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Chapter 4 by Gerald F. Gerald F.

Vais-je accepter une expérience échangiste?

Au point où j'en suis, pourquoi pas deux de plus?

Au soir dit, j'entre dans le salon pour trouver Angélique et Vincent se préparant à prendre un verre en compagnie d'un couple de trente-cinq à quarante ans. Mon gendre fait les présentations: Marc, Hélène.
"Voilà Marie-Claude dont on vous a parlé," leur dit-il, et, pendant que je fais le service, lui et Angélique évoquent quelques-unes de mes acrobaties érotiques récentes. Je porte une robe noire très courte, au décolleté large et carré, qui me donne l'air d'une soubrette et, lorsque je me penche pour servir un verre, laisse voir mes seins émergeant d'un soutien-gorge pigeonnant. Hélène, svelte et élégante, dans un tailleur gris à la jupe dévoilant généreusement ses cuisses gainées de bas, m'adresse un sourire appréciateur. Je prévois déjà que les échanges de ce soir ne seront pas qu'hétérosexuels. Avec quelque surprise, je note que si Angélique décrit en détail nos cabrioles à trois avec Vincent, elle ne fait aucune allusion à notre parenté, et parle constamment de moi en m'appelant par mon prénom. Ma fille (et amante incestueuse) a décidé de me faire partouzer avec ses deux amis, sans leur dire que j'étais sa mère! Et, comme physiquement nous nous ressemblons assez peu, Marc et Hélène ne s'apercevront de rien...
"D'ailleurs, Marie-Claude," achève ma fille, "tu peux sûrement donner un échantillon de tes talents à Marc?"
Comprenant que c'est à moi de jouer, je souris à notre invité, m'agenouille devant lui et défais la fermeture de son pantalon. Son sexe déjà raidissant ne tarde pas à gonfler encore sous ma bouche. Pendant ce temps, je sens mon gendre qui s'agenouille derrière moi, retrousse ma jupe, écarte le string que je porte dessous et m'enfile en levrette. Des gémissements féminins, à ma droite, m'annoncent qu'Angélique a de son côté commencé à s'occuper d'Hélène. Les doigts de Vincent pénètrent mon anus, annonçant que cet orifice va bientôt être occupé à son tour. En effet, bientôt, mon gendre me fait lever et m'empaler sur Marc toujours assis dans son fauteuil, pendant que lui-même prend d'assaut mon petit trou. Et me voilà pilonnée par deux bites en même temps, l'une devant et l'autre derrière, le corsage ouvert et les seins à la portée de la bouche de Marc. J'ai le temps de jeter quelques regards à Angélique et Hélène, qui, à peu près nues, sont en train de se faire tout ce qu'il faut sur le tapis. Mes deux étalons remplissent mon bas-ventre de sperme par ses deux orifices, avant que Vincent ne se laisse tomber par terre en m'entraînant avec lui.
Angélique ne perd pas son temps pour s'agenouiller devant Marc, et prendre à son tour en bouche le sexe couvert de mes sécrétions. Etendue sur le dos, je fais quant à moi l'objet de l'attention d'Hélène qui plonge entre mes cuisses, me doigte, me lèche pendant que j'ébouriffe ses cheveux. La position de notre jolie invitée agenouillée le visage dans ma touffe, réveille le désir de Vincent qui passe derrière elle pour l'enfiler. Puis Hélène et moi nous retrouvons en soixante-neuf tandis que Vincent l'encule, et l'orgasme nous laisse tous trois essoufflés sur le tapis, bientôt rejoints par Angélique qui a hurlé de plaisir sous les coups de boutoir de Marc.
