Non, je ne vais tout de même pas descendre jusque là!

Seule à nouveau! Pendant que Bertrand et Edith filent le parfait amour, j'ai mes mains pour seuls compagnons, et éventuellement quelques denrées potagères. Je n'ai même pas le courage de filer au sex-shop le plus proche m'acheter un godemichet.

Vers le début de l'été, j'accepte l'invitation de ma soeur à aller passer quelques jours chez elle. Edwige a deux ans de plus que moi, elle est célibataire et a toujours vécu seule, sinon quelques aventures qui n'ont jamais duré. Elle a une petite maison avec une grande piscine, séparée du voisinage indiscret par des haies de canisses, au bord de laquelle nous passons une partie de l'après-midi à bronzer en monokini, ce qui me permet de jalouser sa poitrine nettement plus généreuse et ferme que la mienne. Enfin, ça ne m'empêche pas de dormir, puisque je ne tarde pas à m'assoupir dans mon transat.

Je me réveille seule: Edwige est sans doute rentrée dans la maison. Je m'y dirige à sa suite, toujours dans la même tenue. A peine suis-je dans le salon que j'entends un cri étouffé, suivi d'une série de gémissements haletants. Inquiète, je me dirige vers la chambre d'Edwige, dont la porte est reste entrebaîllée.

Ma soeur est bien là... mais je n'ai pas de souci à me faire pour elle. Avec elle se trouve Paul, le fils des voisins, un jeune homme d'une vingtaine d'années à qui nous avons brièvement dit bonjour la veille. Il est couché à la renverse sur le lit, elle s'est assise et empalée sur lui et le chevauche allègrement. Tous deux sont nus, Edwige me tourne le dos, je vois ses fesses rondes monter et descendre pendant qu'elle fait coulisser dans sa chatte une bite de taille respectable, rythmant ses gémissements saccadés. Mon regard et celui de Paul se croisent soudain...