Marie et Sandra doivent faire l'amour entre elles

"... que puisque vous avez l'air de bien vous entendre, vous aller pouvoir continuer en nous montrant comment les filles se font du bien entre elles."
Marie et Sandra échangèrent un regard inquiet.
"Avec le gros ventre de Madame," continua Marc, "ça risque d'être un peu difficile pour vous mettre en soixante-neuf, mais, c'est pas grave, vous n'aurez qu'à vous bouffer la chatte à tour de rôle. Par contre, si vous n'arrivez pas à vous faire jouir... je vous rappelle que c'est moi qui tiens la matraque."
Sandra paraissait paniquée.
"Vous l'avez déjà fait avec une fille, au moins?" risqua-t-elle à l'adresse de Marie.
"Jamais, et vous?"
"Moi non plus."
"C'est pas grave," dit la jeune femme en souriant timidement, "on improvisera."
Sandra lui sourit en retour.
"Je commence, si vous voulez," proposa Marie. "Vous ferez la même chose après."

Sandra acquiesca et s'allongea sur le dos. Sa partenaire se pencha sur elle pour l'embrasser à nouveau sur les lèvres tout en lui caressant le ventre et les seins. Elle sentit que les mamelons devenaient bien raides, les prit l'un après l'autre dans sa bouche pour les téter longuement jusqu'à faire sortir le "pré-lait" qu'ont les femmes enceintes en fin de grossesse. Elle le but avec plaisir tandis que Sandra lui murmurait des encouragements en lui caressant les cheveux, les épaules et le dos. La jeune femme embrassa et lécha ensuite le ventre gonflé de sa compagne, s'attardant pour sucer le nombril proéminent, avant d'aller s'agenouiller entre les cuisses que Sandra maintenait ouvertes. Elle pencha son visage vers le sexe désormais bien mouillé, et en savoura un moment l'odeur puis le goût avant de commencer à le lécher.

Marie n'avait pas menti: elle n'avait jamais eu de rapport lesbien. De plus, ni Paul ni les garçons qu'elle avaient connus avant lui n'étaient très portés sur le cunnilingus, et elle n'avait guère l'expérience de ce genre de caresse. Elle s'efforça néanmoins d'imaginer les mouvements de langue qui donneraient le plus de plaisir à sa partenaire, et les pratiqua avec assez d'habileté pour lui arracher des gémissements de plus en plus intenses.

Paul regardait avec stupéfaction sa fiancée qui bouffait de la chatte avec une satisfaction évidente. Il avait toujours trouvé que Marie était bonne au lit, et fantasmait depuis longtemps sur l'idée de lui faire faire un trio avec une autre femme, mais n'avait jamais trouvé comment le lui proposer. Cette situation de gouinage forcé l'excitait au plus haut point, d'autant que la femme enceinte qui désormais, cambrée en arrière, râlait de plaisir en crispant sa main dans les cheveux de Marie, avait un corps incroyablement désirable.

Pour pimenter la chose, Marc...