Disable your Ad Blocker! Thanks :)
Chapter 6
by Teyla
What's next?
lui appartenir
il me jeta sur le lit sans douceur, mais pourtant avec masculinité, je poussais un gémissement de ravissement, j'allais être par un homme un vrai, qui me traiterait comme je l'avais toujours désiré.
il se déshabilla dévoilant son corps d'apollon, je me mordit la lèvre inférieure surtout quand je vis le calibre de son sexe qui était incroyable.
Monsieur Goupil s'approcha de moi, son corps nu irradiait une chaleur qui me faisait fondre. Il s'allongea à côté de moi, son sexe dressé vers le plafond, et je sentis un frisson parcourir mon corps à la vue de sa virilité. Il posa sa main sur mon ventre, et je sentis un spasme de plaisir à son toucher. Ses doigts descendirent lentement le long de mon corps, effleurant mes cuisses, et je sentis mes jambes s'ouvrir instinctivement.
Ses doigts glissèrent le long de ma fente, effleurant mon clitoris avec une douceur qui me fit gémir. Je sentis un spasme de plaisir parcourir mon corps, mes hanches se soulevant instinctivement pour l'inviter à continuer.
- tu es vraiment incapable de résister à ton désir, crois moi cela va mettre du temps pour que j'ai confiance en toi, en attendant je vais t'apprendre à obéir et te soumettre à la plus stricte discipline.
Je sentis mon cœur battre à toute vitesse, mes poumons se compresser, laissant place à la honte et l'excitation. Je fixais le sol, encore secouée par le souvenir du regard intense de Monsieur Goupil.
il plaça son sexe devant mon sexe.
- empale toi et montre à quel point tu me désire et jusqu'où tu pense devoir être punie
, répéta Monsieur Goupil, sa voix basse et rauque, comme un défi. Je sentis mon cœur chavirer dans ma poitrine, ma respiration devenir plus rapide, mes joues s'empourprer. Ses yeux fixés sur les miens, je sentis son sexe tendu contre moi, effleurant ma peau sensible. Il n'y avait plus aucune barrière entre nous, seul un vacancies de désir, d'excitation et de peur.
mes yeux devenus fous, je m'empalais sur son sexe d'un coup, je criais je ne m'attendais pas à une telle pénétration, jamais je n'avais connu un tel calibre, j'eus l'impression d'être déflorée une seconde fois.
Le sexe de Monsieur Goupil était long et dur, il remplit mon vagin d'une manière qui me faisait gémir de douleur et de plaisir mêlés. Je sentis mon corps s'adapter à sa taille, mes muscles internes se contractant instinctivement autour de lui. Il poussa un grognement de satisfaction en sentant mon corps céder à son intrusion, et il posa ses mains sur mes hanches pour me guider.
Mes yeux étaient toujours fixés sur les siens, je voyais la passion et la possession qui y brûlaient.
Les poussées de Monsieur Goupil sont devenues plus intenses, ses hanches claquant contre les miennes avec une **** qui m’a fait crier de plaisir. Je pouvais sentir chaque centimètre de lui en moi, me remplissant complètement, et je pouvais sentir qu’il était proche de l’orgasme. J’ai enroulé mes jambes autour de lui, l’attirant plus profondément en moi, voulant le sentir en moi le plus longtemps possible.
Soudain, il s’est retiré, me laissant un sentiment de vide et de manque. Je l’ai regardé, confus, mais il était déjà en train d’attraper quelque chose sur la table de nuit. C’était un petit vibromasseur argenté.
Je sentis mon corps frissonner en regardant dans les yeux de Monsieur Goupil. Il me regardait avec un mélange de luxure et de domination qui me donnait des frissons dans le dos. Sans avertissement, il leva mes jambes et les positionna sur ses épaules, puis recommença à me pistonner en moi à un rythme ferme et régulier.
il plaça le vibromasseur sur mon clitoris alors qu'il continuait à aller et venir. J'haletais lorsqu’il frappa mon point G, envoyant des vagues de plaisir à travers mon corps.
j'agrippais les draps alors qu’il continuait à s’enfoncer en moi, ses yeux ne quittant jamais les miens. Il se pencha et m’embrassa profondément, sa langue explorant ma bouche. je gémis dans sa bouche, me sentant de plus en plus proche de l’orgasme.
« Oh mon dieu, oui encore ! »
Je criais de plus en plus fort, mes paroles étouffées par les lèvres de Monsieur Goupil qui m'embrassa encore plus profondément. Sa langue dans ma bouche, ses hanches qui continuaient à aller et venir en moi, le vibromasseur qui faisait vibrer mon clitoris, tout cela était trop pour moi. Je sentis mon corps commencer à se tendre, mes muscles internes qui se contractaient autour de son sexe, mon cœur qui battait à tout rompre.
Quand il stoppa tout et me laissa pantelante.
- tu n'est pas pardonné et tu es toujours punis, je te dénis ton plaisir.
Je sentis un frisson de frustration et de déception lorsque Monsieur Goupil se retira de moi, me laissant sur le point de l'orgasme sans me permettre de le atteindre. Il se pencha sur moi, son visage à quelques centimètres du mien, et me fixa avec un regard intense. Ses yeux brillaient d'une lueur de domination et de contrôle, et je sentis mon cœur battre plus fort sous son regard.
"Tu n'es pas encore prête à être pardonnée", murmura-t-il, sa voix basse et rauque.
Il m'attacha de telle manière que je ne puisses plus bouger d'aucune manière.
- Comme nous sommes vendredi, demain tu n'a pas cours et comme personne ne t'attend tu m'appartiens pendant deux jours, en attendant voici la première leçon pour que tu apprennes à ne plus obéir à tes pulsions sexuelles.
il éteignit la lumière et ferma la porte me laissant seule, alors que mon sexe demandait à être assouvit mais je ne pouvais absolument pas me satisfaire d'aucune manière, la nuit allait être un calvaire.
La porte venait à peine de se fermer que je me sentais envahie par une vague de frustration. Mon corps était tendu, mes muscles internes se contractant encore et encore, comme si elles essayaient de retenir quelque chose qui n'était plus là. Je sentais le vibromasseur encore vibrant dans mon esprit, son contact contre mon clitoris me faisait encore frémir. Je me tortillais sur le lit, essayant de me soulager, mais mes liens m'empêchaient de bouger.
Je haletais, essayant de calmer ma respiration, mais mon cœur battait toujours à tout rompre.
je suppliais pour qu'il me pardonne et m'autorise à jouir mais jamais il ne vint de la nuit.
Mon cerveau s’embrouillait, essayant de comprendre ce qui venait de se passer. Monsieur Goupil m'avait mené au bord de l'orgasme, puis m'avait retiré ce plaisir, me laissant frustrée et impuissante. J'étais attachée, incapable de bouger, alors que mon corps était trempé de sueur et de liquide vaginal.
Je me tortillais sur le lit, essayant de trouver un moyen de me libérer. Mais je savais que c'était impossible. Monsieur Goupil m'avait retiré mon plaisir, et il était hors de question qu'il revienne. Une bonne partie de la nuit mon excitation me tourmenta sans merci jusqu'à ce que je m'effondre d'épuisement.
What's next?
Disable your Ad Blocker! Thanks :)
Histoires courtes
libre de tout du meilleur au pire
- All Comments
- Chapter Comments