Gaïjin

Cette histoire est la suite de l'histoire Yamanote :

https://chyoa.com/chapter/Yamanote.1390824

Uzachi resta un long moment tranquille la seule chose qu'il vérifiait parfois c'est que je ne mettais pas de culotte comme il me l'avait ordonné.

un jour à l'université il m'emmena dans un chantier attenant dans un bâtiment en cours de rénovation, et plus particulièrement dans des toilettes faites pour les ouvriers mais contrairement à ceux d'Europe ils étaient grands et propres même prévu pour des handicaps avec des barres en métal pour s'appuyer.

• déshabille toi

excitée mais inquiète j'obéissais, il prit mes vêtements et après m'avoir poussé à m'installer il m'attacha dessus. avec dsd chaînes.

Je comprenais il avait vu mon historique informatique et avait vu une vidéo que j'avais vu particulièrement dégradante mais qui m'avait particulièrement excité il reconstituait la scène.

• tu ne va pas me faire ça !?

sans un mot après m'avoir totalement exposée cuisses ouvertes , se mit à marquer sur mes cuisses, mes seins mon ventres des mots comme pute, cadeau, offerte, prêt à vous plaire, sac à foutre.

puis il mit un panneau où était marqué un panneau " cadeau à nos vaillants ouvriers je suis à vous faites de moi ce que vous voulez je suis des toilettes vivantes".

Il ouvrit son pantalon et sortit son sexe dressé, le tenant fermement dans sa main droite, il me regarda droit dans les yeux, un sourire sadique se dessinant sur son visage. Ses yeux brillaient d'une excitation perverse, comme s'il savourait le pouvoir qu'il avait sur moi à ce moment-là. Il fit un pas en avant, son sexe pointé vers moi, et je sentis un frisson de peur et d'excitation me parcourir.

Son sexe se présenta et me pénétra d'un coup, puis il commença à me baiser lentement. Mes jambes tremblaient, violemment. Mais le pénis était puissant et dur comme du métal, et il me pénétrait à nouveau profondément. C'était un acte fortement coercitif, avec lequel il se reposa à chaque coup dans mon corps

Je n'étais qu'un réceptacle qui ne comptait pas sauf à encaisser ses assauts bestiaux, je voyais son regard fou et excité .

Il me tenait les hanches fermement, ses doigts enfoncés dans ma chair, il me maintenait en place, incapable de bouger. Il me forçait à lever les cuisses, mes jambes étaient à la limite de supporter son poids ainsi que le sien, je sentais mes muscles se tendre pour essayer de supporter ce poids. Chaque coup était une ****, je sentais mon corps se déchirer et se rebeller contre la **** de ses assauts. Il sentait mon corps se tendre et il s'en délectait, il gémissait de plaisir et continuait à me pénétrer de plus en plus fort.

Ses gémissements de plaisir se faisaient de plus en plus forts, se mêlant aux bruits de ses coups de reins qui rebondissaient contre mes fesses. Chaque impact était une onde de douleur qui se propageait dans tout mon corps, mais je sentais aussi une excitation perverse qui montait en moi, comme si mon corps était contraint de réagir à la **** de ses assauts. Ses doigts se resserrèrent autour de mes hanches, me tenant fermement en place tandis qu'il continuait à me pénétrer avec ****.

Je sentis avec la brutalité dont il faisait preuve qu'il ne souhaitait pas que cela dure longtemps, son corps commençait déjà à se tendre, sa jouissance n'allait pas tarder. Il me tenait toujours aussi fermement, ses doigts enfoncés dans ma chair, me maintenant immobile et impuissante sous lui. Ses coups de reins se faisaient de plus en plus rapides, de plus en plus violents, et je sentais mon corps se soulever à chaque impact. J'avais l'impression d'être une poupée de chiffon, sans aucun contrôle sur ce qui m'arrivait.

Soudain dans un cri sauvage il éjacula en moi et sortant son sexe sur moi avec une expression de plaisir et de satisfaction, son corps se détendit et il poussa un soupir de soulagement. Il me regardait toujours droit dans les yeux, un sourire sadique toujours présent sur son visage, comme s'il savait que je n'avais pas pu jouir de cette expérience. Il se pencha en avant et me donna un baiser sur les lèvres, un baiser qui était à la fois doux et possessif.

Il se redressa ensuite et se mit à rire, un rire qui me fit frissonner, il sortit un masque pour occulter ma vision.

• les ouvriers vont bientôt revenir du repas ils auront des envies à satisfaire avant de reprendre le chantier et qui sait j'ai deux ou trois amis étudiants qui viendront, ces toilettes sont plus calmes et discrètes. Je reviendrais peut-être ce soir ou demain matin je verrais si les images de la caméra caché son satisfaisantes cela nous fera des images inoubliables.
• non ne me laisse pas ici, ne m'abandonne pas,

Le claquement de la porte seule répondit à ma supplique. Uzachi sentit son excitation grimper en flèche de me livrer ainsi. j'étais seule, vulnérable et exposée dans les toilettes usagées. Il s'éloigna amusée et anticipait déjà ce qui allait m'arriver, en cours il pourrait voir ce qui m'arrivait grâce à la caméra caché qui lui enverrait tout en direct.