De continuer discrètement avec moi

Les vacances terminées, Cécile et moi reprenons nos étreintes furtives, à la moindre occasion qui nous permet de tromper l'attention de nos mari, beau-fils et fille respectifs. On imagine les chassés-croisés, sachant que Jérémie va parfois dormir chez Mel ou l'inverse! C'est un jour où nous sommes seules chez elle qu'elle me montre le jouet avec lequel elle calme, depuis peu, l'absence d'une bonne bite dans sa vie. C'est un superbe gode très allongé, flexible, dont les deux extrémités identiques permettent éventuellement de consoler une deuxième esseulée.
Quoique je n'aie rien d'une esseulée (sans parler de Cécile, je continue à m'abandonner alternativement aux assauts de Bertrand et de Jérémie!), je suis ravie qu'elle ait songé à me le faire partager. Nous nous débarrassons mutuellement de nos vêtements et de nos dessous, ne gardant que les bas que Cécile a comme moi adoptés de préférence à des collants. Nous tombons sur son lit en soixante-neuf, nos doigts et nos langues assurent les préliminaires, puis elle me fait asseoir face à elle, à la toucher, et je vois une extrémité du gode disparaître au fond de sa chatte.
Je me rapproche encore de Cécile et elle guide en moi la pénétration de l'autre extrémité, bientôt nos touffes se rencontrent, nos clitos s'effleurent. Ce n'est pas la première fois que nous adoptons cette position, mais c'est la première fois qu'il y a dans nos deux founes en même temps, désormais bien enfoncé, un instrument que je sens vibrer en moi au rythme des ondulations de Cécile. Je bouge à mon tour pour lui imprimer d'autres mouvements, qui font gémir ma compagne, nous nous pénétrons réciproquement avec nos sexes comme des hommes tout en nous sentant enfilées comme des femmes, en voyant l'orgasme de Cécile je comprends presque ce qu'éprouvent Bernard ou Jérémie quand ils me voient leur céder complètement, et en même temps je jouis moi aussi sous le gode dont ni elle ni moi ne contrôlons plus les mouvements.
Cécile lèche et suce minutieusement l'extrémité du gode qui m'a pénétrée, tout en me tendant l'autre que je ne refuse pas. Nous savourons le goût de nos mouilles sur le latex, mais j'ai envie de plus. Je fais basculer mon amie à quatre pattes et m'enfile à nouveau l'instrument dans la fente, elle croit un instant que je veux la prendre en levrette mais sent l'extrémité libre du gode se présenter à l'entrée de son petit cul. Elle a un bref mouvement de retrait, mais aussitôt après se montre docilement immobile.
"Fais attention," dit-elle, "ce sera la première fois qu'on me prend par là."
Ma langue et mes doigts sont donc les seuls à avoir jusqu'ici franchi le rond orifice de Cécile, et le gode dont elle m'a montré l'usage, quelques minutes avant, lui prendra sa virginité anale!
"Tu ne préfères pas te garder vierge pour un bel homme?" dis-je en me penchant derrière elle et en lui léchouillant l'oreille.
"Hmmm nnnooonnn, ce machin-là a l'air tout de même plus souple qu'une bite, et puis je sais que tu sauras le manipuler..."
En effet, le gode est plus flexible qu'un sexe d'homme, et après une brève préparation digitale et linguale ça se passe très bien. Je commence à enculer Cécile avec ma chatte, sentant à nouveau en retour l'instrument qui bouge en moi tandis que je passe une main entre les cuisses de mon amie pour la doigter, jusqu'à notre nouvel orgasme.
Alors que nous sommes couchées sur le flanc, mon ventre et mes seins tout contre le dos de Cécile, l'instrument toujours dans ma chatte et dans son cul (l'avantage de ces choses, c'est qu'elles ne débandent jamais!), elle m'avoue:
"Tu sais, je ne te l'ai pas dit, mais j'ai fait l'amour avec un homme récemment."
"Merveilleux," dis-je en la serrant plus fort contre moi, et je le pense. "C'est qui?"
"C'est justement ça que j'hésitais à te dire: c'est ton beau-fils."
"Jérémie?"
"Oui, c'est arrivé quand il est venu passer la nuit ici avec Mélanie, la semaine dernière. Le matin, je me lève, j'entre dans la cuisine, avec juste ma chemise de nuit, et Jérémie était là à préparer le petit déjeuner. Je lui dis combien je suis contente que ma fille ait rencontré un garçon comme lui, je lui ai fait un petit bisou, et puis c'est devenu un gros bisou. Je me suis retrouvée toute nue devant lui, et il m'a enfilée comme une chienne. J'étais penchée en avant et les mains appuyées à la table. Ma fille aurait pu entrer et voir sa mère en train de se faire baiser par son copain, mais je n'y ai même pas pensé sur le moment. J'y ai pensé après qu'on ait joui. Mélanie est arrivée quelques minutes après, en l'embrassant je sentais encore le sperme chaud de Jérémie au fond de ma chatte. C'est horrible, non?"
Non, mais ça me rappelle des souvenirs! Ce sacripant de Jérémie a réédité l'exploit de mon gendre (ou le mien, tant qu'à dire...): baiser successivement avec la fille et avec la mère. Sauf que lui, non content de se taper sa belle-mère, la mère de sa copine, il s'est aussi tapé son autre belle-mère, la femme de son père!