Je préfère juste regarder, pour commencer...

Je mets au point un stratagème qui me permettra d'espionner l'orgie de ma fille - rien que l'association des mots "orgie" et "fille" dans mon esprit me trouble énormément - sans être vue par ses invités : il me suffit de me cacher dans la penderie du salon, avec la porte entrouverte... Avec la lumière tamisée, personne ne me verra, et puis ils devraient être trop occupés pour me repérer !
Quand la porte sonne, je me rue dans ma cachette. Mais alors que mon gendre va répondre, Angélique me passe par surprise une boîte à chaussures. Prise de court par l’arrivée des invités, je ne peux pas lui demander ce qu’elle contient. Mieux vaut essayer de voir à quoi ressemblent nos partouzards !
Marc et Hélène, comme ma fille les appelle, sont un couple entre trente-cinq et quarante ans. Ils semblent très affectueux, à la fois entre eux et avec Vincent et Angélique ; alors qu’ils sont sensés prendre l’apéritif, les mains commencent assez vite à se promener. Hélène s’étant plainte de son mal de dos, mon gendre s’est promptement mis à la masser langoureusement, tandis que ma fille s’est assise, un verre à la main, sur les genoux de Marc qui en profite amplement pour lui caresser les fesses. Dès qu’il remonte les mains vers ses seins adorables, je la vois tellement frissonner et trembler d’excitation qu’elle renverse son cocktail sur sa jupe !
Je profite du fait qu’ils sont occupés par leurs petites affaires – la jupe d’Angélique tombe et laisse voir ses fesses rondes, le tailleur gris d’Hélène s’ouvre sur une poitrine sans soutien-gorge – pour glisser ma main contre ma culotte. Je n’imaginais pas que j’étais si excitée, mais la mouille se sent à travers le tissu, et mon clitoris s’électrise à la moindre pression. Je m’appuie contre le mur de la penderie pour plonger ma main au fond de la moiteur de ma culotte, sentir mes lèvres se gonfler et la cyprine humecter mes doigts. Je me branle doucement en continuant à regarder : ma fille a perdu sa culotte et est allongée sur l’accoudoir d’un fauteuil, pendant que Marc la fait gémir en léchant son petit bouton par-derrière. En même temps, son épouse Hélène a sorti la bite de mon gendre et la suce avec avidité. En la regardant, je repense à la sensation de ce gros gland rouge dans ma propre bouche, il y a peu de temps. J’imagine le pré-sperme chaud et visqueux qui doit commencer à couler sur sa langue et je fais vibrer ma main d’autant plus fort contre ma chatte brûlante. Mon premier orgasme me prend alors que je mate mes deux amants, garçon et fille, qui deviennent incandescents dans la paire de bouches de ce couple plus âgé qu’eux. Je dois me mordre la lèvre pour ne pas les alerter et manque de m’effondrer à l’intérieur du placard.
Je rouvre les yeux assez vite, l’esprit aiguisé par le contre-coup de ce bel orgasme. Je repense alors à la boîte à chaussure que m’avait envoyé ma fille juste avant la fête, et l’ouvre avec précautions. Quelle surprise ! La petite vicieuse m’a confié une série de godemichés, comme si je ne savais pas m’occuper toute seule… Je prends un gros vibromasseur et me rends compte qu’il a l’odeur salée d’une fente que je commence à connaître, celle de ma propre fille ! Je l’imagine se caler cette énorme chose vibrante, peut-être en suçant Vincent, avant de me souvenir que l’originale est toujours sous mes yeux ! Cette fois, elle s’est mise à quatre pattes sur le canapé, ma propre fille, qui chevauche Marc, un homme que j’ai vu pour la première fois ce soir. Ses grosses mains écartent les fesses de ma tendre fille, puis sont rejointes par les mains plus petites de Vincent. Quatre mains qui tirent, poussent et tripotent les fesses de ma fille adorée, c’est un spectacle qui fait remonter une chaleur intense dans mes tétons, dans ma gorge et entre mes cuisses. Mes doigts tripotent le vibromasseur au hasard jusqu’à ce qu’il se mette en marche, et je fais vite vibrer mon clitoris en cadence avec les coups de bite qui remplissent Angélique. Hélène, de son côté, avance sa chatte juteuse vers le visage contracté de plaisir de ma fille aînée, qui se met à la lécher comme si elle cherchait à puiser toute la mouille de cette femme ! Un homme sous ma fille, une femme devant elle, il ne manque plus que Vincent, qui rapproche son pénis du petit trou étoilé de sa petite amie… M’imaginant à la place de ma propre fille, je me branle à grands coups de vibro en ne perdant pas une miette du spectacle qui s’offre à moi. Je sens la mouille couler le long de mes cuisses, et m’engourdis de jouissance dans ma petite pièce, alors que ma fille se fait remplir les fesses et le sexe par deux bites si appétissantes…
Marc et Hélène ne s'attardent pas et laissent ma fille allongée et nue sur le canapé, pendant que mon gendre va prendre une douche bien méritée. Je sors de ma cachette et me jette dans les bras de ma fille ; comme elle, j'ai les joues rouges et les cuisses luisantes de mouille...
"Alors, maman, tu voudras participer la prochaine fois ?" me demande-t-elle en haletant.