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Chapter 4 by DarkSad DarkSad

Je continue à la fac ou je vais ailleurs?

Le sexe c'est mieux que le porc [POV Karima]

Ma vie a dérapé.

Je me nomme Karima et jusque ce matin j'étais une étudiante normale. Je mangeais végan et, comme c'est également halal, ma famille ne me faisait aucun reproche. J’ai un petit ami mais je garde ma virginité pour notre nuit de noces. Je ferme les yeux sur ses incartades, une tournante ça n'est pas tromper. Oui enfin là, il a fait tout un benchmarking. Je le soupçonne d'avoir une relation cachée avec ma meilleure amie Mathilde mais tant que je reste pure, tout va bien. Bien sur, je porte le voile, mes amies véganes me soutiennent sur ce point.

Et ce matin, tout a dérapé. J’ai eu une sorte de vertige. Et je me suis retrouvée habillée de façon vulgaire, sans sous-vêtements, et pire, sans voile.

Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Toute la classe a éclaté de rire. La prof passait des photos de moi, nue, en train de lécher la chatte de cette connasse de Patricia. Je ne comprenais pas pourquoi la prof avait fait ces montages mais, en fait, elle semblait aussi surprise que moi. Surement un coup d'étudiants frustrés d'être puceaux. Sous les quolibets, je suis sortie de l'amphi. Comment vais-je rentrer chez moi ? pensais-je alors. Ignorant que ce serait mon moindre souci avec ce qui allait suivre. J’ai songé à aller dans un magasin acheter une djellaba et un voile. En route, je suis passée devant la sandwicherie. Et là j'ai été attirée par un sandwich au saucisson. Je trouvais ça dégueulasse d'habitude, du porc et de la viande, double horreur. Pourtant je l'ai acheté et dévoré sur place.

"hum hum et bien c'est comme ça que tu t'accroches à tes convictions?"

Je me suis retournée et Mathilde me regardait d'un air narquois.

"je t'en prie, ne dis r..." ma phrase a été coupée par son appareil photo.

"je t'ai filmée aussi, ma petite Karima, alors si tu veux que je garde le silence, il va falloir te montrer très gentille."

"pitié, je ferais tout ce que tu veux..."

"tout?" lâcha-t-elle en haussant un sourcil.

"oui, tout..." les larmes coulaient le long de mes yeux.

"bon, très bien, puisque tu es dans de bonnes dispositions, je vais tout effacer après demain, quand tu auras rempli ta part du marché" conclu-t-elle d'un air enjoué.

"que veux-tu que je fasse?"

"d'abord tu vas accepter de participer à une action végane, et convaincre une amie de venir avec toi."

Je poussais un soupir de soulagement. "c'est tout?"

"oui, bien sur je ne suis pas une sadique."

"et ensuite? tu as dit : d'abord"

"ensuite, tu vas offrir ta virginité à mon professeur de chimie."

"QUOI?"

"allons, ne fait pas cette tête-là, tu diras à ton chéri que tu t'es masturbée avec un concombre et je confirmerai, n'aie aucune crainte. ha au fait, l'action végane consiste à te marquer, toi et ton amie, au fer rouge."

Je devais m'asseoir, j'allais m'évanouir.

"alors c'est oui?"

"ou ou oui.." balbutiai-je.

"parfait, allons-voir ce cher monsieur Lampaire, en plus tu as la tenue idéale pour ça."

Son prof était proche de la retraite avec ses 62 ans. Sec comme une trique autrefois, un divorce, l'alcool et la sédentarité l'avait pourvu d'un embonpoint. Il se lavait rarement. Il me dégoûtait. Des rumeurs disaient qu'il avait les mains baladeuses dans son labo avec ses stagiaires et aussi qu'il refusait toute candidature féminine pour un master s'il n'avait pas couché avec l'étudiante en question or Mathilde tenait à faire son master de chimie avec lui, car malgré tout, c'était un esprit brillant, cité pour un prochain Nobel. Je dus me tenir à son bureau pendant que Mathilde négociait ma virginité avec le vieux libidineux.

"c'est arrangé, Karima, tu peux te foutre à poil."

Mathilde s'installa tranquillement dans le fauteuil et comptait bien assister à ma défloration. Les mains tremblantes, je retirai ma robe et la laissa tomber au sol, Mathilde ricana en voyant que je ne portais rien dessous. Je déglutis et je me rapprochai du vieux pervers. Il me prit par la taille et m'installa sur son bureau. Ses mains descendirent sur ma chatte et la caressèrent. Je mouillais comme jamais, sans comprendre pourquoi. Il me fait jouir une première fois, je crus qu'il s'arrêterait là mais il me poussa des deux mains pour m'allonger sur son bureau.

"non, non, pitié." ai-je protesté en paniquant. Mathilde s'est levée et m'a tirée en arrière. J'étais sur le dos, le vieux prof écarta mes cuisses et s’introduisit en moi. je m'attendais à une douleur mais elle fut brève. Je sentais son sexe coulisser dans le mien. Mathilde s’aperçut que je commençais à apprécier. Elle lâcha mes mains et se mit à se caresser la poitrine, à couvrir mon visage de baisers. Je n'avais rien vécu de meilleur que ça : me faire déflorer par un type moche, puant, vieux pendant qu'une amie me caressait les seins avec tendresse. Je sentis mon orgasme approcher et je me dis soudain que lui aussi allait jouir, et il allait le faire dans ma chatte, or je ne prenais pas la pilule. Je tentais de le repousser :

"non, s'il vous plait, pas dans mon sexe, je ne prends pas la pilule. Dans ma bouche, dans mon anus, sur mon visage, où vous voulez mais pas dans mon vagin."

Mathilde lui agrippa les épaules pour l'empêcher de se retirer. Nous jouîmes ensemble, lui et moi, cependant je fus la seule à pleurer.

"tu vois ma chérie, c'était pas si terrible..." me susurra Mathilde en me caressant le visage d’une main douce. "bon, allez, à demain matin en bas de chez Hortense."

Dans le couloir, je pris mes jambes à mon cou. J'ai trouvé de quoi m'habiller décemment dans un magasin proche de la fac et je suis rentrée chez mes parents à Rosny-sous-bois. J’ai passé la journée à me lamenter. Vers 20h, Djamal est passé à la maison manger, il m'a offert une jolie bague, sûrement en toc, et ça m'a fait me sentir encore plus lamentable vis-à-vis de lui.

J’ai mal dormi et au réveil, une petite chinoise habillée comme une pute, couverte de foutre est venue me voir. Mes parents étaient sortis heureusement, mes sœurs étaient à l'école et mes frères n'avaient pas fini de dealer. Elle ne parlait pas français mais mon anglais était suffisant pour qu'on puisse se comprendre. La bague était à elle et elle tenait à la récupérer. Je me suis dit que je tenais une occasion de la faire participer au marquage sans devoir obliger ma sœur à le faire. Elle a accepté rapidement. Elle voulait prendre une douche mais je trouvais plus amusant qu’elle reparte comme ça, après tout j'avais souffert moi aussi et elle s'était surement faites passer dessus par mon fiancé. La salope ! Tiens d'ailleurs, je vais en profiter, il n'y a pas de raison. Je lui réclame un léchage de pieds en règle : ça lui apprendra à se laisser violer par les fiancés des autres.

Après un petit déjeuner végan et halal, je vais rejoindre Mathilde en bas de chez Hortense comme convenu.

La suite des mésaventures de Karima

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