Sabrina et sa mère

Sabrina et sa mère

Vive les joies de l'Internet

Chapter 1 by Romie78 Romie78

Ma main était glissée entre les boutons du chemisier blanc de Sabrina. Son sein dans le

creux de ma main m'excite au plus haut point et nul doute que si sa mère n'avait pas été

présente, je l'aurai faite jouir.

"Putain j'en ai marre !" s'est-elle exclamée.

"Qu'est-ce que tu as ?"

"C'est ma mère qui me prend la tête, tous les jours c'est pareil, j'en ai marre, vivement que je

moi casse d'ici."

"Pourquoi tu dis ça ?"

"La baby-sitter ne vient pas ce soir, du coup, elle m'a demandé de surveiller Lucas."

"Ce n'est pas grave, on pourra toujours regarder un bon film et après s'amuser un peu."

sourit Marcus.

"Mais à chaque fois c'est pareil, j'en ai vraiment marre, c'est moi qui me tape Lucas alors

qu'elle va à la rencontre de tous ces vieux ! Tu peux voir ce qu'elle ramène à la maison de

temps en temps."

"Qu'est-ce que tu veux dire ?"

"Ah oui, c'est vrai, je ne te l'ai pas dit, figure-toi que ça fait 3 mois qu'elle s'est mise en tête

de se dégoter un nouveau mec, non mais sérieux à 42 ans elle préférerait mieux s'occuper de

nous."

Si Sabrina, du haut de ses 18 ans, était déjà une jolie fille, sa mère, Caroline, était la

réincarnation d'une déesse blonde aux cheveux mi-longs. Régulièrement elle se faisait un

chignon sur la tête ce qui, avec ses petites lunettes rondes, lui donnaient un côté BCBG.

Question forme, elle n'était pas en reste, car si les seins de Sabrina étaient assez

volumineux, ceux de sa mère qu'elle dissimulait sous les nombreux chemisiers qu'elle portait

régulièrement, étaient, à première vue, encore bien plus gros.

Si Sabrina ne souhaite pas les raisons qu'avait sa mère de vouloir retrouver une stabilité

amoureuse, moi j'avais toujours été surprise qu'une femme aussi classe et belle reste seule.

Il m'arrivait de temps en temps de rêver que j'étais l'homme de la maison, et je ne me lassais

pas de la regarder du coin de l'œil quand elle marche devant moi ou se penchait.

Régulièrement j'essayais d'imaginer la couleur de sa culotte et de temps en temps, quand

j'avais de la chance, je voyais apparaître le haut de sa culotte quand elle se penchait. Je moi

retrouvais alors avec une érection en me disant, tient aujourd'hui tu as mis une petite culotte

noire. A d'autres moments, principalement quand nous étions à table, je me régalais

également de la vue de sa poitrine généreuse. Quand la chance était avec moi, j'apercevais

la bretelle d'un soutien-gorge dont j'imaginais aussitôt la couleur et la texture, c'était comme

gagner le jackpot surtout quand il faisait très chaud. Bien évidemment elle ne se rendait pas

compte que je la déshabillais du regard, elle se laissait aller et je fin apercevoir à

travers certains de ses chemisiers un peu transparent, la forme et la couleur de ses soutiens

gorge.

Caroline du haut de ses 42 ans ne portait que très peu d'intérêt à ma présence dans leur

foyer. Après tout, comment pouvait-elle imaginer les pensées obscènes qu'elle m'inspirait,

moi le petit ami de sa fille. Je suis sûr qu'à ses yeux nous étions plus des copains qu'un

couple d'amoureux. Ça me plaisait qu'elle croit que nous n'étions qu'un couple d'amis, car

généralement après une baise avec sa fille, j'aimais descendre à la cuisine boire un petit

café ou un bon coca et regarder sa mère installée dans le canapé devant la télévision tout

en me disant, si tu savais aujourd'hui comme ta fille comme pu me vider les couilles.

Je ne voulais pas montrer l'intérêt soudain de la révélation de Sabrina envers sa mère avait

éveillé en moi, alors je suis mis à jouer les hébétés.

"Ah bon elle fait des rencontres ?"

"Oui, c'est du grand n'importe quoi !"

"Et comment tu le sais ?"

