissant du sauvetage de sa fille, offrit une chambre au groupe pour y passer tranquillement la nuit.

Laissant ses compagnes dormir, le sommeil alourdi par l'alcool, John préféra s'offrir un moment de détente dans la petite salle d'eau où une grande bassine de bois l'accueillit, déjà emplie d'une eau claire que quelques runes réchauffèrent sans mal.

Grimpant les quelques marches permettant d'enjamber le rebord, il s'immergea avec un soupir de bien-être, laissant son esprit divaguer et ses muscles se décontracter.

Il fut légèrement surpris de sentir des mains se poser sur sa nuque, mais se détendit en entendant la voix de Samia.

"Je t'ai fait peur?"

"Ta discrétion est redoutable, je ne t'ai pas entendu entrer...je rêvassais."

Il la sentit bouger ses mains, caressant ses épaules qu'elle massa avec une douce ****, lui faisant un bien fou.

"C'est donc à ça que ressemblent des courbatures d'un niveau cinquante ou presque? Je suis impressionnée..." susurra-t-elle, taquine.

Accordant un petit grognement approbateur à sa masseuse de circonstance, il l'encouragea à poursuivre.

"Alors...tu as trouvé ce que tu voulais?" finit-il par lui demander.

"De quoi parles-tu?"

"Je t'ai vu t'éclipser pendant la fête, je suppose que tu es allée fouiller le manoir?"

Debout sur les marches menant au bassin, elle s'appuya sur ses épaules, posant sa tête à côté de la sienne.

"Tu l'avais remarqué? Moi qui pensais avoir été discrète..."

"Un coup de chance, je regardais dans la bonne direction...alors?"

Elle rit, sa voix légère aidant l'homme à se détendre.

"Ce n'est pas facile de changer de sujet avec toi...il y avait un joli pactole, c'est vrai. J'en ai caché une partie..."

"Une partie seulement?"

Il la sentit légèrement danser d'un pied à l'autre, comme si elle hésitait à répondre.

"Oui...l'autre partie à été répartie entre les différentes maisons du villages, un petit cadeau pour les habitants qui les attendra demain au réveil...après tout, c'est sur leurs dots que s'engraissait ce sale type..."

"Voyez-vous ça, une voleuse au grand cœur..."

Elle fit mine de l'étrangler de ses bras, mais ne parvint pas à lui procurer autre chose qu'une agréable pression sur le cou.

"La ferme! C'est juste que...tu sais..."

Se relevant légèrement, l'homme tourna la tête vers l'halfeline.

"Oui...je sais."

Elle plongea ses yeux dans les siens, semblant hésiter.

"Dis...j'aime bien tes amies...je voudrais pas que, enfin...j'ai bien vu que toi et elles..."

Sortant une main de l'eau, il vint lui caresser la joue.

"Moi et elles...?"

"Ne te moque pas de moi...C'est quoi l'histoire? Tu es avec laquelle, en réalité? Bien que...franchement, je me vois mal cocufier n'importe laquelle des trois, elles sont trop chouettes."

Elle vit le regard entendu qu'il lui accorda et, l'espace d'un instant, le rouge lui monta aux joues.

"Ho...ben dis donc, vous êtes une sacrée bande de chauds-lapins..."

"À t'entendre, on pourrait croire que ça t'intéresse..."

Les mains de l'halfeline descendirent sur le torse musclé de l'homme, ses yeux les suivant un instant tandis qu'elle se mordait la lèvre.

"Disons que...quand tu as soigné Lin-Lin et Giriel...c'était vraiment chaud...moi aussi, j'ai été blessée, tu sais..."

Montrant son épaule d'un signe de tête, elle dévoila une très légère entaille, résultat d'un projectile l'ayant frôlé d'un peu trop près.

"Pourquoi ne pas t'être faite soigner?"

"Je ne sais pas...peut-être avais-je envie que ce soit toi qui me soigne?"

Comprenant aisément le sous-entendu, John la fit approcher, laissant la demoiselle dénuder son épaule pour lui présenter sa blessure légère.

