Je fuis!

Je sens la rougeur m'envahir et m'enfuis précipitamment, essayant de faire semblant de rien lorsqu'Edwige, souriante, ressort de la maison en apportant le café. Ce qui ne m'empêche pas de me masturber longuement, ce soir-là, dans mon lit, en pensant à la belle bite de Paul ramonant la chatte dégoulinante de ma soeur. Le jeune homme a disparu, sans doute rentré discrètement chez lui, et je ne le revois que dans l'après-midi du lendemain, lorsqu'il passe prendre Edwige pour l'emmener faire des courses en ville.
Je propose par politesse de les accompagner, mais, comme je m'y attendais un peu, Edwige me conseille plutôt une nouvelle sieste auprès de la piscine. J'y suis rejointe par notre voisine Laurence, la mère de Paul, une femme blonde d'une quarantaine d'années, adepte comme moi de la bronzette en monokini. Tandis que nous bavardons, je ne peux m'empêcher de penser à son fils parti en ville avec Edwige. Est-ce qu'ils ont arrêté la voiture sur le bord de la route pour qu'elle le suce? Est-ce qu'ils se sont écartés dans un petit bois pour qu'il la prenne rapidement sur l'herbe?
La conversation évolue vers ma vie privée, mon divorce. Laurence se dit certaine que je peux retrouver un homme, j'avoue sans trop m'étendre avoir eu quelques expériences, et, dis-je négligemment, pas seulement avec des hommes. Elle ne semble pas choquée, me dit de son côté avoir connu plusieurs aventures homosexuelles, y compris depuis son mariage. C'est tout naturellement qu'en se levant pour rentrer chez elle, elle se penche brièvement vers moi et dépose un baiser dans mon cou. Je sens un de ses seins effleurer le mien.