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Chapter 6 by Gerald F. Gerald F.

Laquelle de mes idées vais-je suivre?

J'entreprends discrètement de remonter le moral de Cécile par mes propres moyens

Un après-midi où Bertrand et les jeunes sont partis se promener, Cécile est restée à la maison en se disant fatiguée, et j'ai saisi ce prétexte pour rester également. Nous nous racontons nos vies, et je peux constater que celle de notre amie est vraiment la mienne d'il y a un an: abandonnée, se sentant vieillir, sentiments encore accrus par le contraste du bonheur de sa fille, et cette idée qu'il n'y aura plus jamais un homme dans ses bras...
La ressemblance m'attendrit tellement que j'approche mon visage du sien pour déposer un petit baiser sur ses lèvres. Elle sourit, un peu étonnée.
"Vous préférez les femmes?"
"Ce n'est pas ce que je préfère, mais..."
Inutile, pour le moment, de lui dire que mes seules expériences dans ce domaine ont eu lieu avec sa fille! Je l'embrasse un peu plus fermement, elle répond à mon baiser. Mes mains glissent sur ses épaules, ses flancs, ses hanches. Nous portons toutes les deux des robes d'été qui se boutonnent par devant, sans cesser de l'embrasser je défais un par un les boutons de la sienne. Elle gémit, ses lèvres nouées à mes lèvres, en signe d'approbation, la robe glisse de ses épaules, ses courbes apparaissent moulées dans un slip et un soutien-gorge. Elle est renversée dans un fauteuil, moi penchée sur elle, je fais descendre les bretelles du soutif et ses seins ronds se dénudent sous mes yeux, leurs mamelons s'érigent sous ma bouche, dans ma bouche. Les mains de Cécile parcourent mes cheveux et ma nuque, elle me dit que c'est bon, que je continue. J'écarte son slip, respire sa chatte aux boucles brun roux, y introduis délicatement l'index puis le majeur. Son corps ondule sous mes caresses, ma tête descend en lui caressant le corps avec la langue: les seins, le ventre, le nombril que j'agace un moment, le bas-ventre. J'ôte complètement son slip, me mets à genoux devant elle, embrasse sa toison, approche ma langue qui effleure sa fente puis la pénètre, explore ses profondeurs intimes. Elle a un petit cri lorsque l'un de mes doigts fore son anus, halète, râle, explose soudain sous ma langue.
Je reste un moment à genoux, la tête appuyée contre sa cuisse, savourant le goût de sa mouille et le parfum de sa chatte comblée, sa main me caressant les cheveux et la joue. Elle me murmure "Je voudrais te le faire à toi", et je m'allonge à terre sur le dos, offerte. Elle s'agenouille à son tour près de moi, déboutonne ma robe, écarte les bonnets de mon soutif, me caresse gauchement les seins, les embrasse, les mordille.
"Ce sera la première fois que je ferai ça à une femme," dit-elle en évitant mon regard tout en faisant glisser mon slip. Bon, sa fille ne tient pas d'elle! Mais il faut croire que j'ai été une bonne initiatrice, car Cécile reproduit délicieusement sur mon corps les caresses que je lui ai dispensées, posant ses lèvres de mes cuisses à mes seins, me pénétrant de ses doigts et de sa langue, me faisant à mon tour soupirer et gémir sous elle.
Mon amante s'allonge sur le tapis à côté de moi, et nous nous enlaçons.
"Tu es sûre que ce n'est pas les femmes que tu préfères?" me demande-t-elle.
"Non, mais je les adore quand même quand elle sont aussi bonnes élèves que toi," dis-je avec un nouveau baiser. "Et toi, tu n'as pas envie de te convertir?"
"C'était merveilleux avec toi, mais je suis quand même en manque d'une bonne bite!"
Nous pouffons de rire avant de rouler ensemble sur le tapis. Tandis que nos touffes se mêlent, je pense que je suis devenue aussi cochonne que mon gendre: comme lui, je me suis tapé successivement la fille et la mère... Et j'ai très envie de continuer...

Que vais-je proposer à Cécile?

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