Décidant qu'elle lui avait donné assez de signaux, l'homme activa ses phéromones, les concentrant dans sa salive alors que, doucement d'abord, il posa les lèvres sur la blessure avant de commencer à la lécher, finissant par langoureusement embrasser la chair de la semi-homme qui s'était depuis longtemps refermée.

Il la sentit inspirer avec ****, venant lui attraper les cheveux pour le serer contre elle.

"Rejoins-moi..." demanda-t-il en lui mordillant le cou.

Elle ne se fit pas prier, ôtant bien vite ses habits avant qu'il l'attrape pour doucement la faire passer au-dessus de sa tête et de venir la poser sur son ventre, la petite taille de la semi-homme leur permettant de confortablement tenir à deux dans la grande bassine.

À califourchon sur ses abdominaux, elle reprit ses douces caresses, découvrant chaque centimètre de son corps offert tandis que, de son côté, il en faisait de même, un petit sourire aux lèvres.

"Tu aimes ce que tu vois? Je sais que les halfelines ne sont pas au goût de tout le monde...on est pas très développée dans certains domaines..." s'excusa-t-elle presque, comme gênée de son anatomie.

Avant de lui répondre, il passa une main sur sa petite poitrine, frôlant les tétons sur lesquelles il s'arrêta, appréciant de les sentir durcir sous ses doigts.

"Ne laisse personne remettre en doute ta beauté, Samia. Tu es parfaitement proportionnée, ta poitrine est parfaite pour ta taille, de plus..."

Plongeant ses mains dans l'eau, il palpa généreusement son fessier rebondi, la faisant sursauter.

"J'aimerais savoir quel imbécile trouverait à redire là-dessus..."

Ses observations semblèrent amuser la demoiselle autant qu'elles la rassuraient, la faisant se pencher pour lui offrir un petit baiser au bord des lèvres.

"Merci, tu n'es pas mal non plus." lui accorda-t-elle en palpant les muscles de ses bras.

Le petit baiser fut réitéré, puis se mua doucement en une langoureuse embrassade, la langue de l'halfeline venant chercher celle de l'homme pour la forcer à s'entremêler, des soupirs de plaisir échappant à l'un comme à l'autre.

John la sentait onduler sur son ventre, la chaleur de son entre-cuisses éveillant encore plus son désir.

Comme un serpent sortant de l'eau, sa verge commença doucement à poindre, se redressant jusqu'à ce que, finalement dure et droite, elle trahisse sa présence en venant tapoter le dos de la demoiselle remuant sur l'homme.

"Qu'est-ce que c'est qu...ho...houlà, tu prends ton bain armé?" plaisanta-t-elle d'abord.

Néanmoins, John voyait bien l'inquiétude dans ses yeux: cette verge était, métaphoriquement, presque aussi grand qu'elle.

"Dis, mon grand...je t'aime bien, mais..."

L'homme la rassura d'un petit rire amusé.

"Ne t'en fais pas, je ne ferais rien dont tu n'aies pas envie. On est là pour se détendre, pas se blesser."

Soupirant avec exagération, elle lui rendit son petit rire.

"Tu me rassures, j'ai bien cru que tu allais m'empaler là-dessus...tu permets que..."

Montrant le sexe d'un signe de tête intéressé, elle attendit que l'homme acquiesce pour se retourner, lui offrant une bien belle vue sur son dot et ses fesses tandis qu'elle examinait le serpent de chair.

"Lin-Lin et Giriel, je peux le croire...mais tu veux me faire croire que Ambre..."

"Elle peut changer de taille, tu te souviens? De base, elle est plus petite que toi, ce genre de chose lui serait fatal."

"Tu m'étonnes..."

Presque hésitante, elle posa les mains sur la verge, impressionnée par sa longueur et son envergure que même ses deux mains n'arrivaient qu'à peine à entourer.

"T'es vraiment un cas à part, même pour un humain, et je ne parle pas des halfelins...je me demande quel goût elle a..."

