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Chapter 9
by Teyla
What's next?
Le chenil
Elle sortit tirant ma laisse
- à quatre pattes désormais ici sauf instruction contraire ce sera ta position, j'ai mis tes affaires scolaires dans ta cage désormais tu devrais exceller pour espérer que ton écart passe inaperçu.
je la suivi avec difficulté heureusement son costume traditionnel l'empêchait d'aller trop vite pour moi nous arrivâmes dans le local du chenil les 3 chiens étaient présent, curieux de ma présence et de ma posture, me reniflant honteuse pour moi, comme si ils cherchaient à savoir si j'étais une humaine ou une chienne.
Akiko s'arrêta devant une gamelle avec une mixture peu engageante
- mange comme une chienne.
Je sentais ma honte grandir à mesure que je me mettais à quatre pattes, mon regard baissé vers le sol, tandis que les trois chiens me reniflaient sans cesse, comme pour me humilier encore davantage. La gamelle avec la mixture peu engageante était posée devant moi, et je pouvais sentir l'odeur acre qui s'en dégageait. Akiko se tenait debout, son regard dédaigneux fixé sur moi, attendant que je commence à manger. Je tendis la main vers la gamelle, mais je hésitai, ma main tremblant légèrement.
- juste avec ta bouche et ta langue,
Akiko répéta, sa voix dégoulinant de dédain. J'hésitai un instant, ma main tremblant toujours, avant de rassembler mon courage pour baisser la tête vers le bol. Le mélange sentait mauvais, un arôme piquant et amer qui me retournait l'estomac. Mais je savais que je n'avais pas le choix. Je tirai la langue et lapai le mélange, essayant d'éviter autant que possible de le goûter. Le mélange était froid et visqueux, et je pouvais le sentir recouvrir ma langue et mon palais.
Je sentais la mixture froide et visqueuse glisser sur ma langue et mon palais, me donnant un goût amer et nauséabond. Je déglutis difficilement, essayant de ne pas vomir sur le sol. Akiko me regardait, un sourire satisfait sur son visage. Elle tenait toujours la laisse dans sa main, et je savais que je n'avais pas le choix. Je continuais à manger, ma langue cherchant les morceaux les plus comestibles dans la gamelle.
quand je finissais par manger le dernier morceau,
-nettoie ta gamelle avec la langue je ne veux plus une seule trace
Je sentais mon estomac se rebeller contre la mixture visqueuse et amère qui venait de pénétrer mon corps. Les chiens me regardaient toujours, leurs yeux curieux et légèrement amusés, comme s'ils savaient que j'étais à présent l'une des leurs. Je baissais la tête, ma langue tremblante, et m'approchai de la gamelle. Je sentais l'odeur acre qui s'en dégageait, mais je savais que je devais obéir. Je m'appliquais pour ne pas laisser la moindre trace.
elle hocha la tête et m'emmena vers une cage où était une simple natte de riz une grosse couverture de laine, une gamelle d'eau, un seau pour mes besoins, un petit coffre ou se trouvait mes affaires scolaires.
- entre. M'ordonna-t-elle,
j'obéissais elle ferma la cage avec un cadenas électronique.
- la lumière restera allumée deux heures fait tes devoirs, si je m'aperçois qu'ils ne sont pas fait de manière excellent, peut être que je te livrerais à eux désignant les chiens.
Je me laissai tomber sur la natte de riz, mes genoux craquant légèrement sous mon poids. La couverture de laine était épaisse et rêche, mais je savais que je devais m'en satisfaire. Je regardai autour de moi, prenant en compte les limites de ma nouvelle prison. La cage était petite, avec des barreaux métalliques froids et une porte qui semblait solide. Je vis le petit coffre qui contenait mes affaires scolaires, et mon estomac se serra à l'idée de devoir faire mes devoirs dans cet endroit.
Akiko se tenait à l'extérieur de la cage, me regardant avec une expression sévère. Elle me tendit ensuite un bol d'eau et dit :« Tiens, bois ça. Tu en auras besoin pour ton entraînement. » J'hésitai un instant, ne voulant pas boire. Mais Akiko me regardait avec un regard sévère, et je savais que je n'avais pas le choix. Je levai doucement le bol d'eau et la bus. L'eau était fraîche et pure, dégageant un parfum de lavande. Pendant un instant, je fus surprise de sa délicatesse.
je la regardais intriguée, ce breuvage m'expliqua-t-elle pallie les manques nutritionnels de ta gamelle maintenant travaille, je ne pardonnerais aucun échec.
