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Chapter 8
by Gerald F.
Vais-je accepter cette partie à quatre?
Oui
Dès le lendemain, voilà Paul de retour, accompagné d'un beau jeune homme du nom de Carlo. Edwige et moi les accueillons en petite robe sexy, et à peine les deux garçons sont-ils installés sur le canapé du salon que ma soeur et moi nous déshabillons mutuellement, échangeant au passage quelques caresses et baisers assez peu sororaux, devant ces deux jeunes vicieux qui pourraient être nos fils. A l'invitation de Paul, je vais m'agenouiller devant Carlo, sors sa bite déjà bien raidie par la vision de nos corps matures, mis en valeur par les bas noirs qui sont restés nos seuls vêtements. Je prends son sexe dans ma bouche, le pompe, vite rejointe par Edwige empressée de goûter elle aussi au membre du bel Italien. Paul ne veut pas être laissé pour compte, il s'approche de nous et je laisse ma soeur s'activer sur le mandrin de Carlo pour lécher, embrasser et sucer celui de notre jeune voisin. Voilà les deux garçons à poil et nous quatre sur le tapis, Edwige et moi suçant de plus belle avant que Carlo ne me bascule à la renverse et ne plante sa bite entre mes cuisses toujours gainées de bas. Tout en me laissant troncher et malaxer les seins, je jette un oeil vers Paul et Edwige engagés dans un soixante-neuf acrobatique. Et je jouis en criant, entendant à peine les gémissements de plaisir que pousse ma soeur non loin de moi. Carlo n'a toujours pas éjaculé mais, lorsque je redescends sur terre et ouvre les yeux, me sentant inlassablement pistonnée, je constate que c'est désormais Paul qui me possède, tandis qu'Edwige à genoux, le visage enfoui dans le tapis, est prise en levrette par Carlo. Et c'est en moi que Paul éjacule, tandis que l'Italien remplit Edwige de son foutre.
Ma soeur et moi échangeons à nouveau quelques caresses, plus poussées que tout à l'heure, qui refont aussitôt bander les deux jeunes gens. Ils nous honoreront encore à maintes reprises, sans parler de l'amour lesbien et incestueux auquel Edwige a décidément pris goût, jusqu'à ce qu'hélas les vacances finissent. En cadeau de départ, ma soeur me laisse un des impressionnants godemichets avec lesquels elle trompe parfois le manque d'hommes, et que lors de mon séjour nous avons abondamments utilisés l'une sur l'autre. Le temps s'écoule pour moi sans autre compagnon que cet ustensile, jusqu'à ce que ma fille et mon gendre m'invitent à passer les fêtes chez eux. Proposition embarrassante: la Marie-Claude d'il y a quelques mois y serait peut-être allée, en redoutant de possibles nouvelles entreprises de mon gendre; la femme que je suis devenue aurait plutôt envie de les provoquer, quoi qu'il doive en coûter à ma fille...
Vais-je accepter leur invitation?
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Fair, French and Forty
Une histoire de femme mûre en français
Created on Feb 26, 2003 by Gerald F.
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