L'émancipateur de l'Empire

L'émancipateur de l'Empire

La baguette de la destinée face aux sombres desseins de l'impératrice

Chapter 1

Notre histoire prend place en Rhi'anon, un empire sur le déclin, dirigé par une main de fer par l’impératrice Sorsha et ses légions d’amazones noires. Cet empire s’étendait auparavant sur tout le continent d’Hithlum, mais les fiers impériaux d’antan qui servaient sous les ordres du féroce mais honorable Damodar ne sont plus qu’un lointain souvenir. La cruelle et paranoïaque Sorsha ne pense aujourd’hui qu’à gagner plus de puissance et de richesse, ce qui a donné lieu à de nombreuses révoltes aux confins de l’empire de Rhi’anon. Ainsi les elfes sylvestres à l’Ouest ont réussi à créer un royaume autonome dans la lointaine et mystérieuse forêt de Brokelaune, tandis que les hordes de barbares du Nord ne sont plus qu’en théorie gouvernées par l’impératrice. Au sud les provinces marchandes ne sont pas assez audacieuses pour se révolter, mais les taxes qui augmentent d’années en années laissent planer un vent de mécontentement qui pourrait aboutir à une révolte. Enfin, des rumeurs parlent de la réouverture des failles maudites des monts de Pathenia à l’Est, des peaux vertes et pire encore fouleraient de nouveau les terres d’Hithlum sans que personne ne se dresse face à eux…

Mais tout cela ne vous intéresse qu’assez peu !

En effet vous êtes Jean Ham, un palefrenier de l’auberge du Lézard Cyan, à la croisée des chemins entre les provinces marchandes (où beaucoup de voyageurs se pressent), les royaumes sylvestres (où personne de censé ne va) et la capitale (où de moins en moins de personnes censées vont). Un peu fainéant, plutôt charmant et assez compétent. Vous vivez une petite vie tranquille près du village de Tarantia et du bosquet sacré. A l’auberge vous travaillez avec Hélène votre mère, tenancière et cuisinière, Sophie serveuse et femme de chambre, Hugon aide cuisinier et homme à tout faire, et Séléné barde et serveuse.

Acte 1 : une rencontre sylvestre inattendue

Vous êtes dans un sombre palais, dans une sombre tour, dans un sombre couloir. Les murs et le sol luisent et semblent suinter un étrange liquide, plus loin résonnent des bruis de pas. D’énormes armes, de scintillants trésors et des portraits de femmes magnifiques sont accrochés au mur. Alors que vous avancez, vous apercevez une silhouette longue et filiforme qui avance devant vous, elle porte une longue cape noire et est sertie d’une couronne avec de longs piquants. A votre vitesse vous allez la rattraper, vous hésitez donc et commencez à ralentir, finalement elle ralentit brusquement, se retourne. Vous n’apercevez qu’un instant son visage de marbre et ses grands yeux sombres alors qu’elle vous clame d’une voix tonnante « je vous vois ! ».

Vous vous réveillez brusquement sur votre lit. Alors que vous essayez encore de comprendre ce qui vous est arrivé, vous sentez quelque chose de chaud entre vos jambes : votre habituel bâton matinal est plus dur que d’habitude, et humide aussi. Alors que le flou de vos yeux s’atténue, vous apercevez dans la pénombre de votre chambre sous les toits les longs cheveux bouclés de Sophie entre vos jambes, elle relève légèrement la tête et vous jette un regard malicieux de ses doux yeux bleus au milieu de son joli minois constellé de tâches de rousseur, puis enfourne un peu plus votre engin dans sa bouche délicate et commence des mouvements de va et vient qui aspire délicatement votre gland. Vous laissez échapper un gémissement de plaisir en levant la tête. Alors que vous alliez lui proposer une petite levrette pour bien commencer la journée, vous entendez des pas dans les escaliers : vous reconnaîtriez entre mille cette démarche déterminée, c’est Hélène qui vient vous secouer pour aller travailler !

