cours de japonais

Je redressai lentement ma jupe, essayant de cacher la tache humide qui s'étalait sur le tissu. Mes mains tremblaient légèrement tandis que je lissais mes cheveux, essayant de me composer une apparence normale. Mais mon corps était encore en feu, mes pensées embrumées par la **** de ce qui venait de se passer. Je sentais encore sa semence couler le long de mes cuisses, une sensation étrange et intime qui me faisait frissonner.

Je pris appui sur la vitre de la rame, essayant de me stabiliser, alors que la rame s'arrêtait à ma station.

Je courais à perdre haleine, mes pieds martelant le sol, mes poumons brûlant d'avoir respiré si fort. Les grilles de l'université se refermèrent derrière moi avec un bruit métallique, je m'arrêtai net, essoufflée, et me laissai aller contre le mur du bâtiment. Mes mains tremblaient encore, mes jambes tremblaient sous moi, mon corps était toujours en feu. Je fermai les yeux, essayant de calmer ma respiration, de chasser les images de ce qui venait de se passer.

Akiko et Uzachi me regardait elle avait le boitier dans les mains mais le rangea, certaisn me regardait de haut, je reconnus certains garçons qui m'avaient honoré de leur sperme et parfois leur urine, je baissais la tête.

Je pris une grande inspiration, essayant de me calmer, de revenir à la réalité. Je sentais encore sa semence couler le long de mes cuisses, une sensation étrange et intime qui me faisait frissonner. Je rouvris les yeux, essayant de me concentrer sur le présent. Les visages des autres étudiants qui m'entouraient me semblaient flous, leur bavardage incompréhensible. Je sentais ma tête tourner, je me sentais comme dans un rêve.

j'allais à mon cours de perfectionnement du japonais ce furent deux heures difficiles car j'étais encore secouée de ce qui venait de m'arriver, j'avais l'impression que tous monde savait ce qui s'était passé hier et ce matin, je reconnus mon violeur c'était mon professeur qui me regardait intensément.

Je sentais son regard peser sur moi, comme s'il me déshabillait de nouveau. Mon cœur s'accéléra, mes mains se mirent à trembler légèrement tandis que je tenais mon stylo. Je baissai les yeux, feignant de prendre des notes, mais je ne voyais rien. Les caractères japonais dansaient devant mes yeux, indéchiffrables. Je sentais la chaleur de son regard, comme s'il me brûlait la peau.

• vous êtes dans la lune mademoiselle ? vous viendrez me voir à la fin du cours

je me figeais alors que tout le monde me regardait, honteuse je dis en japonais

• pardon monsieur oui monsieur.

la cloche sonna et les autres sortirent me laissant seul avec lui, son sourire était parlant.

• si tu vous taisez et si vous m'obéissez jusqu'à la fin je te donnerais de bonnes notes sinon ...

Le professeur s'approcha de moi, son sourire s'élargissant. Je sentais ma gorge se nouer, mes mains devenir moites. Je ne pouvais pas croire ce qui était en train de se passer. Je sentais sa présence me dominer, son parfum m'envahir. Il s'assit sur son bureau, me fixant intensément.

"Approchez, mademoiselle," dit-il d'une voix suave.

Je me levai de ma chaise, mes jambes tremblantes.

Je m'approchai de lui, mes jambes tremblant sous moi comme si elles allaient me lâcher d'un moment à l'autre. Ses yeux ne quittaient pas les miens, son sourire s'élargissant encore, revelant des dents blanches et régulières. Il me fit signe d'approcher encore, sa main droite s'avançant pour me guider. Je sentais sa chaleur, son parfum, m'envahir, me submerger. Je fis un pas de plus, puis un autre, jusqu'à ce que mes cuisses frôlent le bord de son bureau.

• Approchez encore, mademoiselle, murmura-t-il, sa voix basse et rauque.

Je fis un pas de plus, mes genoux se froissant contre le bord du bureau.

• asseyez vous sur mes genoux, répéta-t-il, sa voix basse et rauque, me faisant frissonner.

Je m'assis lentement, mes fesses touchant ses genoux, sentant la chaleur de son corps à travers son pantalon. Ses mains se refermèrent autour de ma taille, me maintenant en place. Je sentais son souffle chaud sur mon cou, faisant courir un frisson le long de ma colonne vertébrale. Ses lèvres effleurèrent mon oreille, envoyant des frissons dans tout mon corps.

sa mains défit un bouton de mon chemisier et se mit à cherche mon sein droit

. Je sentais sa main chaude et lourde sur moi, sa paume glissant sur ma peau nue. Je frissonnai sous son toucher, sentant mon cœur s'emballer. Je voulais me débattre, crier, mais je restai immobile, paralysée par la peur.

Il glissa sa main sous mon soutien-gorge, saisissant mon sein avec ****. Je sentis sa respiration s'accélérer, son souffle chaud sur mon cou. Il commença à me malaxer les seins, sa main agrippant ma chair avec avidité.

• retire ta culotte je finisse ce que j'ai commencé dans le train, tu est une superbe jeune femme adulte tu es bandante et exotique

Je sentis une onde de choc me traverser, mes jambes se dérobant sous moi. Ses paroles me firent l'effet d'une gifle, mais je restai figée, incapable de bouger. Sa main continua à malaxer mon sein, les doigts pinçant ma chair avec une intensité qui me fit haleter. Je sentis la chaleur de son corps se rapprocher, son souffle chaud sur mon oreille, me faisant frissonner.

