Faire ça à trois avec Cécile et Jérémie

Tout en la gardant dans mes bras, j'explique à Cécile, avec les ménagements d'usage, les relations que j'entretiens avec Jérémie. Sans attendre qu'elle soit revenue de son étonnement, j'ajoute - en évitant toute allusion au trio que nous avons formé avec Mélanie - que mon beau-fils et moi avons l'humeur partageuse.

Résultat: quelques jours après, alors que Bertrand est en voyage, je préviens Jérémie qu'en rentrant à la maison il me trouvera en porte-jarretelles et avec une surprise. Lorsqu'il arrive, je lui ouvre la porte vêtue d'un déshabillé sous lequel il devine mes bas et mon PJ, ma chatte et mes seins nus. Son regard change de direction lorsque dans sa chambre où je l'ai conduit, il trouve la mère de sa copine - qui a aussi été sa maîtresse pour quelques minutes - dans le même costume.

"On a vu que tu avais doublement le fantasme de la belle-mère," lui dis-je, "la femme de ton père et la mère de ta copine, alors on a décidé de le satisfaire toutes les deux en même temps."

En le prévenant que pour le moment il n'a pas le droit de toucher, je me tourne vers Cécile, la débarrasse de son déshabillé tout en laissant glisser le mien. Nous apparaissons toutes les deux vêtues (fort peu) des mêmes dessous, et sous les yeux de mon beau-fils qui se retient difficilement nous nous embrassons savamment avec la langue, nous caressons mutuellement les seins, nous couchons en soixante-neuf sur le lit. Incapables de contenir notre impatience, nous avions un peu commencé avant l'arrivée de Jérémie, et le fameux godemichet de Cécile est encore en évidence dans un coin de la pièce. Je renverse mon amante sur le dos, reste agenouillée à côté d'elle et lui pénètre la chatte avec l'instrument de caoutchouc, tout en incitant Jérémie à venir se faire sucer. Mon beau-fils se déshabille et vient à son tour s'agenouiller près de la tête de Cécile, présentant sa bite bien dressée à la bouche de la belle quadragénaire, qui s'en empare aussitôt. Tout en se faisant sucer par la maman de sa copine, Jérémie me regarde avec intérêt manier le gode dans sa chatte, puis me voit avec surprise enfoncer la main plus profond entre les cuisses de notre invitée, et introduire sans difficulté l'engin dans son anus. Avant qu'aucun de mes deux partenaires n'aie eu le temps de jouir, je me couche sur le dos, cuisses écartées, et demande à Cécile de venir me faire minette. Elle se met aussitôt à quatre pattes devant moi, plonge sa tête entre mes cuisses gainées de bas et commence à titiller ma chatte d'une langue que mes leçons ont rendue experte. Elle tourne ainsi le dos à Jérémie, son postérieur ondule sous les yeux de son quasi-futur gendre qui ne résiste pas, la prend par les hanches et introduit sa bite dans la chatte que j'ai soigneusement échauffée. Il l'enfile quelques instants en levrette tout en admirant la femme de son père, nue et écartelée, qui gémit sous les coups de langue de sa partenaire, avant que je lui signale que Cécile est prête à être enculée, que j'ai bien préparé la voie avec le gode. Et avant qu'elle ait pu protester que c'est la première fois avec une vraie bite, Jérémie s'introduit doucement mais fermement dans son anus. Même si celui-ci a effectivement été très assoupli par nos exercices caoutchoutés, sans parler du nombre de fois où j'y ai introduit mes doigts ou ma langue, Cécile sent aussitôt la différence avec un gode, se tord et râle de gêne et de plaisir mêlés, jusqu'à ce que Jérémie lui remplisse le cul de foutre.

Avec tout cela, elle a quelque peu négligé ma petite minette, et j'entreprends aussitôt de remettre mon beau-fils d'aplomb en suçant le membre qui sort juste du cul de Cécile. Après un moment d"hésitation, notre amie surmonte son dégoût pour venir m'aider dans cette tâche, et très vite Jérémie est en état de me renverser sous lui et de me bourrer la chatte, pendant que Cécile introduit à son tour le gode dans mon anus. C'est ainsi que j'atteins à mon tour le septième ciel, en me sentant inondée du sperme de mon beau-fils.

Pendant que Jérémie et moi reprenons notre souffle, Cécile nous adresse un sourire un peu honteux.

"Jurez-moi que Mélanie n'apprendra jamais ça," demande-t-elle.