Ne lui laissant pas le temps de répondre, elle reprit ses embrassades, mais cette fois troquant les lèvres de l'homme pour son urèthre, ce qui ne manqua pas de lui décrocher un soupire de bien-être.

"C'est trop cool, j'arrive presque à y entrer la langue!" s'amusait-elle, torturant son amant qui lui laissait plein pouvoir avec plaisir.

Néanmoins, il ne pouvait se résoudre à rester passif tout du long.

Attrapant les hanches de la demoiselle, il se rassit légèrement, se courbant pour pouvoir atteindre son sexe humide avec ses lèvres, lui rendant la politesse.

"Hmmm, un véritable gentilhomme..." rit un instant Samia avant de respirer violemment, les coups de langues mettant le feu à sa vulve.

"Ho!Ho! Tu...rien d'étonnant à ce qu'elles te parta...ho! Te partagent....Oui! Juste là!"

Montrant une impressionnante **** dans les jambes, elle sera ses cuisses autour de son cou, écrasant son bassin contre son visage tandis qu'elle poursuivait l'exploration du trou de la verge avec sa langue, ses main massant et caressant le gland gonflé de plaisir.

Les mains de John s'égarèrent, caressant la poitrine, le ventre, les hanches, jusqu'à arriver à l'intimité de la femme.

Il changea soudainement de cible, gratifiant son petit trou serré de ses coups de langue tandis que ses mains s'activaient doucement sur sa chatte, un doigt finissant par s'y enfoncer et un autre massant son clitoris, ce qui lui fit d'autant plus onduler du bassin.

"HO BON DIEU!!!! ENFONCE TA LANGUE! VAS-Y!!!" ordonna-t-elle, pressant plus encore son bassin contre son visage.

Il ne se fit pas prier, prodiguant à l'halfeline un anulingus qui lui fit tourner la tête, la **** de son orgasme se traduisant par de petits mordillements du gland, rien qui ne puisse lui faire mal, juste le titiller toujours plus.

"Putain que c'est bon!! Tu palpites, mon grand, t'as envie de jouir, toi aussi?"

La tête toujours retenue par les cuisses, il acquiesça.

Elle plaça ses deux mains sur le haut de la verge, léchant le gland alors qu'elle faisait de rapide et courts vas-et-viens.

"Alors vas-y! Blanchi-moi cette eau!"

La vision de cette petite femme baignant littéralement dans une baignoire de foutre fut trop forte pour lui, et son gland commença à vomir son sperme épais.

Samia ne parla pas de suite, riant légèrement, contente d'elle, tandis qu'elle léchait et léchait encore la matière visqueuse, n'arrêtant pas ses mouvements de mains.

"Tu ne...slurp...tu ne t'arrêtes jamais? Quelle fontaine...slurp...c'est trop drôle!"

Au fur et à mesure qu'elle consommait sa laitance, John sentait le sexe de la femme s'humidifier un peu plus, facilitant les allées et venues de ses doigts en elle.

"Tu vas...slup slurp...tu vas encore me faire..."

Il pinça son petit bouton d'amour avec ****, la faisant se raidir.

"HIII!!!!" cria-t-elle bouche fermée, électrocutée par le plaisir, foudroyée par l'orgasme pendant que son visage se faisait couvrir.

Ses cuisses lâchèrent prise, l'halfeline visiblement vidée de ses forces en même temps que finissait de venir John.

Avec douceur, il la reprit contre lui, la laissant essuyer un peu son visage avant de lui parler à nouveau, continuant à tendrement caresser son corps.

"Samia...voudrais-tu venir avec nous?" finit-il par demander.

"Je ne sais pas trop...pour allez où?"

"La capitale, pour commencer. Ensuite, le monde..."

"Un voyage éreintant en perspective..."

"Et sans doute pas mal de trésors sur la route." ajouta-t-il, narquois.

Elle ondula sur lui, comme se détendant sur un confortable matelas.

"Tu sais parler aux femmes, toi...et tes amies? Elles serraient d'accord que je vienne?"