"Une fois j'ai voulu prendre son ordinateur et elle n'avait pas fermer sa session tu aurais dû

voir le travail et nia nia nia et nia nia nia non mais sérieux c'était pathétique."

"Elle le sait que tu sais ?"

"Non"

"À tous les coups elle fait ça sur Facebook ?"

"Tu rigoles, elle va sur "adopte un mec.com", non mais sérieux, elle croit vraiment trouver

un mec là-dessus."

Sabrina, depuis longtemps, était régulièrement en guerre avec sa mère, et ne satisfaite

son mode de vie, et elle ne souscrit pas la bienveillance de sa mère envers elle,

c'était généralement source de conflit et de litige. Sabrina était tellement haineuse envers

sa mère qu'elle m'a même avoué qu'elle aurait aimé que sa mère tombe sur un homme qui

lui pourrisse la vie comme elle pourrissait la sienne, et c'est là que l'idée m'a fait tilt.

"Pourquoi on ne lui ferait pas une blague ?"

« Quelle blague ?

"Tu connais son pseudo ?"

"Lola57. Rien que son pseudo déjà est naze, sérieux Lola 57 pourquoi pas lolita ?" se mit à Sabrina.

"On pourrait se faire passer pour quelqu'un d'autre et lui envoyer l'amour de sa vie" se mit à

rire ironiquement Marcus. Car si Sabrina a écouté son petit ami avec intérêt, il était évident

que du côté de Marcus les intentions étaient tout autres.

"Et sur lui dira quoi ?"

"Je sais pas moi, je pourrais me faire passer par exemple pour un prof de sport c'est bien ça,

et c'est pas compliqué, on prend une photo sur internet et hop le tour est joué."

"Et si elle découvre que c'est nous ?"

"Comment veux-tu qu'elle le sache ? A moins que tu ne lui dises, car ce n'est pas moi qui

vais lui dire. Après on peut même imaginer que j'habite à l'opposé de la ville ce qui rend plus

Les visites compliquées imaginent un peu sa tronche à la fin quand il ne sera pas là et qu'elle se

retrouvera planter sur un quai de gare, et puis pendant ce temps elle te foutra peut-être la

paix."

Marcus s'est réjouissant quand il a entendu Sabrina sourire et répondre "oh oui on fait ça."

Il n'en n'aura pas fallu plus pour que Marcus et Sabrina s'installent sur l'ordinateur qui

repose dans le coin de la pièce.

Et si Sabrina se donne du cœur à l'ouvrage à créer un profil à Marcus. De son côté Marcus

savoure la naïveté de sa petite amie, non seulement elle lui a donné la possibilité de

communiquer avec sa mère, mais en plus c'est elle-même qui est en train de lui créer un

compte avec une vie imaginaire.

Les cœurs et les nombreux messages envoyés à Caroline sont restés sans réponses

pendentif de longues semaines. C'était, telle que Sabrina et Marcus s'étaient fait une raison.

Ce n'est que trois semaines plus tard que Marcus vu apparaître sur son écran d'ordinateur

un message provenant de Lola57. Marcus fut tellement surpris qu'il lui fut impossible de se

concentré et il s'est pressé de cliquer dessus.

Un grand cri de victoire est sorti de la bouche de Marcus. Car si le profil n'avait rien de

surprenant à part les informations d'usage, la photo qui encadrait le profil était celle de

Caroline la mère de sa petite amie. Oh le message n'avait rien d'extraordinaire il n'y avait

qu'un "Bonjour !" Souligné en rouge.

Il n'en n'aura pas fallu plus pour que Marcus entame la conversation. Oh c'était une

conversation des plus banales avec quelques questions dont il connaît déjà les réponses

avant de les poser, du genre si elle était mariée si elle avait des enfants puis il lui a parlé un

peu de lui, s'inventant une profession, des anecdotes lors de nombreux voyages. A 18 ans et

demi, il est évident que Marcus ne connait pas grand-chose de la vie, et tout ce qu'il lui

écrivait correspondait à une vie imaginaire. Son intention était bien évidemment ailleurs.