En un éclair vous jeter les draps sur Sophie afin de la camoufler avant que votre mère n’ouvre brusquement la porte. « Alors messire Jean, je vois que vous profitez encore une fois bien de la nuit ! » (si elle savait à quel point, pensez-vous) « peut être pourriez-vous nous faire l’honneur de descendre et de faire, je ne sais pas… votre travail par exemple ! » ajoute-t-elle d’un ton dédaigneux. Alors que vous vous apprêtez à répondre, vous voyez le drap bouger légèrement et vous sentez votre gourdin être de plus en plus aspiré, puis des coups d’une petite langue commence à le lécher. Vous tentez de contenir votre réaction, alors que vous commencez à sentir des sueurs froides sur votre front. Alors que vos yeux s’habituent à la lumière nouvelle, vous voyez le regard pénétrant et la moue de dédain de la fine bouche de votre mère, une grande femme altière, ses longs cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules dénudées. Elle a les mains sur les hanches de son corset de cuir, et ses pieds délicats tapotent sur le seul en attente d’une réaction de votre part. Avec une voix étouffée, vous tentez de lui répondre calmement « oui maman, je viens tout de suite ne t’inquiète pas ! ». Elle souffle puis se retourne en laissant la porte ouverte « tu as intérêt à venir rapidement oui ! ». Alors qu’elle descend l’escalier, vous venez… abondamment dans la bouche de Sophie qui a un hoquet de surprise, mais avale goulûment le liquide chaud que vous déversez dans sa petite gorge délicate. Elle pompe avec envie tout ce que vous avez à offrir, puis vous regarde avec un petit sourire coquin.

Après avoir embrassée et remerciée Sophie pour sa petite surprise bienvenue, vous dévalez les escaliers, à moitié habillé, à moitié réveillé, mais complètement stressé par le sort réservé par votre mère. Elle vous lance une miche de pain : « pas le temps de t’asseoir, livraison en ville aujourd’hui ! Et plus vite que ça ! Hugon t’attend dans la cours ». Vous croquez dans la miche en bougonnant, puis récupérez les sacs de marchandises que vous mettez sur votre âne Bâté et vous dirigez en ronchonnant vers la lisière de la forêt. Les oiseaux gazouillent dans les prés lorsque vous passez, un doux soleil vous réchauffe le visage, et une légère brise vous soulève les cheveux. C’est une magnifique journée… que vous auriez bien passée au lit à retourner Sophie dans tous les sens ! Elle avait l’air si gourmande ce matin, elle n’attendait que cela… Diable de ces corvées incessantes !

Alors que vous continuez de maudire votre vie de palefrenier exploité, vous pénétrez dans la forêt. Alors que vous plongez au cœur de la forêt et que l’environnement s’assombrit, vous remarquez un silence étrange et assez soudain. Bâté semble réticent à avance et vous ressentez un froid sur votre nuque… Vous continuez à avancer prudemment, finalement un cri aiguë et bestial retenti ! S’en est trop pour Bâté qui charge dans le sens inverse, sa laisse vous échappant des mains sous le coup de la surprise. Paniqué, vous vous jetez contre un arbre, essayant de voir d’où provient le bruit. Vous apercevez des silhouettes humanoïdes plus loin sur un sentier. Vous vous approchez prudemment, restant caché. Vous êtes horrifiés par ce que vous trouvez : trois créatures vertes, de petites tailles, portant des protections de cuir clouté noir disparates et armées de gros gourdins piquants encercle une jeune femme. Enfin, cela ressemblait à une jeune femme, mais en regardant mieux, vous constatez qu’elle a une peau teintée de vert et de brun, à l’aspect légèrement rugueux, et des oreilles pointues qui lèvent tout doute : il s’agit d’une elfe sylvain ! Cela semble être une chasseuse ou une archère, elle possède quelques plaques d’armure légère teintée en vert sombre, un arc magnifique qu’elle bande habilement, un long couteau est à sa ceinture.

