Non

"Alors, maman, tu as bien joui?"
Mon souffle s'est apaisé et je retrouve l'usage de la parole. Je souris largement à ma fille.
"A mourir. Et toi aussi tu as joui, petite vicieuse qui se masturbe en regardant sa mère se faire enfiler!"
"Oui. Vous étiez merveilleux tous les deux sur ce canapé, j'ai mouillé comme une folle. Tu es vraiment belle quand tu jouis. D'ailleurs," ajoute-t-elle soudain d'un ton plus décidé, "après avoir pris mon mari dans la bouche et dans la chatte, tu ne vas pas finir la nuit sans l'avoir pris dans le cul."
Instinctivement, mon anus se contracte. Angélique remarque mon inquiétude.
"Tu as peur qu'il te fasse mal?"
"Oui, et en plus ce serait..." je me sens rougir jusqu'aux oreilles, "...la première fois pour moi."
Elle a l'air sincèrement étonnée.
"Personne ne te l'a jamais fait?"
"Non."
"Avec Vincent, on le fait presque tous les jours. Tu verras, il saura s'y prendre, ça va te faire un peu mal mais tu vas aussi adorer. Alors, tu as envie qu'il t'encule?"
Je lâche, d'une voix étouffée "Oui."
"Alors, demande-le lui," ordonne Angélique avec un sourire malicieux.
Sans oser le regarder, dans un murmure presque inaudible, je demande à mon gendre qu'il veuille bien m'enculer. Et me voilà à quatre pattes sur le divan, débarrassée de ma jupe, mon cul tendu à Vincent qui le perfore de sa langue, y introduit un doigt... La nuit précédente, il m'a déjà fait connaître cette caresse coquine, mais j'ai quelque peu le trac en pensant que la pénétration qui va suivre sera d'un autre volume. Comme s'accordant à ma pensée, Angélique, qui s'était éclipsée, réapparaît avec une bouteille d'huile et... un superbe godemichet de caoutchouc noir. J'étais loin de soupçonner la présence d'un tel accessoire chez elle.
"Ne me dis pas qu'avec un mari comme le tien, tu as aussi besoin de ça?"
"C'est merveilleux de l'avoir dans la chatte pendant que Vincent me ramone le cul, ou l'inverse. Mais pour le moment, il va servir au dépucelage de ton petit trou."
Angélique débouche la bouteille d'huile. "Laisse-moi le faire," glisse-t-elle à Vincent. Après s'être enduit l'index de liquide, elle l'introduit doucement dans mon anus et commence à en lubrifier les parois. Etrange sensation de penser que le doigt qui caresse l'intérieur de mon petit trou, plus profondément que ce que Vincent a touché, n'est autre que celui de ma fille.
Elle retire son index, et je devine qu'elle huile maintenant le godemichet. Puis je sens le bout du mandrin de caoutchouc se présenter devant mon orifice, et, poussé par Angélique, en distendre lentement les muscles. Je gémis de douleur et d'excitation mêlées, en songeant que je suis tout simplement en train de me faire dépuceler par ma fille.
"Ca y est, maman, tu as mon gode bien dans le cul," dit tendrement Angélique. "Maintenant, tu vas prendre Vincent, et tu vas voir que ce n'est pas plus dur!"
Elle retire doucement le godemichet, et c'est maintenant mon gendre qui pénètre l'orifice encore distendu. En me tenant par les hanches, il commence un lent mouvement de va et vient, pendant qu'Angélique place le gode à l'entrée de ma chatte mouillée et me l'introduit.
"Tiens-le, maman," me dit-elle en le lâchant. "Tu verras comme c'est bon!"
Et me voilà glissant une main entre mes cuisses pour tenir l'instrument et le manipuler dans ma chatte, pendant que Vincent s'enhardit à me ramoner de plus en plus vite. Je sens son engin et le membre de caoutchouc se toucher à travers une mince barrière de chair, jusqu'à ce que je jouisse et que mon gendre me remplisse le cul de son sperme.
Je me souviens de m'être endormie dans le lit conjugal de mon gendre, Angélique et moi couchées de chaque côté de Vincent. Je me réveille le lendemain matin devant le visage souriant de ma fille.
"Alors, maman, bien dormi?"
"Autant que possible quand on vient de se faire enculer par son gendre sous les yeux de sa fille," dis-je avec une grimace complice. "Maintenant, ma chérie, tu le sauras: ta mère est une salope."
"Mais non," dit-elle en déposant un baiser sur ma joue. "Tu es juste une femme qui aime faire l'amour, et qui le fait bien. Comme moi! D'ailleurs, j'ai plein d'autres choses à te faire partager."
"Ah bon? Qu'est-ce que tu as encore en réserve?"
"Par exemple," répond Angélique en faisant mine de réfléchir, il y a parfois d'autres couples qui viennent ici, et on échange tout... Ca te dirait d'être là la prochaine fois?"