folie

Au matin, je fus réveillé par une présence au pied de mon lit, il me regardait satisfait de mon état.

Monsieur Goupil sourit légèrement, satisfait de voir l'état dans lequel il m'avait laissée. Il s'approcha du lit, ses yeux fixés sur moi avec une intensité qui me faisait frissonner. Il tendit la main et caressa doucement ma joue, son toucher déclenchant un frisson de plaisir malgré la frustration qui me consumait encore.

"Tu as passé une bonne nuit, je suppose", dit-il, sa voix basse et rauque. Il rit doucement, un son qui me fit rougir de colère et de humiliation.

Je sentis mes joues s'enflammer sous son regard moqueur, mais je ne pouvais pas détourner les yeux. Monsieur Goupil s'approcha encore, son souffle chaud caressant ma peau. Il se pencha et m'embrassa doucement sur la bouche, son baiser léger mais possessif. Je sentis un frisson de dégoût et de désir mêlés, mon corps réagissant malgré moi à son toucher.

Il se redressa et me fixa de nouveau, son regard intense.

Mon corps était devenu hypersensible d'avoir été privé de plaisir, même le contact des draps était devenu douloureux.

Monsieur Goupil continua à parcourir mon corps de ses lèvres, déposant des baisers légers mais insupportables sur ma peau hypersensible. Je me tordais et me débattais autant que les cordes me le permettaient, mais il ne se détournait pas. Ses lèvres effleuraient mes seins, puis descendirent le long de mon ventre, laissant des traînées de feu sur leur passage. Je haletais, essayant de reprendre mon souffle, mais il était partout, son contact m'envahissant.

• pitié, pitié je ferais tout ce que vous me demanderez, j'ai mal !!!

Monsieur Goupil s'arrêta brusquement, ses lèvres à quelques millimètres de mon nombril. Il me fixa avec un regard intense, comme s'il cherchait à voir si j'étais vraiment à bout. Son souffle chaud caressait ma peau, me faisant frissonner malgré la chaleur qui émanait de mon corps. Il sembla apprécier ma réaction, car un léger sourire se dessina sur ses lèvres.

il me libéra, je me jetais dans ses bras en larmes, hoquetant de désespoir d'avoir pu attirer ainsi un tel courroux.

• pardon, pardon maître je ferais tout pour que jamais plus je vous déçoive.
• Bien Teyla, je t'éprouverais de nombreuses fois pour être sûr que tu ne mens pas et crois moi cette nuit passera pour une douce caresse si tu me déçois encore une fois ou que tu trahisse cette promesse.

Monsieur Goupil me regardait toujours avec intensité, ses yeux semblant voir à travers moi. Je me sentais nue et vulnérable, non seulement physiquement, mais aussi émotionnellement. Il tendit la main et me caressa les cheveux, son toucher doux et apaisant, mais qui ne faisait que contraster avec la dureté de ses paroles.

"Je veux que tu comprennes bien, Teyla", dit-il, sa voix basse et rauque. "Je ne suis pas un homme patient. Si tu me déçois, tu le paieras cher."