Elle décoche une première flèche qui pénètre la gorge du premier assaillant, qui s’effondre avec un gargouillis pathétique. A peine la flèche décochée qu’elle bande à nouveau son arc de ses doigts agiles, alors que les deux autres créatures se jettent sur elle, la deuxième flèche à si courte distance traverse le côté d’une bête qui chute avec fracas, tandis que l’autre tente d’asséner un coup de son gros gourdin sur le corps de la frêle jeune sylvestre. Elle tente à la fois de l’esquiver et de le parer avec son arc, qui lui échappe des mains sous le choc. Alors que le monstre relève son arme à deux mains pour porter un coup fatal, l’elfe use de toute la célérité légendaire de son ethnie pour dégainer son long couteau qui tranche la gorge de la créature avant qu’elle n’est le temps de réagir. Elle s’écroule en avant, et l’elfe doit faire un pas de côté pour éviter que le corps inerte la recouvre. Vous laissez échapper un hoquet de surprise, car la concentration pour cette dernière esquive et la certitude de s’être débarrassée de ses assaillants fait commettre une erreur à la jeune elfe. Elle se trouve de dos face à la brute qui n’a été que blessée au côté ! Quand la guerrière se rend compte de son erreur, il est trop tard, le gourdin s’abat sur elle et elle ne peut qu’éviter un coup mortel en l’amortissant de son couteau, elle tombe sur le sol, engourdie. La créature se dresse face à elle en criant, ses deux gourdins levés devant elle. Vous vous demandez avec horreur lequel elle va utiliser pour tuer ou souiller cette elfe qui paraît maintenant si chétive.

Alors que vous réfléchissez sérieusement à vous enfuir, vous apercevez un gourdin d’une créature qui a roulé jusqu’à vos pieds. Finalement rassemblant un courage qui vous était jusqu’alors inconnu, vous le saisissez et l’abattez sur l’arrière de la tête de la créature. Le bruit du crâne fracassé ne couvre pas totalement le bruit d’un liquide éjecté. Et alors que la bête immonde s’écroule sur elle-même, vous voyez l’elfe baignant dans un liquide poisseux qui gesticule vainement, comme atteinte de délire ou de fièvre. En vous approchant vous voyez que le liquide à atteint son visage si précisément sculpté, avec son nez fin qui se retrouve à faire des bulles dans ce fluide répugnant, sa fine bouche légèrement gercée essayant vainement de ne pas en avaler. Certains de ses éléments d’armure sont également luisant, et une partie de sa belle tunique verte est détrempée. Sa courte jupe à lanière n’a pas arrêtée le liquide qui coule sur ses jambes fines et gracieuses, mais musclées. Vous tentez de l’aidez en en enlevant un maximum de son visage avec vos vêtements. Elle se débat mollement, restant allonger en proie à de légers délires. Une fois que vous l’avez aidez de votre mieux. Elle semble s’être assoupie. Vous la portez sur la route principale ou vous retrouvez Bâté. Vous la mettez sur son dos et l’apportez à l’auberge.

Vous entrez discrètement par l’arrière en espérant éviter de croiser du monde en fin de mâtinée. Vous parvenez à la monter jusqu’à votre chambre sous les toits. Vous la posez délicatement sur votre lit. Vous n’avez rien contemplé d’aussi beau. Le corps à la fois frêle et résistant, fin et magnifiquement sculpté. La partie visible de ses jambes et ses mollets délicats laissent présager des hanches sublimes. Sa poitrine qui se soulève et s’abaisse sous sa tunique ne peut qu’être constitué de petits seins pointus et parfaits. Reprenant vos esprits vous allez chercher de l’eau chaude et commencez à nettoyer son visage. Vous faites ensuite ses bras, puis commencez ses jambes. Alors que vous nettoyez délicatement le bas de ses cuisses, elle semble un peu reprendre ses esprits. Elle commence à bouger légèrement, ce qui vous donne un bref aperçu de son entrejambe : au sommet de ses cuisses belles et fermes, se trouve une petite culotte qui ressemble à de la dentelle végétale. Vous constatez qu’elle est trempée ! Pourtant le liquide de la créature n’a pas atteint cette partie là… Vous demandant ce que cela signifie, vous entendez gémir la créature « il faut… me soulager… soulagez-moi, je ne peux plus tenir ! Videz-moi ! ». Décontenancé, qu’allez-vous faire :

-allez chercher Sophie pour qu’elle vous aide à « soulager » la jeune elfe

-tenter de la « soulager » vous-même

Une fois cette tâche accomplie, vous vous rendrez compte que votre mère à profiter de votre départ pour rencontrer… quelqu’un…

-Allez vous espionner son entrevue ?

-ou préférez-vous passer plus de temps avec Sophie ?

Soulager l'elfe seul ou avec Sophie ? Espionner l'entrevue de votre mère ou profiter du temps avec Sophie ?

  • No further chapters
Want to support CHYOA?
Disable your Ad Blocker! Thanks :)