plateau de cinéma

les locaux du tournage grouillaienit de monde, j'étais reparti sur les chapeau de roue le réalisateur faisait claquer le fouet, intérieurement je remerciais papa son fortifiant me permettait de faire face.

Sophie aussi devair lui être reconnaissante car elle enchaînait les scènes et chaque fois que c'était avec lui elle était rayonnante.

Le réalisateur avait parfois la main baladeuse mais je ne voulais pas profiter de mon statut de protégée et attirer des ennuis à papa.

Le soir j'étais fourbu aussi sans regarder je me mettais à poil mais en me retournant. Je fus surprise de trouver papa dormant couché sur le lit recouvert juste d'une serviette la journée avait été dure, mais encore je vis la bosse formée par son sexe dessous.

Je me positionnais entre ses cuisses écartées, je soulevais la serviette j'admirais la virilité de mon père, je commençais à le jauger dans ma main qui instinctivement commença à aller et venir provoquant rapidement une érection assez importante.

J'étais fascinée de voir ce phénomène se produire, sa taille. Quand la voix de mon père s'éleva

-tu fais quoi Teyla ?

Timidement et faussement sur le ton de la naïveté.

• je découvre papa.

Il soupira

_ Papa apprend moi quoi faire je ne veux pas faire comme Sophie qui en souffre encore.

Il corrigea comment je prenais son sexe je chevauchais ses cuisses sous son regard suspicieux car il y avait une limite à ne pas franchir,

-moins ferme dans la poigne tu me broies la bitte, là augmente doucement la vitesse pour branler, ressents les changements du sexe.

J'obéissais désireuse de m'appliquer au bout d'un moment

-hum oui comme ça c'est bien ma fille ralentis sinon je vais venir travailler vite

J'ajustais effectivement, je sentais la base du sexe enfler comme si un liquide montait en direction du gland, je parvins à repousser l'éjaculation mais finalement il finit par jouir

Oui bien ma fille

Le sperme coula sur mon ventre, ma main, c'était chaud, blanc, je frémis de satisfaction d'avoir donné du plaisir à mon père.

Il me poussa sur le lit et alla dans la salle de bain, avec lubricité je léchais ma main, le goût était salé pas autant dégoûtant qu'on me l'avait dit à l'université, satisfaite je recoltais les autres traces sur mon ventre et mon sexe, poussant le vice à lécher une goutte au sol.

Le soupir de mon père me fit me raidir

• tu fais quoi là Teyla je te cède un peu et tu fais n'importe quoi ? Tu es bien la fille de ta dévergondé de mère.

J'étais honteuse et désemparée