Toujours pas…

Ça faisait maintenant cinq minutes qu’elle chevauchait le pauvre type, sans qu’elle ne parvienne à exulter. Elle avait beau sentir la bite bien raide sous elle et se déchaîner dessus, il n’y avait aucun résultat. Lorsque Fred se mit à jouir déchargeant plusieurs belles gerbes de foutre dans sa chatte, elle ne sentit pas plus combler... C'était incompréhensible, elle aurait dû atteindre l'orgasme depuis longtemps, et pourtant…

Il fallait se rendre à l’évidence, ce pauvre plouc ne faisait pas l’affaire. Elle se releva laissant du sperme lui couler le long des jambes et quitta l’appartement sans même refermer derrière elle. La copine du pauvre homme paralysé était sortie de son logement et s’apprêtait à questionner Lucile, mais au vu de l’expression de folie douce sur son visage, elle la laissa passer sans rien dire.

Lucile n’avait même pas remarqué sa voisine, elle se précipitait dans les escaliers à la rechercher d'un autre homme. À chaque pas elle sentait sa chatte fuiter, savoir qu'elle a du sperme en elle ne fait que l’exciter davantage... Elle parvient au rez-de-chaussée et débarque dans la rue. Quelques passants tournent la tête vers elle. Elle offre un spectacle des plus indigne, du liquide séminal lui coule le long des jambes, elle est échevelée et a une expression de pure salope à l’agonie.

Il lui faut se faire défoncer par une paire de couilles… Mais le peu d’effet que lui a procuré le voisin lui a fait comprendre que choisir quelqu’un au hasard ne parviendra pas à lui faire atteindre l’orgasme. Il semblerait qu’il lui faille trouver quelqu’un de plus précis… Reste à savoir qui ? Et si elle pourrait rester dans cet état d’excitation encore longtemps sans se faire embarquer par la police...

Elle parcourt les rues, désespérée… Elle regarde même les animaux, se demande si un gros labrador serait capable de mettre fin à son calvaire ; elle se croit capable de se faire monter par un cabot si cela la délivrait de sa condition de chienne en chaleur, mais elle doute.

Elle s’est avancée assez loin de chez elle, dans un quartier moins chic. Elle a évité de justesse une voiture de police qui patrouillait, quand soudain, ses yeux tombent sur un type, LE type. Elle sent que c’est le bon, sa chatte à un spasme rien qu’à le voir. Elle est prête à tout pour qu’il accepte de la baiser.

Elle s’approche de lui, c’est un grand noir en jogging et sweat à capuche. Pas vraiment son premier choix si on lui avait demandé la veille, mais aujourd’hui il ressemble à un dieu. Elle veut sa bite, qu’il la prenne comme une chienne et qu'il la fourre sans même lui demander son nom.