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Chapter 2
by Gerald F.
Que faire?
Vais-je continuer cette liaison perverse avec mon gendre?
Les semaines ont passé sans que j'aie revu Vincent ni ma fille, qui habitent à plusieurs heures de route de chez moi. Mais, tous les soirs, je me caresse longuement en pensant à ce que mon gendre et moi avons fait ensemble.
Et voilà que je dois aller passer quelques jours de vacances chez eux. J'éprouve quelque gêne sur l'ambiance dans laquelle va se passer le séjour, d'autant que Vincent doit venir seul m'attendre à la gare.
Ma gêne s'accroît en sentant la brûlure qui envahit mon ventre lorsque je l'aperçois... puis lorsqu'il me serre contre lui en écrasant ma bouche contre la sienne. Sans échanger autre chose que des banalités d'une voix étranglée, nous gagnons sa voiture et partons vers la maison de ma fille et de mon gendre, à quelques kilomètres de là. La chaleur est devenue presque palpable entre nous, et nous n'y tenons plus lorsqu'il gare brusquement la voiture dans un chemin de traverse et m'embrasse à m'étouffer, glissant sa main sous ma jupe, sous mon slip. Je tombe à genoux devant lui sur le plancher de la voiture, défais sa braguette, prends son sexe dans ma bouche, le pompe, l'aspire. Il est près d'éjaculer, et moi prête à avaler tout son sperme, lorsqu'il me fait doucement relever et étendre sur mon siège qu'il a incliné vers l'arrière. Mon slip est par terre, ma jupe troussée sur mon ventre, et mon gendre se couche sur moi et me fourre, tout en déboutonnant mon chemisier, sortant mes seins du soutien-gorge, mordant mes mamelons...
Nous jouissons ensemble sur le siège de la voiture. Le temps de remettre de l'ordre dans nos tenues, et je suis à nouveau présentable pour retrouver ma fille, manger et passer la soirée en famille. Puis je me retrouve seule dans ma chambre, couchée dans un silence complet, sinon quelques bruits étouffés qui proviennent de derrière la cloison: pas de doute, Angélique et Vincent sont en train de faire l'amour...
Comme tant de soirs auparavant, je me caresse en m'imaginant, à la place de ma fille, dans ces bras que je commence à bien connaître. Et soudain, ce n'est plus mon imagination: Vincent est couché contre moi, m'embrassant, remontant ma chemise de nuit le long de mon corps.
Je parviens à murmurer:
"Et Angélique?"
"Elle dort. Ne la réveille pas."
Sa bouche descend vers ma poitrine, mon ventre, sa langue ouvre et pénètre ma fente. Je parviens à nous faire pivoter pour que son sexe tendu soit à la hauteur de mon visage, son sexe qui quelques minutes auparavant pénétrait ma fille, je le gobe comme tout à l'heure dans la voiture, et nous finissons par jouir en soixante-neuf, moi avalant sa semence jusqu'à la dernière goutte.
Je me remets à le sucer jusqu'à ce qu'il soit de nouveau bien raide, l'enfourche, le chevauche, et bientôt le plaisir nous reprend et je m'abats sur mon gendre pour étouffer mes cris contre ses lèvres.
Nous refaisons l'amour, puis j'ai dû m'endormir dans ses bras, et le matin je me réveille seule dans le lit. Il a dû réintégrer la chambre conjugale, et malgré ma frustration je ne peux l'en blâmer.
C'est quand même une étrange impression, en embrassant ma fille ce matin-là, de me dire "je suis la maîtresse de son mari, c'est avec moi qu'il la trompe..."
Dans la journée, je pars faire du shopping avec Angélique. A ma surprise, un des magasins où elle m'entraîne est une boutique de lingerie fine. Je me retrouve avec ma fille à examiner des soutien-gorges pigeonnants, des culottes fendues, des bustiers transparents...
"Celui-là t'irait très bien, assure ma fille devant un ensemble bas et porte-jarretelles. "Tu vas faire de l'effet à Vincent avec ça."
Je sens ma gorge se nouer, mais me **** à dire:
"Ne dis pas n'importe quoi! Pourquoi est-ce que je voudrais faire de l'effet à ton mari?"
"Allez, maman, ne fais pas l'innocente!" répond-elle avec un petit baiser sur ma joue. "Tu crois que je ne sais pas ce que tu fais avec Vincent? Il m'a tout raconté, et c'est tant mieux! Tu as besoin d'un homme, et au moins là je suis certaine que c'est quelqu'un de bien."
Encore désarçonnée par l'imperturbable logique de ma fille, je la suis à la maison, nos achats faits. C'est après le repas, au dessert, qu'Angélique dit négligemment à Vincent:
Au fait, maman sait que nous savons, vous n'avez plus besoin de vous cacher."
Et je me retrouve soudain dans les bras de mon gendre qui m'embrasse à pleine bouche sous l'oeil complice de ma fille. Le souffle coupé, je bascule avec lui sur le canapé. Ma jupe se retrousse, Vincent sourit en constatant que je porte les bas, le porte-jarretelles et le slip fendu achetés le jour même. En sentant sa main envahir mes parties intimes, je me rends compte qu'il a l'intention, non seulement de m'embrasser et de me peloter, mais de me baiser sous les yeux de ma fille.
Celle-ci d'ailleurs n'a pas l'air formalisée et s'est installée dans un fauteuil, les pieds ramenés sous elle, une de ses mains se glissant déjà sous sa jupe. Et me voilà renversée sur le canapé, prise par mon gendre devant ma fille qui ne perd pas une seconde du spectacle. Elle a complètement relevé sa jupe, sous laquelle elle ne porte pas de slip, et fouille sa chatte d'une main, tout en glissant l'autre dans son corsage pour pétrir ses seins. Et mon gendre me lime sous les yeux de sa femme qui se masturbe, sous les yeux de ma fille qui se masturbe en regardant sa mère se faire enfiler par son amant, en regardant son mari dans les bras de sa belle-mère...
J'ai dû hurler en jouissant, je me retrouve haletante et trempée de sueur sur le canapé avec ma fille qui se penche en souriant sur moi pour m'embrasser sur la joue. Elle aussi a joui, sous ses propres doigts. Pendant qu'elle m'embrasse, nos seins encore durs s'effleurent. Son visage reste un moment à quelques centimètres du mien, les yeux dans les yeux, avec un étrange sourire.
Vais-je céder à la tentation de caresses incestueuses avec ma fille?
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Fair, French and Forty
Une histoire de femme mûre en français
Created on Feb 26, 2003 by Gerald F.
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