Elle sortit fermant la porte à clé du local, je me blottis sous la couverture il ne faisait pas chaud quand la nuit était tombée, Je me concentrai sur mes devoirs, essayant de faire abstraction des bruits des chiens et de la présence oppressante de la cage. Mes mains tremblaient légèrement tandis que j'ouvrais mon cahier et que j'en sortais un stylo. La lumière éclairait mes feuilles, et je commençai à écrire, mes lettres maladroites et hésitantes. Je sentais les larmes monter aux yeux, mais je les retenais, refusant de pleurer. Jusqu'à ce que la lumière s'éteigne les mouvements des chiens, leur bruits m'inquiétaient seule la présence des barreaux me réconfortaient.
j'eus du mal à dormir la natte n'était pas confortable, elle suffisait à peine au froid du sol en béton de m'atteindre, et la couverture ne m'apportait qu'une faible chaleur et surtout une irritation cutanée.
Je me retournai sur le côté, essayant de trouver une position qui me permettrait de dormir. Mais la natte de riz était trop dure et la couverture de laine me picotait la peau. Je sentais les picotements se transformer en démangeaisons, et je me grattai discrètement, essayant de ne pas faire de bruit. Les chiens, qui semblaient avoir fini leur sommeil, commencèrent à bouger et à gémit doucement. Je les entendais respirer, leur souffle régulier me rappelant que je n'étais pas seule dans cette pièce.
Au petit matin la porte s'ouvrit automatiquement les chiens sortirent joyeusement, alors que mon cadenas s'ouvrit automatiquement je m'apercevais qu'une caméra surveillait le local quand la voix de Hakiko résonna,
- lave les chiens avec la lance et le savon moussant, puis tu t'occuperas de la même façon de toi.
toujours nu et avec le collier je sortie dehors le paysage était magnifique mais la brume matinale m'indiquait qu'il ne faisait pas chaud les chiens m'attendait prêt de la lance à incendie, comme si ils avaient compris.
Je serrai les dents pour réprimer un frisson, le froid était pénétrant et ma peau nue me faisait ressentir chaque petite variation de température. Les chiens me regardaient avec impatience, leur queue remuant doucement. Je me dirigeai vers la lance à incendie, mes pieds nus faisant crisser le gravier sous mes pas.
La lance était froide et lourde dans mes mains, je la levai aussitôt le jet d'eau vers les chiens qui s'ébrouèrent aussitôt me trempant des pieds à la tête, je me mettais genoux pour les laver avec le savon pendant qu'ils me reniflaient. Les chiens se tortillaient et se débattaient sous l'eau, leurs yeux brillant de plaisir. Je leur fis le dos et les côtés, savonnant soigneusement leur pelage avant de les rincer à l'eau froide. Le froid me fit ressentir un frisson, mais je me concentrai sur ma tâche, m'assurant de bien nettoyer les chiens.
Lorsque j'eus fini de les laver, je me levai, les genoux endoloris et les bras tremblants de froid. Les chiens se secouèrent, éclaboussant l'eau de toutes parts. je frémis quand le tuyau d'eau déversa son liquide glacés sur moi alors que je passais le savons sur mon corps, par une fenêtre je vis Uzachi me regarder les cernes sous ces yeux m'indiquait qu'il n'avait pas beaucoup dormi pour éffacer les traces d'hier mais à ma vu son regard s'illumina avec intérêt.
Je fus saisie par le regard d'Uzachi, son intérêt pour moi était palpable, mais je ne pouvais pas lui accorder aucune attention, pas maintenant. J'étais trop occupée à essayer de me laver avec le savon moussant, les gouttes d'eau glacée s'écrasant sur ma peau nue, me faisant frissonner. Je fis glisser le savon sur mes bras, mes jambes, mon ventre, essayant de me nettoyer le plus rapidement possible.
Je vis une grand serviette posée sur le sol devant l'entrée des domestiques de la maison, je m'en saisit et cette fois je vis Akiko qui me regardait de sa chambre, alors que je commençais à me sécher.
Je me séchai vigoureusement avec la serviette, essayant de réchauffer mon corps glacé. Les picotements de la serviette éponge sur ma peau me firent frissonner, mais je continuai à me frotter, vérifiant que je n'avais pas laissé de savon sur ma peau. Je jetai un coup d'œil à Akiko, qui me regardait toujours de sa chambre, son visage impassible. Je baissai les yeux, me concentrant sur ma tâche.
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