Les conversations ont duré plus de deux mois, et à en croire les messages de Caroline, il

était évident qu'elle s'était lourdement attachée à ce personnage de fiction créé de toute

pièce. Même Sabrina avait remarqué le changement soudain de sa mère, elle était plus

apaisée et souriante loin de se douter que ce changement de comportement n'était que le

fruit de Marcus fils petit ami.

Puis Marcus a décidé de monter d'un cran les discussions ce fameux 4 juillet 2021. Car si les

conversations, jusqu'à maintenant, n'étaient que politesse et bienveillance. Marcus tenu à

entrer dans le vif du sujet, après tout, n'était-ce pas là son véritable mais ?

"Bonsoir Caroline je regarde mon réveil il est minuit et je pense à vous."

Une minute à peine à peine suffit avant que Caroline ne réponde à son tour.

"Ah Bruno votre message me fait plaisir chaque jour je prends de plus en plus de plaisir à

vous lire et j'ai l'impression de vous connaître depuis maintenant de bien nombreuses

années, quand pourrons-nous rencontrer et boire un bon café à une table de terrasse

je pense à vous."

"Caroline, vous le savez la situation actuelle ne me permet pas malheureusement pas un

rapatriement dans l'immédiat les conditions actuelles et le climat ne sont pas propices à

notre station pétrolière, chaque jour je me dis accroche-toi c'est pour bientôt et ce jour nous

pourrons vivre notre idylle à Vancouver."

"Bruno, capable-vous dire vrai je me réjouis déjà d'être à ce jour."

"Caroline, à cet instant je me sens si seul dans cette couchette, et le contact d'une femme

me manque, j'aimerais tant être à votre côté."

"Croyez bien Bruno que j'aimerais sentir la chaleur de votre corps contre le mien."

Marcus à cet instant a ressenti une vive érection il était en train de pénétrer dans la vie

intime de Caroline, sa respiration commençait à s'accélérer et ses doigts tremblaient sur les

touche de l'ordinateur.

"Caroline vos phrases me réchauffent et j'aimerais pouvoir vous caresser du bout des

doigts."

"Bruno vous me faites rougir ce n'est pas digne d'un gentleman comme vous." Trois petits

smileys en train de sourire accompagnent le message.

"Caroline ne m'en veux pas, 3 mois et demi en plein milieu de l'océan c'est dur même pour

un gentleman comme moi."

"Ah Bruno comment pouvez-je vous en vouloir je vous comprends tellement seul perdu au

milieu de tous ces hommes."

"Caroline, laissez-moi la chance de pouvoir m'évader un instant."

"Dites-moi Bruno, que puis-je faire pour vous permettre de vous évader ne serait-ce qu'un carte de temps qui ne nous sépare"

"Décrivez-moi ce que vous portez à cet instant ?" Marcus ayant bien entendu de

prendre un sacré risque

"Bruno, tu me fais rougir."

"Désolé Caroline la n'était pas mon intention mais j'en ai tellement besoin."

"Coquin, je porte une petite nuisette noire."

Marcus a cru s'évanouir en lisant la réponse de Caroline. Car si Marcus jouait au gentleman

par conversation interposée, son cerveau bouillonnait et ses pensées n'étaient pas du tout

celles d'un monsieur. Bien au contraire, devant son écran d'ordinateur du haut de ses 18

ans et demi Marcus imagine sans grand mal la mère de sa petite amie dans une

combinaison noire.

"Oh, Caroline comme j'aimerais voir cela."

"Un jour viendra."

"Pourquoi pas aujourd'hui Caroline, je pense tellement à vous."

"Mais Bruno, auriez-vous oublié la distance qui nous sépare ?" Le message était

accompagné de trois petits smileys souriants.

"Oh non Caroline commente l'oublier, mais maintenant le numérique comble ces lacunes.

Une simple petite photo numérique peut nous aider à oublier le temps d'un instant les

kilomètres qui nous séparent."

"Ah Bruno vous devriez avoir honte, rendez-vous compte de ce que vous me proposez ?" 3

nouveaux petits smileys rigolants.

"Désolé Caroline, mais ne sommes-nous pas des adultes ?"

Marcus aura attendu 3 bonnes minutes dans l'expectative avant de voir sur son écran

Apparition d'un nouveau message accompagné d'une photo. Il cru éjaculer rien qu'en cliquant

sur la photo et en apercevant la moitié du corps de la mère de sa petite amie allongée dans

fils allumé.