"Tout à fait entre nous, je pense qu'elles se serraient volontiers jointes à nous si elles n'étaient pas assommées par l'alcool...tu leur plais autant que tu me plais, mais c'est ton choix."

Depuis quelques minutes déjà, le système lui avait posé la question, mais il voulait attendre la réponse de la demoiselle avant.

"Je...tu es sûre? J'ai l'impression que Giriel..."

"Tu lui fais penser à un petit animal à la fois mignon et dangereux, je suis presque sûr qu'elle n'a pas de meilleur compliment à offrir."

Elle rit, soupira, puis se perdit un peu dans ses pensées, jouant distraitement avec la verge de l'homme entre ses pieds.

"Si c'est comme çà...d'accord, je viens aussi."

Assimiler?

John lui embrassa le front alors qu'il acceptait la demande du système.

"Ravi de l'entendre..."

Un éclair sembla foudroyer la semi-homme qui se raidit brusquement, saisit d'un violent orgasme.

"Wouah! Qu'est-ce qui m'arrive!" demanda-t-elle, inquiète, alors que son corps était assailli de tremblements incontrôlables.

Ne lui répondant pas de suite, John laissa sa verge reprendre du volume, venant se poser sur son ventre, ou plutôt sur sa compagne de bain qui la saisit par réflexe.

"Encore? Mais tu viens de....!!!!"

Ses jambes s'enroulèrent autour du chibre, sa chatte venant se frotter encore et encore contre la chair chaude et palpitante, appelant de toute son âme le semence qui devait en sortir.

"Je ne me contrôle plus!!!" avoua-t-elle, la verge grandissante finissant par arriver jusqu'à son menton.

Attirée par les phéromones, débilitée par le désir et la passion, elle ne fut plus en mesure de parler, dévorant le sommet du gland gonflé des sa petite bouche tandis que, dans l'eau, les bourses de l'homme prenaient du volume.

"Quel pied...." soupira ce dernier en penchant la tête en arrière, profitant de la sensation.

Agissant comme un sex-toy chaud et humide, Samia réclamait de tout son corps plus encore de jus, criant son désir alors qu'un nouvelle orgasme venait la secouer, lui faisant répandre sa cyprine dans l'eau sans pouvoir arrêter ses mouvements de bassin.

*Encore! Encore!!! J'en veux plus!!!* Réclamait-elle intérieurement, désirant cette semence bien plus que le plus beau des trésors.

Ses pieds descendirent le long de la verge, arrivant jusqu'aux bourses qu'elle trouva emplies, la perspective de ce qui allait arriver l'emplissant de joie.

"Oui!!!!OUIIIIII!!!VIDE-TOI SUR MOI!!! COUVRE-MOI DE TON FOUTRE!!! J'EN VEUX PLUS!!!!" finit-elle par implorer dans un cri rauque, folle de désir.

Les testicules commencèrent leurs contractions et, comme un tube de crème trop plein que l'on presse, la verge laissa une fois de plus sortir le liquide blanc.

Samia fut couverte, du moins les parties de son corps hors de l'eau. Elle finit par lâcher le serpent de chair, tremblant autant qu'une épileptique pendant une crise alors que l'eau se troubla, puis devint tout aussi blanche que le foutre la colorant.

Il ne sembla rien se passer quelques secondes durant, puis une impulsion magique secoua le bassin.

Samia écarquilla les yeux, ouvrant grand la bouche pour crier, mais elle n'y parvint pas.

Attiré par la demoiselle comme un aimant, la moindre goûte de sperme s'engouffra en elle, passant par tout les orifices possibles, la gonflant un instant comme un ballon avant que s'opère la transformation.

Elle qui trouvait sa poitrine trop petite, elle aurait été heureuse de la voir prendre du volume, assez pour attirer le regard sans être ridicule par rapport à sa taille.

Ses mamelons prirent une teinte dorée, servant de point de départ aux traits d'ors se dessinant sur son corps, ce que John avait fini par comprendre être la marque de ses compagnes.

"Arg...Arg..."

