nouvelle vie

Gladys vint me chercher avant le repas pour me préparer, me désignant une robe blanche ouverte sur les côtés, qui clairement était de mauvais goût et vulgaire mais je n'etais pas là pour relever les fautes de goûts volontaires ou pas.

• lord Crichton aime quand ses soumises soient en permanence disponible à ses envies

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Puis elle m'aida à me peigner et me maquiller, à mettre mon collier. Je l'observais elle était totalement neutre aucune once de sympathie, plus elle m'aurait fait peur.

Avant de sortir elle attacha une laisse àon collier, je la regardais interrogative.

• demande de lord Crichton,

Elle me tira par la laisse jusqu'à la sortie de ma chambre où nous rejoignit Byron qui me regardait satisfait. Il prit ma laisse me traînant ainsi le long des couloirs sous le regard des serviteurs, jamais je n'avais eu aussi honte, le blanc de ma robe amplifiant la rougeur de mon visage.

• la prochaine fois vous serez nue et à quatre pattes, je goûterai encore plus ces minutes.

Je songeais "ah si cela peut être pire", une claque sur mes fesses me ramena à la réalité.

• il va falloir apprendre à cacher vos pensées Teyla car votre corps vous trahis sinon vous me fournirez des motifs pour vous corriger et franchement je ne me lasse jamais de ce genre de distraction.

il ouvrit une porte à deux battants qui se révéla être une gigantesque salle à manger avec des meubles luxueux, Thalia était présente et nous attendait, je voyais deux assiettes déjà servis ce qui n'augurait rien de bon.

• a quatre pattes.

j'obéis et le suivi jusqu'à Thalia qu'il embrassa, elle se baissa me souleva le menton avec un air satisfait.

• tu es adorable et bandante Teyla ainsi ton cul est superbe on va bientôt le préparer pour que la porte de secours soit aussi accueillante que la grande.

je tremblais car je voyais a peu près ce qu'elle sous-entendait et là je dois avouer que je n'avais imaginé que ce serait un endroit pour leur débauche. elle se releva et s'assit après que Byron lui ait présenté sa chaise et que lui prenne l'autre place, je sentais que j'allais devoir faire diète avec pourtant une odeur délicieuse qui m'arrivait aux narines quand elle s'adressa à moi.

• toi ton repas est sous la table, mange mais sans tes mains bon appétit Teyla.

je maugréais intérieurement et je me rendais sous la table mon assiette était posé entre eux deux quand j'approchais, ils posèrent leur pieds sur mon dos, le repas s'annonçait difficile je devais laper avec ma langue la sauce, me saisir avec mes lèvres ou mes dents avant d'avaler. j'étais honteuse et pourtant j'étais troublée, car j'avais vraiment envie de leur plaire, de les satisfaire.

Le plat était succulent et la faim me permirent de passer outre mes hésitations quand je finissait l'assiette fut retiré par une servante qui m'essuya le visage sous le regard du couple amusé et me dit en anglais :

• you really are a naughty little girl my dear for eating so dirty, go on and i'll spank you.

alors qu'elle posait au sol et au même endroit une mousse au chocolat en ajoutant "faites attention je n'aime pas le gâchis, qu'il ne reste pas une seule trace"

je compris que la suite était programmé pour un scénario prévu à l'avance car manger ce chocolat sans me salir sans les mains était littéralement impossible.

Toutefois je reconnu que le dessert était divin, du chocolat avec une pointe de menthe, j'aurais autrement crié à l'insulte mais non le mélange était succulent.

l'inéluctable arriva en m'examinant, elle prit un air courroucé m'essuya à nouveau

• you had been warned, come on my knees get what you deserve.

avec un air faussement contrite et réellement inquiète je trainais des pieds pour m'exécuter.

• go quickly

je disais

• pardon madame s'il vous plaît ne faites pas ça.

mais voyant que je l'énervais encore plus je me positionnais sur ces genoux pour cet instant humiliant et douloureux, alors que je sentais le regard du couple nous fixer.

elle commença sans aucun égard pour ma dignité après avoir relevé le pan de ma jupe et dévoilé mes fesses, la première me surpris et les autres furent de plus en plus violentes.

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je me mordais les lèvres pour ne pas crier, elle s'arrêta à la quinzième, elle me fit signe de me relever alors que j'étouffais un sanglot car le traitement de l'esthéticienne avait rendu ma peau encore plus sensible.

elle ajouta :

• Don't do it again or I'll have to crack down even harder next time.

hoquetant je parvins à dire :

• pardon madame.

Byron me fit signe d'approcher et de me mettre entre eux, ils regardèrent mes fesses rouges pivoines.

• ce cul décidément est vraiment fait pour rougir.