"Ah Caroline vous me combler de bonheur, et j'aimerais tant en voir un peu plus."

"Bruno, ce que vous me demandez, bien que je le regrette, et au-dessus de mes moyens

croyez bien que ceci m'a déjà demandé un grand courage."

"Caroline je suis tellement heureux de cet acte que vous avez accompli, et vous êtes telle

que je m'imaginais. Mais je suis si curieux de savoir ce qui se cache sous cette combinaison et qui me permettrait de m'endormir en faisant les plus beaux rêves."

Si Marcus est tout excité ce n'est rien comparé à ce qu'il a ressenti en recevant une nouvelle

photo de Caroline qui avait gardé la même position allongée à la différence près qu'elle avait

relevé légèrement sa combinaison noire de quelques centimètres juste assez pour pouvoir

apercevoir le tissu d'une petite culotte qui se cache sous la combinaison noire également.

C'était tellement puissant pour Marcus qu'il ne pouvait pas aller plus loin, il s'est empressé

de sortir son membre de son pantalon et a commencé à se masturber devant la photo de la

mère de sa petite amie allongée dans son lit la combinaison légèrement relevée afin de lui

permettre de voir le tissu de la culotte noire.

Et si Caroline continuait d'envoyer des messages qui étaient sans réponse car de son côté

Marcus se paluchait de plus en plus rapidement. Et pour vraiment faire jaillir son plaisir

comme jamais avant, il s'était même permis le culot d'ouvrir dans une fenêtre de l'ordinateur

une photo de Sabrina à la plage à côté de la photo de Caroline. L'idée de se branler devant

la photo de sa petite amie et celle de sa mère était très jouissif à ses yeux. Il trouve ça

tellement excitant qu'il ne mit pas longtemps à éjaculer devant le regard de sa copine et les

jambes de Caroline.

Une fois son affaire accomplie. Marcus s'est excusé auprès de Caroline pour son interruption

de conversation se justifiant par une alerte soudaine sur la plate-forme, et bien évidemment

Marcus a pris soin de faire toutes les captures des photos que lui avait adressées Caroline et

il impatient et excité de pouvoir revoir dès le petit matin Caroline et sa fille chez elle. Je

était évident que Marcus ne regarderait plus la mère de sa petite amie de la même façon.

Si la nuit fut longue pour Marcus et pleine de pensées plus perverses les unes que les

autres, il s'est rapidement consolé au petit matin. Sabrina était attaquée devant un bol de

chocolat. Comme à son habitude Marcus se pencha pour lui poser un léger baiser sur les

lèvres.

Puis bien que discutant avec Sabrina, il ne pouvait s'empêcher de penser à Caroline se

demandant pourquoi n'était pas encore là, car d'habitude Caroline était bien présente à la

cuisine avant son arrivée, il était vraiment curieux de connaitre la cause de son retard.

"Mais dis donc c'est normal que ta mère ne soit pas encore là ?"

"Elle s'est couchée à je ne sais pas quelle heure hier soir."

"Pourquoi elle est malade ?" Bien évidemment la question était ironique et il connaissait déjà

la réponse.

"Non elle a tchaté toute la nuit, elle croit peut-être qu'on n'entend pas les sons des touches,

certainement un nouveau."

Marcus a ressenti une très légère excitation mais réelle en écoutant Sabrina. Il aurait aimé

lui dire à cet instant, tu sais que c'est avec moi qu'elle était, elle m'a même envoyé une photo

de sa culotte et rien que le fait de penser à la mère de sa petite amie devant Sabrina, il s'est

redressé et de nouveau s'est dirigé vers Sabrina puis il s'est glissé derrière elle et a positionner ses mains sur sa poitrine.

"Qu'est-ce que tu fais ?"

Si Marcus n'a pas répondu, c'est évidemment parce qu'il se remémore en tête la photo de sa

future belle-mère et le fait de saisir à pleines mains les seins de Sabrina même à travers son

pull lui procure une nouvelle excitation, il s'imagine tripotant non pas sa petite amie,

mais la mère de celle-ci. Le pelotage des seins pris fin car des pas se sont fait entendre et

bien évidemment Sabrina a repoussé les mains de Marcus hors de sa poitrine.

