apprentie

• Papa je ne sais pas, j'ai peur de mal faire, de subir ce qu'a subit Sophie et tant d'autres qui en ne sachant pas ont été dégoûtées ou traumatisées, s'il te plaît apprend moi

Il soupira dépité et découragé

j'aurais dû me douter que je n'arriverais pas à te réfreiner, je ne suis pas prêt à dépasser certaines limites. Mais demande et on verra.

Gina sait bien embrasser ?

Il me regarda étonné

• pas outre mesure, elle est potable mais sans plus ta mère elle est d'un autre niveau.

-elle ne m'apprendra pas, elle n'aime pas les femmes

Papa éclata de rire, se roulant sur le lit se tenant le ventre, j'étais vexée. Il parvint à se reprendre

tu connais si peu ta mère et jusqu'où elle peut aller, je doute que tu puisses même supporter la moitié de ce qu'elle a fait, mais oui elle ne te montrera pas car elle n'aime pas apprendre aux autres.

Désemparée je le regardais

• apprend moi à embrasser alors, et petit à petit je te montrerais que je suis capable et digne de toi. Je t'obeirais aveuglément.

Ces mots éveillerent sa concupiscence, il respira pour refreiner ses pulsions. Son imagination qui partait en vrille mère et fille ses soumises, les entendre crier de douleur et de plaisir.

-d'accord montre moi comment tu fais alors.

Avec joie je me juchais sur ses genoux et appliquait ce que m'avait appris Gina, mes lèvres se joignirent à celles de mon père , j'étais un peu fébrile.

Utilisant ma langue qui se mêla avec la sienne, je m'appliquais au mieux de longues secondes avant de reprendre mon souffle comblée que mon père lâche la bride à ce point.

Mon père sourit avec un petit air compatissant.

• c'est bien mon cœur pour un jour si tu as un petit copain il sera heureux mais ne prend pas mal c'est insuffisant dans une relation passionnée.

La douche froide me tomba dessus mais je ne pouvais que m'en vouloir papa ne m'avais jamais épargnée, il disait ce qu'il pensait.

Voyant mon désarroi il se pencha prit mon menton et m'octroya un baiser de cinéma à couper le souffle, rapidement je voyais des étoiles passer devant les yeux, mon corps s'éveiller à un désir naissant, sa langue se fit subtile, voluptueuse c'était trop et pourtant j'aurais voulu que cela ne cesse jamais.

Quand nos lèvres se separèren,t ma tête tournait, je ne savais plus ou j'étais.

Je regardais mon père émerveillée.

-encore papa

Il rit

• Non au lit ma fille sinon tu auras le contrecoup d'hier et d'aujourd'hui, n'oublie pas que tu m'as promis d'obéir.

Boudeuse je hochais la tête mais j'obeis et dis timidement

-merci papa

-de rien ma fille dors bien.