plaisir ou douleur

• Un, Monsieur Goupil.

Je sentais la chaleur de sa main sur mes fesses, et la douleur qui s'intensifiait à chaque nouvelle claque. J'essayais de compter et de demander pardon, mais mes mots étaient étouffés par les larmes et les gémissements. Mes fesses étaient brûlantes, et je sentais la douleur se propager dans tout mon corps.

• Deux, Monsieur Goupil, pardonnez-moi, je vous en supplie, murmurai-je entre deux sanglots, ma voix étouffée par les larmes et la douleur. Sa main s'abattit à nouveau sur mes fesses, avec la même **** que la première fois, me faisant sursauter et gémir. Je sentais la chaleur se propager dans tout mon corps, et ma peau me semblait en feu.
• Trois, Monsieur Goupil, pardonnez-moi, répétais-je, ma voix tremblante, mais je sentais mon sexe s'humidifier, être à la merci d'un si bel homme, plus beau que mon père quand il me punissait quand j'avais vais une de mes nombreuses bêtises pour attirer ses foudres, mais là mon plaisir montait encore plus fort amplifié par la peur, le désire que j'éprouvais envers le père des jumeaux.

La main de M. Goupil redescendit, et je poussai un cri de douleur. La piqûre de sa main sur ma peau nue était intense, et je ne pouvais m’empêcher de me tordre sur ses genoux. J’ai senti son emprise sur ma taille se resserrer, me maintenant en place alors qu’il continuait à me donner une fessée.

« Quatre, Monsieur Goupil, pardonnez-moi », pardonnai-je à étouffer, ma voix à peine au-dessus d’un murmure. Mes fesses étaient en feu, et je ne pouvais m’empêcher de me demander combien de temps je pouvais encore retenir ce plaisir qui montait en moi, je commençais à mouiller et gémir mais pas du fait de la douleur.

La main de M. Goupil s'immobilisa un instant, comme s'il attendait que je poursuive, puis elle redescendit à nouveau, avec la même **** que les précédentes claques. Je sentis une nouvelle douleur aiguë et étouffai un cri, les larmes coulant sur mes joues. Mon corps se tordit sur ses genoux, mais sa poigne sur ma taille me maintint en place. « Cinq, Monsieur Goupil, pardonnez-moi », murmurai-je, ma voix à peine audible.

Malgré ça je ne pouvais me retenir d'éprouver un désir toujours plus important

. Je sentais mon corps se cambrer sous chaque claque, cherchant presque à me rapprocher de lui. Ma honte était immense, mais je ne pouvais nier cette sensation qui montait en moi.

Monsieur Goupil sembla remarquer mon trouble, et sa main s'arrêta un instant. Je sentis son souffle chaud sur ma nuque, et ma peau se hérissa, une chair de poule de ce rapprochement ne semblait pas le laisser indifférent, je sentais son sexe commencer à à pointer à travers le tissu quand la seizième frappe claquait, ce qui redoubla mon émoi entre plaisir et douleur, mais avec une pensée incongru "je lui plais aussi"

Sa main caressa légèrement ma peau nue, une caresse qui me fit frémir de désir, et pourtant, il devait continuer la punition. Ses doigts s'immobilisèrent un instant sur mes fesses, puis il reprit la fessée, les claques se succédant sans répit, chacune d'elles me faisant sursauter et gémir. Je sentais mon corps se tendre, mon plaisir grandir, mais je savais que je devais me contrôler, pour ne pas que cela se voit.

A la vingtième claque il cessa mais pour autant ne me relâcha pas, il caressa longuement mes fesses désormais en feu du fait des mes terminaisons nerveuses qui avait dépassé le seuil de douleur. Quand soudain il se figea et prononça ces mots.

• mais tu mouilles tu as aimé ça ma parole étonné mais aussi avec une tonalité intéressé,

Il venait de constater quelque chose que je ne voulais pas admettre, mais qui était pourtant évident. Je sentais mon visage s'empourprer de honte, tandis que mon corps continuait à réagir à la situation, mon sexe palpitant encore de désir. Monsieur Goupil me maintenait toujours sur ses genoux, sa main caressant doucement mes fesses endolories, mais sa caresse n'était plus punitrice, elle était presque... tendre.