Oui

Je tends la main vers ses mamelons, les effleure, puis les caresse plus fermement. Edwige me sourit, elle aime ce que je lui fais. Je me penche vers sa poitrine, léchouille, tète, mords. Ses mains m'ébouriffent les cheveux. Paul s'est légèrement écarté et ne perd pas une miette du spectacle: pensez donc, ses deux belles maîtresses mûres en train de tourner gouines incestueuses... C'est lui qui me fait m'étendre sur Edwige qui referme ses bras sur moi. Nos seins s'écrasent les uns contre les autres, nos touffes se mêlent après que Paul ait complètement fait glisser mon slip. Notre jeune amant se met à me doigter la fente, me faisant pour plus de commodité lever les fesses, Edwige en profitant pour glisser un peu vers le bas et me bouffer à son tour les seins. Les doigts de Paul me rentrent dans la chatte jusqu'à quatre, j'attends sa bite mais ma soeur a une autre idée.
"Vas-y, encule-la ma cochonne de frangine!"
J'ai un mouvement de refus lorsque Paul empaume mes fesses et les écarte.
"Arrête, je ne l'ai jamais fait."
"Pas possible," dit Edwige, "ma soeur est pucelle du cul? N'aie pas peur, on va bien te le lubrifier."
Elle sort de sous moi et, tandis que je reste à quatre pattes sur les genoux et les mains, prend la bouteille d'huile solaire qui était restée au bord de la piscine, s'en fait couler sur l'index, me l'enfonce dans le petit trou pour m'en enduire les parois. Paul en profite pour diriger sa bite vers ma bouche. Je la prends d'une main, l'avale jusqu'au fond de ma gorge. J'ai à peine eu le temps de donner quelques coups de langue, qu'Edwige annonce que mon cul est tout à la disposition du jeune homme. Il passe derrière moi, empaume mes fesses, les écarte. Je sens son gland appuyer sur ma petite ouverture, la dilater, entrer, progresser dans mon intérieur. Ca y est, sa bite est toute entière dans mon cul, je râle de tension et de plaisir mêlés tandis qu'il commence un mouvement de va et vient. Edwige, qui s'est remise sur le dos, rampe sous moi et glisse sa tête entre mes cuisses, sa bouche atteint ma fente et mon clitoris, les prend d'assaut, et je jouis bientôt sous le double effet de la bite de Paul et de la langue de ma soeur. Mon dépuceleur n'a pas encore éjaculé. Ecroulée sur le matelas, retournée sur le dos, je vois Edwige prendre dans sa bouche le sexe qui sort tout juste de mon cul, le pomper jusqu'à ce qu'il gicle. Je devine que les premiers jets lui arrivent droit dans la gorge, puis elle sort le sexe de sa bouche, et tout ce qui reste se répand sur sa poitrine. Pendant que Paul reprend son souffle, ma soeur se tourne vers moi, ses seins magnifiques luisant de sperme, et je m'agenouille devant elle pour tout lui nettoyer jusqu'à la dernière goutte.
Nous retournons dans la piscine pour nous rafraîchir, nous frotter à nouveau les uns contre les autres, refaire l'amour. La nuit, alors que Paul est rentré chez lui depuis longtemps, Edwige m'invite à la rejoindre dans son lit.
"Tu sais," me dit-elle après de longues caresses, "alors que je me suis fait troncher de toutes les façons par tellement de mecs que j'en ai perdu le compte, si on m'avait dit que j'aurais ma première expérience lesbienne à quarante-neuf ans, et que ce serait avec ma petite soeur..."
"Tu as appris très vite," dis-je en l'embrassant. Elle me fait raconter mes expériences lesbiennes avec Edith, je lui confesse ma peur de la sodomie jusqu'à ce jour.
"Toi aussi tu auras découvert quelque chose," sourit-elle. "Et tu sais, j'ai parlé à Paul, il est prêt à recommencer... A quatre, avec un de ses copains..."