proposition

Le cours suivant de mathématique fut ardu mais enfin sans surprise, ce qui me permit de me remettre j'avais toujours l'impression d'être l'objet de l'attention comme si tous le monde savait, certes Uzachi avait effacé les preuves matérielles mais clairement ceux qui avait vu les images et les vidéo ne risquaient pas d'oublier ma débauche.

Je me levai lentement de ma chaise, mes jambes toujours tremblantes sous moi, mais je savais que je devais sortir de cette salle de cours avant de me laisser submerger par mes émotions. Les élèves autour de moi commençaient à se lever, à ramasser leurs affaires et à quitter la salle, mais je restais figée, incapable de bouger. Le professeur de mathématiques, une femme d'âge moyen avec des lunettes et un visage doux, se dirigeait vers moi, un regard inquiet sur son visage.

• Ma petite ce que tu as fait te saliras pour toujours, que les autres oublient ou pas, j'ai vu ce qui s'est passé quelqu'un m'ayant envoyé la vidéo, désormais assume tes actions, et reconstruit toi autour.

Elle me prit dans ses bras, mon coeur battit la chamade je m'imaginais entre ses griffes et ce qu'elle pourrait faire et obtenir de moi.

Comme si elle lisait dans mes pensées elle me dit.

• viens me voir ce soir je t'apprendrais à te discipliner je dirais à Akiko que tu vas rester ce soir pour une leçon particulière mais je te préviens cela ne sera pas agréable, tu acceptes ?

Je restai figée, mes yeux fixés sur le visage de la professeure, mon esprit tournant en rond pour essayer de comprendre ce qu'elle venait de dire. Ses mots semblaient flotter dans l'air, prendant une signification sinistre qui me faisait frissonner. Je sentais son regard sur moi, pesant et intense, comme si elle pouvait voir au-delà de ma façade pour découvrir les secrets que je cachais.

Je sentais mon corps se raidir sous son regard perçant, ses yeux plongeant dans les miens comme s'il pouvait y lire mes secrets les plus intimes. Mon coeur battait la chamade, mes mains tremblaient légèrement à la perspective de ce qui m'attendait. Mais quelque chose en moi me poussait à accepter son offre, comme si c'était la seule façon de me racheter des actes abjects que j'avais commis. Alors, d'une voix hésitante, je murmurai :

• oui, je viens, l'expérience peut être intéressante maîtresse oui je viendrais et intérieurement songeais que j'échappais à une nuit au chenil.