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Chapter 9 by Gerald F. Gerald F.

Vais-je accepter leur invitation?

Quitte à décevoir ma fille, mieux vaut l'éviter...

Je ne fêterai donc pas la fin d'année en famille, ce qui ne veut pas dire que je la fêterai seule. Le soir du 31 décembre, je me trouve dans un restaurant voisin de chez moi pour un repas dansant. Je n'y connais pas grand'monde, mais lie conversation avec un homme d'une dizaine d'années mon cadet, avec lequel je danse une série de slows. A minuit, tout en m'embrassant sur la joue, il dépose un baiser sur le coin de mes lèvres, qui lui répondent discrètement. Il me serre contre lui, et je sens sa bite bien raide contre mon bas-ventre.

Nous nous esquivons dans un couloir, l'inconnu me plaque contre un mur et m'embrasse fougueusement sur la bouche tout en fourrant une main dans le (profond) décolleté de ma petite robe à bretelles, pour écarter les bonnets de mon soutien-gorge et peloter mes seins aux pointes déjà bien durcies. Puis il attrape les bretelles et fait descendre ma robe jusqu'à la ceinture, en même temps que le soutien-gorge, mettant complètement à l'air mes seins qu'il embrasse et **** tout en retroussant ma jupe. Il semble constater avec plaisir que je n'ai pas de collant, mais des bas, un porte-jarretelles et un slip qu'il se baisse pour faire descendre le long de mes jambes. J'ai encore le slip accroché à une cheville que tout en se relevant, l'homme me fait pivoter face au mur puis pencher vers l'avant, tellement que je me cogne le front contre la paroi. Ma jupe est relevée sur mes fesses nues, et, cambrée et appuyée au mur des deux mains, je sens un mandrin gainé d'un préservatif, qu'il a du enfiler en un temps record, se planter jusqu'au fond dans ma chatte heureusement bien lubrifiée. Ses mains cramponnées à mes hanches, ses coups de reins me secouent à faire trembler le mur, je le supplie en gémissant de me défoncer, de me faire exploser, mais je sens maintenant ses mains qui écartent mes fesses, élargissent l'entrée de mon petit trou, puis sa bite qui se présente contre ma rondelle. L'orifice dépucelé par Paul quelques mois plus tôt, et que depuis je me suis longuement assoupli à coups de gode, reçoit à son tour l'hommage de l'impressionnant engin. Et ça y va comme par devant, sans que mon amant de rencontre abandonne ma chatte puisqu'il y introduit plusieurs doigts en même temps qu'il me pilonne le cul. Je dois écraser une main sur ma bouche pour ne pas hurler. Le voilà qui se retire à nouveau, appuie des deux mains sur mes épaules pour me faire asseoir le dos au mur - de toute façon, je tiens à peine debout - et je me retrouve nez à nez, si l'on peut dire, avec la bite dans toute sa splendeur. Il retire sa capote, je crois deviner ce qu'il va demander et ouvre déjà la bouche, mais il ne veut pas tout de suite, il me retient par les cheveux et m'expédie les deux premières giclées de purée dans la figure avant d'introduire sa bite entre mes gencives et de me faire avaler le reste.

Le temps que j'aie tout dégluti, il s'est rebraguetté et est reparti sans un mot vers la salle de bal. Je suis affalée au pied du mur, la figure pleine de sperme qui coule jusque dans mon cou, les seins hors du soutif, la jupe troussée sur ma chatte aux lèvres gonflées. C'est le moment que choisit une serveuse pour passer dans le couloir et m'adresser un sourire entendu. Je ne sais pas si j'oserai revenir dans ce restaurant.

C'est quelques jours après que je reçois un coup de fil d'Edwige, me disant que Paul vient faire un stage tout près de chez moi.

Vais-je accepter de l'héberger?

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