Encore

Après le repas, Gina arriva comme prévu avec un nécessaire pour la suite des évènements. Le couple m'emmena ainsi à genoux à travers l'étage alors que Gina me caressait la croupe ou les cheveux,jusqu'à une salle de coiffure professionnelle privée, je regardais Gina :

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• hé oui j'ai pu m'exercer ici mes compétences avec nos maîtres avant d'ouvrir ma propre boutique, en dessous il y avait ma chambre.
• elle est toujours là ma chère Gina si un jour vous voulez vous pouvez toujours nous rejoindre fit Byron.
• Gina soupira merci maîtres, j'ai désormais des obligations mais qui sait, en attendant je souhaiterais pouvoir rester pour coiffer demain Teyla avant de partir pour le moment attaquons nous aux sourcils, et aux ongles.
• Gina je pourrais profiter de tes bon soins aussi demain.
• bein sûr maîtresse, vous voudrez la totale spéciale lady ?
• oh que oui ma belle, bien nous allons vous laisser Teyla tu vas pouvoir te déstresser sinon tu vas exploser. Sache toutefois que par ces caméras que tu verras partout nous pourrons profiter de vos activités n'est-ce pas Gina ? Ah obéis à toutes les demandes de Gina elle est aussi notre invitée.

Gina rougit à un souvenir et hocha la tête approbatrice

-merci maîtres vous serez satisfait du résultat.

ils nous laissèrent et Gina commença à épiler mes sourcils et me dit :

• alors que veux tu savoir ? je suppose que tu as beaucoup de questions, je ne te répondrais pas forcément à tout mais j'essayerais, tu peux me tutoyer.

je réfléchis puis,

• quel points as tu le plus détesté quand tu étais l'esclave sexuelle ? et ce que j'y m'attends de pire

Gina fit la moue

• personnellement c'est quand ils m'échangeaient avec une autre esclave sexuelle et que je tombais sur une personne que je n'avais pas choisi pendant quelques jours sans savoir quand ça finirait et quand nous allions au club Hellfire où tout était permis surtout les pires abus sexuels livrée à des dizaines d'hommes où de femmes qui satisfaisaient leur perversion sur nous les esclaves sexuelles des différents couples.
• Quand Byron te livre à un bourreau ou à Thalia qui était sa fiancée à l'époque pour te tourmenter et que fasciné par tes cris, ta douleur il entre en transe la poussant à aller toujours plus loin dans la douleur à ce moment tu ne sais pas jusqu'où ça va aller et si tu vas survivre, mais tu vois j'ai survécu donc relativise.

La séance se prolongea avec les ongles de mains puis des pieds, elle me montra les maquillages favoris du couple, des seins, comment mettre des perruques, des lentilles de contact pour changer la couleur.

J'étais nue devant un miroir sur pieds a ma taille, je ne me reconnaissais presque pas et si j'avais été un homme je me serais trouvée bandante.

Gina me poussa dans la chaise de coiffure, elle m'embrassa avec passion et avidité alors que sa main droite me caressait la poitrine et l'autre se glissait jusqu'à mon clitoris.

Surprise j'eus un accès de pudeur devant cet excès de passion mais sa voix m'incita à m'abstenir.

• tutut ma belle, on est regardée et on m'a donné tout pouvoir je préfère que ça reste un bon moment entre nous.

Elle reprit son assaut et je me laissais faire résignée mais aussi excitée. Ces doigts, sa langue étaient un véritable ouragan de sollicitation de mes sens.

Je haletais de plus en plus mon bassin se cambrait formidablement en recherchant une pénitence que je pensais impossible à satisfaire pour Gina.

Elle me caressait mes endroits sensible avec une douceur réconfortante, elle dosait avec subtilité ma frustration et mon désir.

-là là ma belle laisse toi faire tu as choisi une voix d'abandon, alors abandonne toi jouïs d'être le jouet de ton plaisir ou de la douleur qu'on t'impose.

Elle claqua sans méchanceté mais avec détermination mon vagin et mon clitoris du plat de sa main avec un rythme subtil et variant en ****.

Je gémis avec délice et une douleur subtile de sentir ces chocs résonner en moi, les ondes qui prenaient de l'ampleur se propageaient, j'étais dépassée par ces sensations que mon cerveau n'arrivait plus à comprendre car totalement les informations douleur/plaisir étaient contradictoires.

Puis elle reprit ses caresses sur cette zone qui irradiait desormais d'une douce chaleur doublée d'une plus grande sensitivitée.

-aahh oohhhh je, je

J'étais incapable d'exprimer plus mon corps m'abandonnait, il ne m'obéissait plus, il ne répondait plus qu'à Gina. Elle était impitoyable des spasmes me parcouraient des pieds à la tête sans qu'elle me laisse souffler, je me tordais comme un folle sur cette chaise, je ne maîtrisais plus ma salivation, je mouillais comme jamais, je ne parvenais pas à croire qu'un orgasme si terrifiant puisse exister.

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je faillis tomber tellement mon corps fit un bond, se cambrait totalement, mon cri fut d'un total désarroi devant la puissance qui me ravagea.

Il me fallu du temps pour que mes yeux fonctionnent à nouveau correctement me sortant d'un monde flou et petit à petit mon ouïe revint également doucement, je parvins à saisir les propos de Gina, alors qu'elle essuyait un filet de bave à la comissure de mes lèvres d'une main et de l'autre la cyprine qu'elle goutait de l'autre.

• Hum délicieux alors ma belle ?

Je la regardais avec un sourire béat et prononcais d'une voix pâteuse.

• Encore ?