Scène de ménage

Les 4 fantastiques arrivèrent sur le Baxter Building. Suzanne et Red se disputaient Ben et Johnny préférèrent filer du baxter alors que le couple s'étripaient vocalement.

• j'en ai assez Suzanne arrête de regarder Namor comme ça tu bave littéralement de désir devant lui.
• je fais ce que je veux, tu me délaisses, lui c'est un mâle un vrai, si je lui demandais il me prendrait comme une bête, et j'avoue que lui appartenir serait plus amusant que ma vie quasi monastique avec toi je m'ennuie, si ça continue je demande le divorce et je repars au moins je m'amuserais.

avant qu'elle termine Red lui mit un collier inhibiteur et la ceintura.

• ah tu veux du sauvage attend bouge pas Ben et Johnny son partie pour le week-end tu vas regretter ton souhait.

avec son pouvoir élastique il découvrit ses seins et libéra l'accès à son vagin en la pénétrant d'un coup brutal, à la limite du viol.

• que ah ohhh Red non, oui oh

-

Red utilisa son pouvoir au maximum sans risquer de blesser son épouse en la pénétrant sans ménagement, elle hurla jamais elle n'avait ressenti son mari si furieux ni ne l'avait vu la pénétrer si brutalement mais elle aima ça, elle était tellement frustrée qu'elle n'allait pas se plaindre même si le traitement était autant douloureux que plaisant.

Suzanne se cambrait sous Red, les coups de boutoir violents la faisaient gémir de plaisir et de douleur mêlés. Elle avait espéré une réaction de sa part, mais jamais elle n'aurait imaginé une telle intensité. Les mots qu'elle avait prononcés l'avaient déclenché, et maintenant il la possédait avec une fureur qu'elle ne lui connaissait pas. Elle sentait son pouvoir enfler en elle, une énergie sauvage qui la consumait.

Il se mit à enserrer ses seins avec ses doigts qui s'allongèrent, les pressant sans ménagement , il la fit gémir de désir et de douleur.

• pendant ces deux jours tu vas être ma chose, je vais te brutaliser, tu vas être ma chose je vais te punir de ce que tu m'as fais subir avec Namor en me rendant jaloux, compris ?

Excitée et intimidée par le ton brutal et excitant elle hocha la tête, il lui laissa réponde, elle savait que si elle refusait cette chance qui lui était offerte tomberait à l'eau.

• oui je t'appartiens pendant deux jours fais de moi ce que tu veux pardon mon amour.
• maître tu m'appelleras maître.

elle hocha la tête alors qu'il continuait à la pénétrer avec **** et que sa main pénétrait à sa surprise son anus sans préparation mais son pouvoir d'élasticité lui permettait tout.

Suzanne sentit une vague de plaisir mêlé de douleur tandis que Red intensifiait son assaut. Chaque coup de boutoir était plus violent que le précédent, et elle se surprit à aimer cette possession brutale, bien qu'elle en ait honte. Sa main dans son anus, combinée à son pouvoir élastique, la faisait gémir sans retenue. Elle se demandait comment elle avait pu en arriver là, mais une part d'elle était excitée par cette domination sans merci. Red, quant à lui, était perdu dans sa colère et son désir, incapable de s'arrêter maintenant qu'il avait commencé.

Il s'acharna sur elle de longues minutes, calculant le maximum d'effets pour la ravager sexuellement, elle était secouée par les spasmes de plaisir, un premier orgasme la dévasta, mais il ne comptait pas s'arrêter . Suzanne, sous l'effet de la douleur et du plaisir intense, sentait son corps se soumettre totalement à la volonté de Red. Chaque mouvement brusque renforçait son excitation, malgré la **** de l'acte. Elle se demandait si elle avait déclenché une **** qu'elle ne pouvait plus contrôler, mais une part d'elle était excitée par cette domination sans merci.

Il enchaîna les pénétrations sur son épouse qui eut 4 orgasme dévastateurs et finir par s'évanouir lorsqu'il finit par jouir sans retenu en elle . Suzanne, épuisée et meurtrie, gisait sous Red, son corps tremblant de spasmes résiduels. Red, toujours en proie à sa fureur, se leva et la regarda avec un mélange de satisfaction et de colère. Il attrapa Suzanne par les cheveux et la traîna vers la salle de bain, où il l'obligea à se laver sous une douche glacée. Elle pleurait en silence, mais il ne semblait pas s'en soucier.