Je baissai les yeux, incapable de soutenir son regard, lentement je retirais ma culotte pendant qu'il avait ouvert son pantalon, son sexe bandait déjà.

• vient d'empaler.

Je me sentais glacée, mes muscles contractés, tandis que je me levais légèrement pour m'empaler sur lui. Ses mains se refermèrent sur mes hanches, me guidant vers son sexe dressé. Je sentais son souffle chaud sur mon ventre, son regard brûlant qui me dévorait. Le contact de son sexe contre le mien me fit frissonner, et je me laissai aller lentement sur lui, mes yeux fermés pour échapper à sa vue.

Ses mains remontèrent le long de mon dos, saisissant mes épaules pour me maintenir en place.

Ses doigts s'enfoncèrent dans mes épaules, me maintenant en place tandis que je m'empalais lentement sur lui. Je sentais son sexe dur et brûlant pénétrer en moi, me faisant haleter. Sa bouche se colla à mon oreille, son souffle chaud et rauque me faisant frissonner. "Ah, oui...", murmura-t-il, sa voix basse et sensuelle. Ses hanches se soulevèrent, me poussant plus profondément en lui, et je sentis un cri monter dans ma gorge.

je pistonnait doucement sur lui, mes mains agrippées à son bureau, tandis que sa voix rauque et chuchotée me faisait frissonner. Ses doigts continuaient à s'enfoncer dans mes épaules, me soulevant légèrement pour mieux me pénétrer.

"je te laisserais jouir." dit-il son souffle chaud sur mon oreille, sa bouche se penchant sur mon cou.

Je sentais son sexe dur et brûlant en moi, mon corps tremblant de désir. Je savais que je devrais faire quelque chose, mais je restais figée, incapable de bouger.

Je sentais son sexe dur et brûlant en moi, mon corps tremblant de désir. Je savais que je devrais faire quelque chose, mais je restais figée, incapable de bouger. Ses doigts s'enfoncèrent plus profondément dans mes épaules, me maintenant en place, tandis que son bassin se soulevait, me pénétrant plus profondément.

"Tu es si belle" murmura-t-il, sa voix basse et sensuelle. "Tu le sens bien au fond de toi ?"

je gémis,

• oui maître c'est si bon

Il me retira lentement de sur ses genoux, me faisant tourner pour que je sois face à lui. Sa main se posa sur ma joue, sa paume caressant doucement ma peau. Ses yeux se plongèrent dans les miens, son regard brûlant me transperçant. Je sentais mon cœur battre à tout rompre, mes joues s'enflammer sous son toucher. Il s'approcha de moi, sa bouche se posant sur la mienne dans un baiser passionné.

Je ne pouvais pas bouger, paralysée par la peur et la honte. Il continua à me pénétrer, ses hanches se soulevant et s'abaissant avec un rythme lent et régulier. Je sentais sa respiration s'accélérer, sa bouche se collant à mon oreille, ses dents mordillant ma peau.

"Dis-moi que tu aimes ça," murmura-t-il, sa voix rauque et sensuelle.

Je ne répondis pas, mes yeux toujours fermés, ma tête tournant.

• tu vois ce qu'est un vrai homme ?

il se mit à accélérer son déhanchement me démontant totalement mon intimité, je poussais un cri quand l'orgasme me prit alors qu'il éjaculait en moi, il me jeta au sol sans aucune considération ni pitié, je me suis étalée en arrière, mes jambes flageolantes, mon corps palpitant encore de plaisir. Mon esprit était en plein chaos, mes pensées tournant en rond autour de ce qui venait de se passer, mon corps abasourdi et faible. Je sentais son regard brûlant me transpercer encore une fois, alors que je levais les yeux vers lui, mes lèvres encore gonflées de son baiser. Ses yeux semblaient briller de satisfaction, son visage se déformant en un rictus qui me faisait froid dans le dos.

• va à ton prochain cours, tu as de la chance c'est une femme cela t'épargnera la tentation de copuler comme une chienne.

Je me relevai lentement, mes jambes tremblant sous moi comme si elles allaient se dérober à tout moment. Mon corps était lourd, mes muscles endoloris par la **** de ses mouvements. Je sentais son regard sur moi, mais je ne pouvais pas le supporter, je détournai la tête, mes yeux se posant sur le sol. Je vis mes chaussures, éparpillées à quelques pas de moi, et mes vêtements, froissés. Je me sentais sale, souillée, comme si son corps avait laissé une marque indélébile sur le mien.

• je garde ta culotte en trophée et souvenir il la respira de manière immonde, tâche quand on se croisera dans le train de ne pas en mettre cela nous fera gagner du temps.

Je me sentais un goût amer dans la bouche, comme si les mots qu'il venait de prononcer avaient laissé une trace nauséabonde sur ma langue. Je détournai la tête, mes yeux se posant sur la porte de la salle de cours, comme si elle représentait une issue de secours, un moyen de fuir la réalité de ce qui venait de se passer. Mes jambes tremblaient encore sous moi, mais je savais que je devais bouger, quitter cet endroit avant de m'effondrer complètement.