Yamanote

Etudiante en université au japon en fin de première année dans le cadre d'un échange scolaire, je revenais d'une petite fête organisée pour la fin de l'année scolaire avant de rentrer dans ma famille d'accueil pour les 2 années à venir, je devais me rendre compte que je n'avais pas le niveau pour boire autant que les japonais.

Je soupçonne que les autres étudiants avaient trouvé amusant de saouler la petite française surtout qu'habillée en étudiante japonaise avec son uniforme j'avais obtenu un petit succès, mais je n'étais pas à mon aise porter un costume qui était fait pour une japonaise que m'avait prêté ma famille d'accueil (j'aurais dû leur montrer le résultat) les tailles japonaises étaient décidément différente de chez nous et mes formes se dessinaient nettement alors que la jupe était dramatiquement courte (j'avais passé la soirée à la tirer pour éviter qu'elle n'en révèle trop) apparemment la petite coquine d'Akiko qui était en France à cet instant avait drastiquement truqué sa jupe.

Seul son grand frère Uzachi en me croisant en sortant m'avait vu et m'avait regardé comme jamais il ne l'avait fait avant, mais avait courtoisement détourné le regard avec une moue significative, ses parents eux venaient de nous laisser leur maison pour aller pendant 1 mois à leur maison en bord de mer pour vérifier les boutiques dont ils étaient les propriétaires.

Désormais je me tenais dans la rame du métro en luttant pour la nausée qui me montait dans les cahots de la rame, ma tête me tournait, je ne m'attendais pas à être entassée mais j'avais oublié que le vendredi les hommes d'affaires sortaient avec les autres membres du bureau pour se souler jusqu'à pas d'heure.

Si j'étais dans mon état normal j'aurais ressenti les regards concupiscent sur une petite gaijin en tenue si provocante et visiblement dans un état d'ébriété non négligeable. Quand je sentis une main se glisser sous ma jupe et une voix me soufflait, alors qu'une autre se glissait dans mon décolleté.

• petite gaijin laisse toi faire, tu vas aimer et savoir ce que nous faisons aux petite filles pas sage qui ne se tiennent pas à leur place. alors que l'on me bloquait contre un recoin de la rame ou personne ne pourrait facilement comprendre ce qui se passait.

l'angoisse m'étreignit, j'avais déjà subit des touchés dans le métro mais jusqu'à présent j'avais pu me tirer aisément, là la paroi me bloquait et de l'autre mon agresseur me recouvrait presque totalement je sentais son excitation et ce salop s'avait s'y prendre entre ses doigts qui agaçait mon téton et son autre main qui avait trouvé mon clitoris j'étais, l'alcool, la promiscuité, je commençais à m'exciter alors qu'il m'embrassait dans le cou.

Doucement il parvint à m'arracher ma petite culotte et mon soutien gorge, clairement ce n'était pas un amateur à son premier coup. Il frottait sa bosse contre la rainure de mes fesses.

je parvins à articuler en gémissant :

• yamete kudasai

mais complètement soule j'avais prise l'intonation du pire des hentai transformant ma supplique en une provocation sexuelle qui ne fut pour lui qu'une incitation de plus, d'autant qu'il sentait clairement l'humidité de mon sexe que l'alcool avait rendu plus sensible et me désinhibait de plus en plus, je commençais à gémir pour me faire taire il me mit son doigt qui s'était introduit dans mon intimité précédemment alors que l'autre main descendait.

• goûte toi petite gaijin tu mouilles, tu aimes ça on dirait, le saké révèle la vraie nature des petites délurées .

complètement dominée, j'obéissais, et je sentais ma cyprine sur son doigt, j'entendis un zip et son sexe se glisser entre mes fesses et commencer à se frotter entre mes cuisses, j'étais totalement paralysée par la peur, le désir, l'excitation, je savais que même si quelqu'un voyait la situation, personne n'interviendrait encore moins pour une gaijin dans une tenue si provocante, pour beaucoup je méritais ce qui m'arrivait.

longuement je sentis son haleine dans ma nuque et son frottement frénétique quand soudain je sentis son sperme jaillir rebondir sur ma jupe et éclabousser mon pubis et couler le long de mes cuisses. j'étouffais un sanglot de honte.

• merci petite gaijin la prochaine fois ne mets pas de culotte et de soutien gorge.

il me relâcha, je sentis qu'il s'éloignait alors que la porte s'ouvrait, avant que je réagisse il avait quitté la rame alors que je tentais de reprendre mes esprits, je mis un temps infini pour me remettre quand j'arrivais à ma station, j'appelais avec mon portable en larme Uzachi pour qu'il vienne me chercher tant j'avais honte de marcher dans les rues de Tokyo dans cette tenue désormais ruinée par cette rencontre.