Le temps de reprendre un brin de respiration, et je me tourne vers ma fille que j'embrasse longuement sur les lèvres. Ma main caresse sa poitrine, son ventre, s'insinue dans sa fente. Elle me rend la pareille, sa bouche quitte ma mienne pour s'attaquer à mes seins. Elle me supplie de lui bouffer la chatte, je fourre la tête entre ses cuisses avant qu'Hélène, que nous avions quelque peu négligée, ne se joigne à nous. Elle me lèche et me doigte la fente et le cul, pendant qu'Angélique lui dispense le même traitement. Vincent et Marc semblent hésiter à prendre d'assaut le triangle que nous formons, mais notre invitée leur fait signe d'approcher. Marc s'allonge derrière moi, et je sens qu'Hélène m'introduit la bite de son mari dans le cul, pendant que Vincent enfile Angélique par le même orifice. Je continue à languer et à doigter la chatte de ma fille, pendant que la pine de mon gendre lui ramone le fion littéralement sous mon nez, et que Marc me sodomise avec une ardeur égale, sa bite venant toucher à travers une mince barrière de chair la main qu'Hélène m'a enfoncée presque entièrement dans la chatte. Au moment d'éjaculer, nos deux béliers se retirent et chacun asperge de jus la figure qui se trouvait derrière le cul qu'il sodomisait. C'est donc (vous avez suivi?) Hélène qui prend en pleine visage le foutre de Marc, et moi celui de Vincent, et notre invitée m'enlace pour que nous nous léchions avidement la figure, pendant que ma fille nettoie sans dégoût les deux bites en les prenant tour à tour dans sa bouche.
"Ouf!" soupire Angélique en laissant reposer sa tête sur mes seins, "Maman chérie, on a déjà fait pas mal de trucs ensemble, mais là je crois que tu t'es surpassée."
"Maman?" Hélène et Marc nous regardent, sans trop savoir ce qu'ils doivent croire ou ne pas croire. Angélique doit aller chercher nos papiers d'identité pour les convaincre.
"Au moins," commente Marc, surpris mais non choqué," on saura d'où Angélique tient son tempérament!"
Mon tempérament? Il faut croire que je l'ai bien caché pendant plus de vingt ans où j'ai été une épouse fidèle et une mère de famille respectable, jusqu'à ce que je cède à mon gendre, puis me retrouve au lit avec ma propre fille... Mais enfin, après quelques caresses supplémentaires, nos invités repartent le lendemain matin, convaincus que je suis une vieille gouine partouzarde et incestueuse. A peine nous ont-ils quittés qu'Angélique me prend la taille en appuyant sa tête sur mon épaule.
"Il faudra qu'on recommence ça, maman," murmure-t-elle. L'exaltation de la nuit précédente retombée, je prends mieux conscience de la voie dans laquelle je m'engage avec elle...
Et ça ne s'arrange pas dans les mois qui suivent. Ma fille et mon gendre me poussent à venir habiter en permanence chez eux, ce qu'un changement professionnel me permet de faire quelque temps après. Dès lors, c'est chaque jour que nous passons des heures à baiser tous les trois, dans toutes les positions imaginables. Les copains de Vincent ont toujours l'air un peu apitoyés quand il leur dit que sa belle-mère habite à la maison. S'ils savaient! Et je ne compte pas les fois où il y a des invités..
Après une nuit où j'ai vaillamment satisfait cinq bites en même temps, pendant que ma fille, qui avait l'air un peu fatiguée, se contentait de branler et de sucer, nous nous retrouvons un moment seules dans la chambre, et elle attire contre elle mon corps recouvert de sueur et de sperme, en me glissant:
"Pour une femme qui va être grand-mère dans quelques mois, je trouve que tu es dans une sacrée forme!"
Je mets quelques secondes à comprendre ce qu'elle veut dire, avant de la serrer dans mes bras, les larmes aux yeux. Apprendre qu'elle va devenir grand-mère est toujours un moment important pour une femme, même si à ce moment elle est nue à part ses bas et son porte-jarretelles, et épuisée par des heures de baise avec la participation de son gendre et de sa fille.
Je sens naître en moi un peu de jalousie pour la grossesse de ma fille, et une idée: avec Vincent, j'ai toujours utilisé un moyen contraceptif. Mais à quarante-six ans, si je veux avoir un enfant de cet homme dont je partage l'amour avec ma fille, c'est le moment, ou il sera trop tard...

Alors, être ou ne pas être enceinte?

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