douche

Red plaqua Susan dans la douche montre moi comment tu aimes être brutalisée donne toi du plaisir devant moi avec la même intensité.

Susan commença à se caresser, elle réalisa que pour une fois et d'autres elle laissera son plaisir primitif la dominer, perversement elle sourit et parti dans une luxure avec ses doigts se pénétrant sauvagement sous le regard satisfait de red qui ne faiblissait pas dans sa résolution de punir sa femme.

Suzanne, encore tremblante et meurtrie, se tenait sous le regard impitoyable de Red. La douche glacée coulait sur son corps, mélangeant ses larmes à l'eau froide. Elle savait qu'elle avait déclenché une tempête en Red, une tempête qu'elle ne pouvait plus arrêter. Chaque doigt qu'elle s'enfonçait, était une punition pour ses paroles, pour avoir osé le rendre jaloux. Elle se demandait si elle avait vraiment compris l'homme avec qui elle partageait sa vie, ou si elle avait simplement ignoré les signes, trop occupée à rêver d'un autre. Maintenant, il était trop tard pour les regrets, elle se résolut à assouvir et apaiser cette colère, sans ménagement elle se griffait, se pinçant méchamment son clitoris devant le regard de Red qui n'intervenait pas.

elle se faisait souffrir dans un délire masochiste mais pourtant elle éprouvait de plus en plus de délectation à s'avilir ainsi devant le regarde de son mari.

Les heures qui suivirent furent un maelström de douleur et de plaisir mêlés, Suzanne se retrouvant prisonnière d'un désir qu'elle ne pouvait plus contrôler. Red, toujours dominateur, l'obligea à se soumettre à ses moindres caprices, chaque instant renforçant son emprise sur elle. La haine et l'amour se confondaient dans leurs échanges brutaux, créant une dynamique explosive qui menaçait de les consumer tous les deux. Suzanne, malgré les marques que portait son corps, ne pouvait s'empêcher de se sentir vivante, comme jamais elle ne l'avait été auparavant.

Il la fit mettre à genoux, elle ouvrit la bouche et sans douceur pénétra sa bouche comme jamais. La **** de l'acte la fit suffoquer, mais elle s'y abandonna, chaque mouvement brutal éveillant en elle une soumission masochiste. Red, impassible, la tenait fermement par les cheveux, contrôlant chaque geste, chaque respiration. Le mélange de douleur et de plaisir la submergeait, et pourtant, elle ne pouvait pas détourner le regard, captivée par l'intensité de ses yeux. Chaque seconde était une punition, mais aussi une libération, une confirmation de son assujettissement.

Elle tâcha de s'appliquer pour lui apporte sa meilleur pipe sa langue malgré la brutalité de la pénétration qui percutait sa gorger parvenait à lui tirer des gémissements de délice.

• Oh ouiiii c'est bon tu es douée, en fait tu est une garce qui s'ignore

il se libéra de toute inhibition et se déchaîna elle avait du mal à suivre et à ne pas vomir tant il ne prenait plus de précaution, elle était sa chose pourtant elle se sentait libérée des pressions morales.

Suzanne, épuisée mais toujours sous l'emprise de Red, sentait son corps trembler sous les assauts répétés. Chaque mouvement brutal la ramenait à la réalité de sa soumission, pourtant, elle ne pouvait nier l'excitation trouble qui la traversait. Red, de plus en plus exigeant, la poussait à bout, chaque seconde renforçant son pouvoir sur elle. Elle se sentait prisonnière d'un désir qui la dépassait, incapable de résister à l'intensité de la situation.

Enfin il finit par jouir en elle, le sperme coula à flot dans sa gorge, déborda par ses narines et finit par couler par sa bouche avant qu'il n'en arrose son visage. Suzanne, épuisée et tremblante, s'effondra sous le regard impassible de Red. Son corps, meurtri et couvert de marques, témoignait de la **** de leur échange. Pourtant, malgré la douleur qui la traversait, elle ressentait une étrange sensation de soulagement, comme si chaque coup porté avait purifié une partie d'elle-même. Elle parvint à avaler toute cette semence, quand elle finit. Red, toujours dominateur, la releva sans ménagement, ses yeux brillant d'une intensité qui la faisait frissonner.

• ce n'est pas fini ouvre la bouche,

elle obéit ne comprenant pas quand un liquide jaune et odorante d'urée s'écoula dans sa bouche. Suzanne, choquée et dégoûtée, tenta de recracher, mais Red la saisit fermement par la nuque, l'obligeant à avaler chaque goutte. Ses yeux se remplirent de larmes tandis qu'elle sentait le liquide chaud et âcre glisser le long de sa gorge. Red, satisfait de sa soumission, relâcha enfin son étreinte, laissant Suzanne s'effondrer à genoux, haletante et tremblante. Il la regarda avec un mélange de dédain et de domination, sachant qu'il avait brisé toutes ses barrières.

• lèche le sperme et l'urine tombé au sol, montre moi ta soumission.

Suzanne, toujours à genoux, releva lentement la tête. Ses yeux, encore larmoyants, croisèrent ceux de Red. Elle savait ce qu'il exigeait d'elle maintenant. Sans un mot, elle se pencha en avant, sa langue tremblante s'approcha du sol. Le liquide chaud et âcre qui s'était échappé d'elle-même quelques instants auparavant gisait maintenant là, mélangé au sperme de Red. Elle ferma les yeux, essayant de se convaincre que c'était nécessaire, que c'était le prix à payer pour apaiser la tempête qui avait éclaté en lui. Sa langue toucha le sol froid, et elle commença à lécher, chaque goutte lui brûlant la gorge, mais elle sentait qu'elle aimait de plus en plus être ainsi avilis, être sa chose. Chaque léchée était une soumission, une acceptation de son assujettissement. Red la regardait, impassible, ses yeux brillants de satisfaction malsaine. Il savait qu'il l'avait brisée, qu'elle était maintenant une ombre de la femme qu'elle était autrefois. Suzanne, quant à elle, ressentait une étrange libération dans cette humiliation, comme si chaque goutte qu'elle ramassait était une preuve de son amour, de sa dévotion.