deuxième paire: Marie et Sandra

"A vous, mesdames," dit-il à Marie et à Sandra, "essayez de faire aussi bien."

Ses complices détachèrent les deux jeunes femmes, qui se trouvèrent debout et face à face. Marie échangea un sourire d'encouragement gêné avec son fiancé, puis fit de même avec Sandra, qui la laissa prendre l'initiative.

La future maman portait une robe d'été à bretelles, boutonnée sur le devant et descendant jusqu'aux genoux. Marie la déboutonna lentement de haut en bas puis l'ouvrit, révélant un soutien-gorge de grossesse et une culotte très sage. Passant derrière Sandra, elle saisit par le bas les deux bonnets du soutien-gorge qu'elle remonta au-dessus des seins. Elle repassa ensuite devant sa compagne pour faire descendre la culotte jusqu'aux pieds et l'enlever. Les spectateurs purent admirer Sandra dans toute la sensualité de sa grossesse, avec son ventre gonflé de huit mois (ventre en pointe: ce serait un garçon), marqué d'une ligne brune qui descendait jusqu'à sa touffe généreusement fournie, et ses gros seins aux aréoles rouge sombre et très larges.

Sandra aida à son tour Marie à enlever son chemisier et sa jupe, ne lui laissant que son slip, son soutien-gorge et ses chaussures. La jeune femme exhiba une silhouette parfaite, mais elle sentit que les bandits n'étaient pas tout à fait convaincus. Marc s'était remis à tapoter ostensiblement sa matraque électrique, donnant à comprendre qu'il ne s'agissait pas de faire les choses à moitié. Marie saisit les bretelles de la robe de Sandra pour la lui enlever complètement.

"Ce qui ferait bien, là," lui chuchota-t-elle en même temps, "ce serait qu'on se roule une pelle."

Sandra approuva d'un bref hochement de tête et colla ses lèvres sur celles de Marie. Elle lui pénétra la bouche avec sa langue et la fit savamment aller et venir dans tous les sens, au point de faire penser à sa compagne qu'elle y mettait quand même un peu trop de zèle. Marie répondit néanmoins à ses jeux de langue, tout en faisant glisser la robe de Sandra jusqu'à terre. Lorsque, le souffle court, elles eurent séparé leurs bouches, la future mère débarrassa Marie de ses sous-vêtements. Les deux jeunes femmes, ne gardant que leurs chaussures, se tournèrent vers les bandits.

"Bravo mesdames," approuva Marc. "Je pense..."