Si Caroline s'est interrogée un léger instant en apercevant Marcus derrière la chaise de sa

fille, Marcus de son côté eu beaucoup de mal à se concentrer, même Caroline c'est aperçu

de la gêne soudaine du petit ami de sa fille mais elle mit ça sur un petit jeu d'amoureux entre

eux. Elle était bien loin d'imaginer que si Marcus était si mal à l'aise, c'est qu'il ne pouvait

s'empêcher de revoir en boucle dans sa tête les photos qu'elle lui avait fait parvenir la veille.

Et à peine Caroline c'était elle diriger vers le réfrigérateur et la cuisinière que Marcus pu

admirateur avec passion et envie les fesses de la mère de sa petite amie se dandiner. Il ne

pouvait s'empêcher d'imaginer ce qu'elle avait dessous et se demander si elle portait

toujours la même culotte. Il aurait aimé aller se coller à elle tout en lui disant allez laissez-toi

faire tu vas voir, tu vas aimer. Mais Marcus n'a que 18 ans et demi et a beaucoup de mal à

ses émotions et dissimuler le contrôler de son sexe dans son pantalon à tel point

que Sabrina s'aperçut rapidement de l'érection de son petit ami. Bien évidemment, pour elle,

c'était dû aux caresses de ses mains sur sa poitrine, elle était loin de se douter c'était sa

mère qui en était la cause.

Puis, alors qu'il avait repris place sur une chaise espérant que la table dissimulerait son

érection, Caroline a demandé à sa fille de venir l'aider à retourner son matelas le temps que

sont lait chauffait. Marcus a proposé son aide au lieu de Sabrina mais Caroline qui est assez

distante à l'égard du petit ami de sa fille, même si elle l'accepte sous son toit, avait balayé

d'un revers de mains sa proposition, car elle ne comprenait pas vraiment et n'aimait pas que des

étrangers pénètrent dans sa chambre qui était pour elle un endroit intime un peu comme sa

tanière

Puis, alors que les filles étaient occupées à retourner le matelas, sans savoir trop ce qui le

poussait à faire ça, Marcus s'est dirigé le cœur battant et les jambes tremblantes vers la

gazinière où chauffait tranquillement le lait, il a extrait son sexe et tout en fixant la porte afin

de s'assurer que personne ne revenait, il s'est mis à se masturber en visualisant les

quelques images de la mère de sa femme devant la cuisinière, la façon qu'elle avait de

dandiner ses fesses, tout en se demandant ce qu'elle pouvait bien porter sous son jean.

Quand il s'est senti près de l'éjaculation, sans vraiment savoir ce qui le poussait à faire ça, il

s'est penché au maximum au-devant de la gazinière et a éjaculé dans la cocotte. Sur le

coup il a trouvé cette idée excitante mais une fois l'éjaculation terminée et après avoir remis

son sexe en place, la panique le pris et au moment même où il attrapait le manche de la

cocotte pour en extraire de la surface les fluides de son éjaculation qui flottaient sur le lait

Caroline est apparu suivi de sa fille.

"Ah c'est bien Marcus" dit Caroline qui aimerait que Marcus éviterait que le lait ne bouille

et déborde, loin de se douter de ce qui avait réellement motivé le petit ami de sa fille, et

Marcus en panique et terrorisé se saisit d'une grande cuillère à café sur la table et se mit à

mélanger le lait prétextant que c'était pour qu'il n'y ait pas une couche de crème de lait à la surface.

Une fois fait, il donna la cocotte de lait à Caroline qui, loin de se douter de l'ajout

personnel de Marcus, se remplit son bol.

Marcus aurait aimé lui dire - "non ne boit pas ça" - mais ça lui était impossible, il n'aurait

jamais pu expliquer pourquoi ! En final, en voyant le bol de lait coller aux lèvres de caroline, il

a même ressenti une nouvelle érection, c'était à la fois angoissant et excitant de voir la mère

de sa petite amie absorbe involontairement son jus de couilles. Commentaire Caroline ne s'en

aperçu pas ? il se dit que ça devait être la crème qui couvrait le goût, en tout cas une choisi

était sûre, cette expérience lui veut envie de tendre de nouvelles petites perversions contrôler ou un contrôler.

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