le choix

• écoute je te faisais une confiance totale, tu m'as trahis je veillerais à ce que plus personne ne fasse appel à toi, je t'ai confié mes enfants et par incapacité à dire non tu les a potentiellement mis en danger et tu as permis à un étranger de rentrer chez moi afin de satisfaire ton vice.

je m'effondrais

• pitié monsieur Goupil j'ai fait une erreur, j'ai honte, j'ai besoin de ce travail, j'aime les enfants et c'est le seul moyen pour m'aider à trouver des fonds pour mes études.

Il resta silencieux.

• très bien je te laisse le choix tu devras te faire pardonner, pour le moment je vais te punir pour que jamais plus tu ne recommences ce sera violent ou sinon tu pars et je veillerais à ce que plus personnes ne fasse appel à toi.

je tremblais j'avais peur de cette lueur cruelle dans ses yeux.

• je reste monsieur Goupil je ferais tout pour que vous me pardonniez et que vous me fassiez confiance.

bien vient sur mes genoux je vais te donner la fessée 10 claques par enfants donc je te donnerais 20 claques, tu devras compter et me demander pardon à chaque claque .

j'avais tellement honte que je hochais la tête et vint sur ses genoux.

-relève ta jupe.

déglutissant je m'exécutais dévoilant mes fesses, il tira ma culotte pour que mes fasses soient disponibles.

Je sentais ma culotte glisser le long de mes jambes, mes fesses nues exposées à son regard. J'essayais de me concentrer sur la douleur qui allait suivre, mais mon corps semblait avoir une autre idée. Le frottement de mon sexe contre son pantalon m'avait encore excitée, je sentais une chaleur se propager dans mon bas-ventre. Je fermai les yeux, honteuse de ma réaction.

Monsieur Goupil posa sa main droite sur mes fesses, sa paume grande et chaude.

Sa main resta un instant immobile, comme s'il hésitait, puis elle se leva et s'abattit sur mes fesses avec un bruit sec. Je sentis une douleur aiguë et étouffai un cri, les larmes montant immédiatement à mes yeux. Je commençai à trembler et à geindre, incapable de contrôler mes réactions. Monsieur Goupil me fit une pause, puis sa voix froide et dure me fit sursauter.

• Compte, Teyla. Demande pardon.