Elle tentait de parler, mais ne parvenait pas à avaler entièrement le blanc liquide qui emplissait son estomac et sa gorge, les transformations de son corps lui procurant un énorme plaisir masochiste dans la douleur qu'il lui infligeait.

Son petit corps se raffermit, ses muscles se dessinant un brin plus, montrant ses caractéristiques augmentées et ses iris, on ne peut plus visibles dans ses yeux écarquillés, furent finalement le dernier endroit à changer, une espèce de cible d'or stylisée s'y gravant, accentuant les capacités de la femme.

De son côté, John jouait distraitement avec ses doigts, appréciant les points d'agilité que venait de lui offrir Samia.

Nouvelle capacité acquise: Seigneur de Lubricité: Adaptation.

Arquant un sourcil, il profita que la semi-homme se remette doucement de sa transformation pour s'intéresser un peu plus au système.

Votre harem doit évoluer, et votre affinité avec des femmes de toutes tailles ne doit pas vous empêcher de l'agrandir! Cette capacité vous permet de modifier la taille de votre sexe, et ce afin que nulle femme vous ayant rejoint puisse se sentir délaissée.

Pouffant un instant en lisant cela, l'homme remercia néanmoins le système, appréciant dors et déjà la suite.

"Comment te sens-tu?" demanda-t-il tendrement à Samia qui, découvrant son nouveau corps, se caressait doucement.

"Que m'est-il arrivé? Non, attends, je pense le savoir...c'est donc ça que tu fais à celles qui te rejoignent? Tu les transformes?"

"Les autres préfèrent parler d'évolution, mais j'imagine que tu n'es pas dans le faux non plus...tu m'en veux?"

"Pas vraiment, c'est juste étrange...je n'ai jamais été très forte, j'ai surtout compté sur ma discrétion et mon agilité, sans parler de ma taille...mais là, j'ai l'impression de pouvoir gagner au bras-de-fer avec un orc et...matte-moi un peu ces seins! Ils sont énormes! Enfin, peut-être pas énormes, mais par rapport à avant..."

Elle avait depuis quelques minutes cessé de faire voyager ses mains, appréciant le volume augmenté de sa poitrine avec un soupir bienheureux.

"J'imagine que je peux te pardonner de ne pas m'avoir prévenu...tu veux toucher?"

"Avec plaisir..."

Posant ses mains près des siennes, il rejoignit son ballet de caresse, la dureté des tétons de la femme lui faisant un instant se demander s'ils n'étaient pas vraiment en or à présent.

"Ho! Merde, ils sont devenus tellement sensibles!"

"Vraiment? J'imagine qu'il vaut mieux ne pas faire ça..."

Sans prévenir, il serra doucement les boutons d'or, faisant se raidir et retenir sa respiration à son amante.

"Salaud!!!...S...Sers plus fort..."

"Attend, avant ça, j'ai un truc à te montrer..."

Lui montrant son sexe d'un signe de tête, il se concentra et, assez rapidement, il lui fit perdre du volume, faisant s'asseoir un instant la semi-homme.

"Ha! C'est trop drôle! Tu peux contrôler sa taille? Comment tu fais?"

"Une nouvelle capacité que je viens d'obtenir en te faisant évoluer...tu veux..."

"Bouge-pas, mon grand, je m'installe..."

Venant se placer à califourchon au-dessus de son bassin, elle lui fit de nouveau face, son pénis les séparant.

Attendant son signal, il diminua doucement la taille de son sexe, passant de l'impossible au dangereux, puis du dangereux à l'audacieux, et enfin à une taille correcte qui sembla satisfaire la jeune-femme.

"Les semi-hommes ne court pas forcément les rues par ici, et mon espèce n'est pas connue pour enfanter des types à queue de poney, autant dire que les femmes de ma race ne sont pas faites pour...une taille au-dessus de la moyenne?" expliqua-t-elle en prenant son sexe réduit en main, semblant satisfaite de pouvoir enfin le tenir sans mal.

"Tu n'as pas à te forcer. Si je suis capable de modifier ma taille, autant en profiter." la rassura-t-il.

