conséquences

.La porte était grande et imposante, avec des vitraux colorés qui laissaient filtrer la lumière du soleil. Je posai ma main sur la poignée, et pris une profonde inspiration avant de l'ouvrir.

Le hall d'entrée était spacieux et lumineux, avec des murs blancs et des sols en marbre. Les meubles étaient modernes et épurés, et des œuvres d'art contemporain ornaient les murs. puis j'allais dans une aile du bâtiment plus traditionnel, je me rendais devant un battant en mur de riz, je n'eus pas le temps de frapper sur le battant en bois.

• Entre ! c'était la voix d'Akiko

J'ouvris le battant elle était seule au bout de la salle devant une longue table basse reposant sur des tatamis.

Je me mis en face d'elle après mettre incliné un nombre de fois traditionnellement signe de repentir. Je restais un long moment agenouillé, celui-ci me parut une éternité surtout devant le silence d'Akiko qui se concentrait sur un thé de manière traditionnelle.

enfin une heure passa, elle parla d'une voix venimeuse, je sentais qu'il fallait qu'elle se concentre pour ne pas exploser de rage.

• Tu m'a trahis, tu as déshonoré ma famille, tu t'es déshonoré te rabaissant au niveau d'une bête bien trop heureuse de l'occasion offerte par mon frère.

je baissais la tête honteuse, elle avait raison je n'avais pensé qu'à moi et la possibilité d'expérimenter une nouvelle débauche japonaise.

Je sentais ses mots comme un coup de couteau dans mon dos, chaque phrase était une nouvelle blessure qui s'ajoutait à celles que j'avais déjà endurées. Je gardais la tête baissée, incapable de soutenir son regard, tandis qu'elle continuait à me déchirer de sa voix empreinte de colère et de dégoût. Le silence qui suivit ses paroles fut plus pesant que tout ce qu'elle avait pu dire, comme si le temps lui-même s'était arrêté pour mieux profiter de ma honte.

• oui pardon Akiko je ferais tout ce que tu voudras pour que tu me pardonnes.

Elle hurla,

Jamais je ne te pardonnerais, tout ce que je peux faire c'est faire en sorte de limiter la honte qui pourrait s'abattre sur ma famille et la tienne, même si cela t'échappe.

Désormais en l'absence de mes parents tu vas dormir dans une des cages avec les chiens, tu ne porteras plus de vêtement juste un collier et un laisse quand tu seras ici et en l'absence de monde, au retour de mes parents nous donnerons le change. Tu mangers dans une gamelle et tu acceptera le dressage que nous te réservons.

Mon frère lui ne sortira pas de sa chambre tant qu'il n'aura pas réussi à effacer toute trace des vidéos, photos sur les portables et ordinateurs heureusement c'est un hacker de génie.

Je regardais la source de cette insulte sans pouvoir réagir, impossible de sangloter aussi fort que je l'aurais voulu.

Si tu n'acceptes pas je révèlerais à tes parents ton comportement et crois moi les connaissant tu risque de tout perdre.

Elle avait raison je serais probablement sanctionné comme jamais par mes parents, j'étais à sa merci.

• oui j'accepte Akiko,
• quand mes parents ne sont pas là appelle moi maîtresse et mon frère maître, tu salis mon prénom quand tu le prononce.

Je sentais un poids écrasant sur ma poitrine, comme si les mots d'Akiko m'avaient écrasée. Je baissais la tête encore plus bas, incapable de soutenir son regard. Le silence qui suivit fut oppressant, et je pouvais sentir les larmes monter dans mes yeux. Je les retenais, refusant de pleurer devant Akiko, mais mes yeux brûlaient.

Akiko se leva lentement, ses mouvements gracieux et délibérés. Elle s'approcha de moi, sa robe traditionnelle japonaise se mouvant doucement, arrivé à ma hauteur.

-déshabille toi,

répéta-t-elle d'une voix froide et détachée, ses yeux me fixant avec une intensité qui me faisait frémir.

Je sentis mes mains trembler légèrement tandis que je commençais à déboutonner ma chemise, les doigts froides et maladroits. Les boutons semblaient résister à mes efforts, mais finalement, je réussis à les ouvrir et la chemise glissa de mes épaules, laissant mes bras nus exposés au regard d'Akiko.

• plus vite chienne je te veux à poil elle fulminait à deux doigt d'exploser de rage.

Mes mains tremblaient de plus en plus tandis que je déboutonnais ma jupe, les boutons glissant lentement sous mes doigts maladroits. La jupe tomba à mes pieds avec un bruit sourd, laissant mes jambes nues exposées au regard d'Akiko. Je sentais son regard sur moi, pesant et dédaigneux, et je baissais la tête, incapable de soutenir son regard. Mes doigts se dirigèrent vers mon soutien-gorge, mais ils hésitèrent, comme si mes mains refusaient de coopérer.

Sa main droite saisit mon soutien-gorge et la gauche ma culotte et avec une ****, je ne lui soupçonnais pas; les arracha son visage qui n'avait jamais reflété que la douceur n'était que fureur.

Je me sentais nue, vulnérable et exposée, comme si le peu de dignité qui me restait venait de s'envoler. Les bras d'Akiko s'étaient refermés sur moi, ses mains me tenant fermement par les bras, ses doigts s'enfonçant dans ma peau. Je sentais son haleine chaude sur mon visage, son souffle court et rageur. Ses yeux, deux fentes étroites, me fixaient avec une intensité qui me faisait frémir.

• hésite encore une fois et je te jure que te punirais comme jamais, tu connaîtras les pires douleurs que mon pays a pu inventer.

Elle sortit de sa robe un collier de chien et une laisse, ce collier était étrange; quand elle le posa elle ferma avec un clé.

• ce collier sert à dresser les chiens, il peut envoyer une décharge électrique qui eut aller jusqu'à t'assommer, sur ces mots elle y attacha une laisse qui clairement était isolée de l'électricité. Elle me montra un petit boitier.

Le boitier, petit et noir, semblait innocent, mais je savais que c'était l'outil de ma soumission. Akiko le tint entre ses doigts, son pouce caressant la surface lisse comme si c'était un objet précieux. Elle le leva, et je vis un petit écran s'allumer, affichant des chiffres et des symboles que je ne comprenais pas. Akiko sourit, un sourire glacial, et dit : " Avec cela, je peux contrôler ton collier, te punir ou te récompenser, selon ton comportement."