Je teste la pause à la fac

Avant d'aller à la fac, je fais un petit détour par un magasin d’une enseigne célèbre, connue récemment dans la presse pour avoir refusé l’accès à un chien d'aveugle. Au rayon des vêtements pour femmes, je remplis mon panier de ce qu'ils ont de plus sexy : chemisiers fins, mini-jupes, mini-shorts, petits hauts laissant le ventre nu, et chaussures à talons. J'enclenche la pause. Le magasin se fige. J'en profite pour tester la durée de la pause. Je trouve une jolie vendeuse occupée à remplir des rayons, je la déshabille, lui retire sa lingerie puis la rhabille. Apparemment ça dure assez longtemps. Je sors avant que le magasin reprenne vie, et dans la rue, je le remets en route.

Direction la fac. Dans chaque classe, il y a toujours au moins une étudiante un peu fayotte qui s'assoit au premier rang sans compter celles qui viennent voilées. Il est temps de relooker tout ce petit monde. Premier amphi : cours d'histoire. J'avise une petite blonde un peu pimbêche au premier rang, Patricia, je me souviens l’avoir vue à la manif pour tous et deux étudiantes voilées dans la salle, Karima qui est végane et Malika qui milite dans l'association des étudiantes musulmanes, si ma mémoire est exacte.

Pause.

Je retire leurs habits, sous-vêtements y compris. Patricia a un joli corps malgré son air pimbêche. Ses petits seins sont fermes et doux sous ma main. Malika a de plus petits seins mais un corps fin et un cul ferme. Karima se défend mieux niveaux obus. A de les voir nues comme ça, je bande, je décide de me soulager dans la chatte de Malika, tant pis pour sa virginité. J'imagine la tête de son mari, et la sienne, le jour de sa nuit de noces ! L'enseignante, une vieille pie revêche, passait des photos sur l'écran derrière elle. D'ailleurs ça me donne une idée : je fais quelques photos érotiques voire pornographiques de la blondinette et des deux filles voilées que je place dans le répertoire à la place des images de fouilles en Grèce. Je prends soin d'envoyer toutes les photos à leurs contacts et sur les réseaux sociaux. Bénis soient les smartphones. J'habille Patricia comme il se doit : chemisier transparent, mini-jupe en jeans et bottes de cuir rouge à hauts talons, elle se passera de lingerie. J'emporte ses habits de coincée. Je fais de même avec les deux autres, un petit haut ventre nu et un short en jeans iront bien à Malika, sa copine Karima se contentera d'une robe moulante et ultracourte, des talons de pute vont compléter agréablement leur tenue.

Je me rends compte que la télécommande a d'autres boutons, en cherchant bien je comprends la fonction de contrôle mental. C'est très intéressant ça ! Pour Patricia, je lui donne un attirance pour les autres filles, ça va lui apprendre à manifester contre les lesbiennes. C'est vrai quoi, pourquoi vouloir priver les mecs de plans à trois avec leur copine et sa meilleure amie? Puis, je me dis que des musulmanes doivent garder leur virginité en pratiquant la sodomie, alors je décuple leurs sensations de ce coté là, douleur fois 10 et plaisir fois 100. Sachant qu'elles vont probablement être forcée de se marier par leur famille, j'implante un réflexe d'orgasme qui sera d'autant plus puissant qu'elles trouvent leur partenaire répugnant. Pour finir, je donne à Karima une envie irrésistible de manger un sandwich au saucisson, tandis que Malika aura envie de boire de l'alcool.

Je m'installe au fond de la classe et hop, je relâche le fil du temps.

Au tout début, elles mettent un moment à réagir, elles rougissent, sont embarrassées et l'effet empire quand l'enseignante fait avancer à la série de photos suivante où on voit la blondinette nue, jambes écartées, la tête renversée en extase. Puis une série de photos où les deux futures-terroristes se font manger la chatte par la coincée. La prof devient cramoisie. Les trois étudiantes s'enfuient sous les rires et quolibets. Pas certain qu’elles reçoivent un bon accueil dans leurs familles désormais...