"Commençons comme ça, on verra bien ensuite..."

Soulevant légèrement les hanches, elle se caressa la vulve avec le gland de l'homme avant de le laisser tranquillement entrer avec un petit soupir.

"C'est...c'est bien, c'est très bien comme ça...laisse-moi gérer le rythme, tu veux bien ,mon grand?"

Acquiesçant, l'homme observa avec plaisir sa petit amante faire des vas-et-viens à la fois courts et lents, mais de plus en plus énergiques.

"C'est...c'est marrant de pouvoir profiter de toi comme ça...les rares types membrés correctement pour coucher avec les femmes comme moi sont souvent d'un tout autre genre..."

"Tu vas me faire rougir..."

"Tais-toi donc, occupe-toi de mes seins."

Obéissant avec plaisir, il replaça les mains sur la généreuse poitrine qui, grande première pour Samia, rebondissait avec sensualité au rythme de ses mouvements de bassin.

"Ce sont donc ces petits tétons qu'il ne faut pas trop taquiner?" demanda l'homme en posant ses pouces sur la chair dorée, faisant couiner son amante.

"Tu me le paieras!" promit-elle, serrant les muscles de sa chatte pour asticoter le sexe en elle.

"Je n'en doute pas...et ce bouton-ci, il en dit quoi?"

Sans prévenir, il vint titiller le clitoris de la femme, la faisant crier son plaisir avant de s'écrouler sur lui, lui donnant de petits coups de poings sans **** réelle.

"En...enfoiré...j'arrive plus à bouger..."

"J'imagine que c'est à moi de prendre la suite..."

"Tu vas faire qu...hé! Qu'est-ce que tu fais, là!?"

L'attrapant par les hanches, il la ramena doucement jusqu'à lui. En même temps, il contrôlait la taille de son sexe pour qu'il prenne en longueur sans s'épaissir, afin de pouvoir l'avoir près de lui sans lui faire de mal.

Il préférait ne pas imaginer l'apparence de son entre-jambe qui, de suite, ressemblait sans doute plus à un tentacule de chair qu'un puissant chibre.

"Je voulais t'avoir près de moi. Tu m'en veux?"

Elle lui offrit un sourire narquois avant de l'embrasser, sa langue forçant l'entrée de se bouche au moment où il commençait à remuer les hanches.

Comme une espèce de grand koala, Samia s'agrippa à son torse à l'aide de ses jambes, ses bras prenant possession du visage de son homme tandis qu'elle le dévorait.

"Je veux...j'en veux un peu plus...tu peux faire ça pour moi?"

"Dis-moi stop..."

Sans arrêter ses petits coups de reins, il laissa son pénis prendre un peu de volume. Sentant de suite l'étreinte que lui procurait le sexe de son amie, il la vit fermer les yeux avec ****, se mordant la lèvre.

"Ho...ho....s....stop! Pas plus!!" implora-t-elle.

"Bonne idée, regarde..."

Faisant comme demandé, la semi-homme porta les yeux sur son ventre où, se dessinant parfaitement sur sa peau tendue, le sexe de l'homme était des plus visible, poursuivant doucement ses vas-et-viens.

"Merde...c'est...c'est chaud...." dit-elle, ses petites mains venant se poser par-dessus la bosse dans sa chair, massant en même temps le sexe en elle.

"Samia...si tu me sers comme ça..."

"Ho? Comment donc...comme ça?!"

Croisant les deux bras sur son ventre, elle serra de toutes ses forces, infligeant une pression sans pareille à l'homme qui, fou de désir, accorda à la femme quelques derniers coup de reins plus forts avant de se vider.

"Oui! Vas-y! Ho putain que c'est bon!!!" jura-t-elle, ses bras ne pouvant plus longtemps soutenir la pression de son ventre gonflant de foutre.

Elle le laissa la remplir, venant se lover contre lui à nouveau, lui accordant encore quelques baisers avant de l'étreindre simplement, appréciant son contact.

"Je sens que je vais aimer voyager avec vous..."