Oui

Nos lèvres se joignent soudain en un baiser qui n'a rien de filial. Pendant que la langue d'Angélique envahit ma bouche, sa main se glisse sous mon chemisier déjà déboutonné par Vincent, caresse mes seins dont le soutien-gorge pigeonnant, choisi par elle-même quelques heures auparavant, laisse nues les pointes érigées. Elle les agace, les pince, avant que sa bouche n'abandonne la mienne pour se coller à mes tétons. Ses mains ont dégrafé ma jupe qui tombe au pied du canapé, et je sens ma chatte pénétrée par un doigt de ma fille, puis deux, puis tous...
Angélique est maintenant à genoux devant moi, et c'est sa langue qui brûle mes parties intimes, pendant que Vincent s'attaque à ma bouche et à mes seins. Sentant sa verge, à nouveau dure commme du bois, venir heurter mes lèvres, je la gobe sans réfléchir, le suce à lui faire mal. Ce que voyant, Angélique abandonne ma chatte, m'arrachant un gémissement de frustration étouffé par le mandrin de Vincent, et vient prendre sa part du sexe de son homme. Nous nous le partageons, affalées sur le divan devant mon gendre agenouillé sur les coussins, moi suçant son gland pendant qu'Angélique fait glisser sa langue le long de la tige, puis intervertissant les rôles, nos lèvres et nos langues se touchant au passage. Angélique est désormais complètement nue, et je lui caresse maladroitement les seins et le ventre. Ses doigts retrouvent le chemin de ma fente et de mon petit bouton, me refont monter vers le plaisir, et je jouis au moment où le premier jet de sperme gicle dans la gorge de ma fille. Elle repousse l'engin vers moi, et je reçois la deuxième giclée en pleine figure, avant de me le mettre dans la bouche pour avaler le reste.
Après avoir bien nettoyé le sexe de Vincent, Angélique me renverse sur le divan pour lécher le sperme encore gluant sur ma figure. Je me retrouve soudain en soixante-neuf sous ma fille, levant au-dessus de nous mes jambes gainées de bas et mes pieds toujours chaussés d'escarpins, pendant que la bouche d'Angélique part de nouveau à l'assaut de ma chatte, et qu'un doigt indiscret **** l'entrée de mon petit trou. Sentant, pour la première fois de ma vie, un sexe de femme à portée de ma bouche, je m'efforce de reproduire ces caresses sur elle, et le spectacle ne tarde pas à refaire bander mon inépuisable gendre, qui s'agenouille derrière ma fille et l'enfile en levrette. Et voilà devant mes yeux la bite de Vincent qui entre et sort du sexe trempé de ma fille, encouragé par les coups de langue que je lui prodigue autant que possible. Angélique le supplie de l'enculer, et je vois avec stupéfaction l'engin de Vincent sortir complètement de sa fente pour se poser à l'entrée de son anus, le distendre, le pénétrer et le pilonner comme il faisait de sa chatte. De mon côté, j'enfile mes doigts dans l'orifice qu'il vient de libérer, le plus profond possible, jusqu'à sentir les mouvements de son mandrin à travers une mince barrière de chair. Je m'efforce de rendre à Angélique le plaisir qu'elle est en train de me donner, et ma fille, les doigts de sa mère dans la chatte et la bite de son mari dans le cul, jouit en hurlant pendant que ses doigts complètent mon propre orgasme. Je n'ai pas le temps de souffler que Vincent enfourne à nouveau dans ma bouche le sexe qui vient de ramoner ma fille par devant et par derrière. L'odeur et le goût sont à la fois atroces et follement excitants, et de longues giclées de sperme me remplissent le gosier.
Ma fille est à nouveau étendue à côté de moi, nous nous embrassons tendrement et nous léchons le visage, mêlant le goût de notre mouille, de son anus et du sexe de Vincent.
"Maman chérie, dès que mon mari aura récupéré, je crois que c'est toi qui vas le prendre dans le cul."
"Oui, mais doucement, ce sera la première fois pour moi."
Elle a l'air sincèrement étonnée.
"Personne ne te l'a jamais fait? Ne t'inquiète pas, on veillera à ce qu'il soit doux."
Comme s'il avait prévu notre pensée, Vincent arrive avec une bouteille d'huile, et, sur l'ordre de mes deux vicieux, me voilà à quatre pattes sur le divan, offrant mon petit trou à la langue de mon gendre qui le pénètre divinement, pendant qu'il débouche la bouteille.
"Laisse,&" demande Angélique d'une voix de petite fille excitée par un nouveau jouet, "c'est moi qui vais le faire."
Et je sens l'index de ma fille, enduit de liquide, pénétrer profondément mon anus et en enduire soigneusement toutes les parois.
Puis c'est le gland de Vincent qui se présente à l'orifice, en distend lentement les muscles, et entre là où aucun n'était entré avant lui. Je gémis d'excitation et de douleur mêlées en sentant ce pieu envahir de plus en plus profondément mes entrailles. Vincent se penche vers moi et embrasse ma nuque.
"Courage, belle-maman, je suis presque au fond!"
Angélique ne perd pas une miette du spectacle. Il est vrai que ce n'est pas tous les jours qu'une fille peut assister au dépucelage de sa mère! Lorsque Vincent commence à me ramoner en me tenant par les hanches, elle vient s'agenouiller à la hauteur de ma tête pour me caresser le visage et les cheveux.
"Ca va, mais qu'est-ce qu'il est gros!"
Nous nous sourions avec complicité et, voyant que j'ai glissé une main entre mes cuisses pour fouiller ma chatte, ma fille se masturbe en même temps que moi jusqu'à ce que mon gendre remplisse de sperme le cul de sa belle -mère.
Epuisés, nous gagnons ensemble la chambre d'Angélique et de Vincent, et je m'effondre dans leurs bras sur le lit.
Je suis réveillée fort tard le lendemain matin, par un baiser de ma fille sur ma bouche et une caresse sur mes seins.
"Pas trop fatiguée, maman?"
"A peine, ma chérie, à peine. En une heure, j'ai eu ma première expérience homosexuelle et ma première expérience de sodomie, je me suis gouinée avec ma fille et fait enculer par mon gendre, et tout cela est naturel."
Elle rit en se laissant tomber dans mes bras.
"On a encore plein de surprises en résrve pour toi, maman! Tu sais, il y a parfois d'autres couples qui viennent ici, et on partage tout... Ca te dirait d'être là la prochaine fois?"