Fair, French and Forty

Bonjour, je m'appelle Marie-Claude, j'ai aujourd'hui 45 ans, et, vu le faible niveau de mon anglais, c'est dans ma langue maternelle, le français, que j'ai choisi de vous raconter mon histoire.

Elle commence d'une façon sordidement banale. Mariée et menant la vie paisible d'une épouse bourgeoise avec deux grandes filles, j'ai découvert que mon mari me trompait depuis des années avec plusieurs femmes plus jeunes que moi, et peu après nous avons divorcé. Ma vie s'est écroulée, j'ai dû quitter notre maison pour m'installer seule (ma fille aînée, Angélique, est mariée et la cadette, Christine, termine ses études à l'étranger) dans un petit appartement. J'étais en pleine dépression nerveuse, et la vision des cartons de déménagement étalés dans la salle de séjour, en cet après-midi où Vincent, le mari d'Angélique, était venu m'aider à emménager, a suffi pour déclencher en moi une énième crise de larmes.

Incapable de la maîtriser, malgré ma honte de montrer ce spectacle à mon gendre, je me suis laissée tomber sur le divan. Vincent s'est assis près de moi pour essayer de me réconforter. Il m'a embrassée sur la joue en me passant un bras autour des épaules, et je suis restée un moment effondrée contre lui. Ses lèvres sont restées un moment sur ma joue, puis, quand mes sanglots se sont enfin apaisés, j'ai senti qu'elles glissaient doucement vers mes yeux, buvaient la trace de mes larmes, puis, tandis qu'il me serrait les épaules plus fort, descendaient vers ma bouche...

Avant que je n'aie pleinement pris conscience de la situation, nous étions lèvres contre lèvres et nos langues se touchaient pendant que la main de Vincent effleurait mes seins. Je portais une robe entièrement boutonnée sur le devant; il en a défait le haut, a remonté les bonnets de mon soutien-gorge. Ses baisers sont descendus dans mon cou, entre mes seins, sur mes mamelons déjà tendus et appelant les caresses. Il les a embrassés, mordillés, léchés pendant que je lui ébouriffais les cheveux en gémissant et que sa main se glissait entre mes cuisses. Il s'est agenouillé à mes pieds pour déboutonner le reste de ma robe, embrasser mon ventre et faire glisser mon slip jusqu'à mes pieds, ce qui m'a laissé le temps de revenir à un peu de lucidité: "C'est ton gendre, c'est le mari de ta fille..."

Mais tout en pensant cela, je l'ai supplié de continuer lorsque son visage est descendu vers mon intimité et que sa langue a pénétré ma fente et m'a entraînée aux limites de l'orgasme. Il s'est redressé, déshabillé, je lui ai tendu les bras pour l'attirer sur moi, en moi, et j'ai fini par hurler de plaisir en même temps que cet homme de vingt ans plus jeune que moi, que j'avais vu pour la première fois lorsque, quelques années plus tôt, ma fille était timidement venue me présenter son fiancé.

Je suis restée serrée contre lui en sanglotant à nouveau, de bonheur cette fois, mais en gardant assez de tête pour analyser la situation.

Alors que je croyais ma vie brisée, Vincent m'a fait comprendre que je pouvais encore être désirée par un homme et le désirer, lui donner du plaisir et en recevoir. Mais...