Dois-je résister à mes désirs?

A nouveau, je suis seule. C'est pour me remonter le moral qu'Edith, une autre collègue de mon âge, divorcée comme moi, à qui j'ai raconté mes aventures et mes déboires, m'invite à sortir avec elle dans une boîte qu'elle connaît.
Elle m'a recommandé de m'habiller le plus sexy possible. Je porte une robe noire à bretelles, moulante et décolletée, assez courte pour que lorsque je suis assise jambes croisées on aperçoive le haut de mes bas et l'attache de mes jarretelles. A travers le tissu, on devine la pointe de mes seins laissée nue par le soutien-gorge. Edith a un regard approbateur en découvrant ma tenue, mais la sienne me bat de très loin.
Sa robe n'est qu'un filet, sous lequel elle est nue à l'exception d'un string. Mon regard se fixe à ses gros seins aux aréoles larges, qui supportent beaucoup mieux que les miens l'absence de soutien-gorge. Elle sourit en voyant ma réaction, s'approche de moi. Je meurs d'envie de sentir sa bouche sur la mienne, mais elle se contente d'effleurer mes tétons de la main à travers ma robe.
"Viens, on y va."
Je la suis, un peu frustrée, mais nous n'avons pas besoin de nous parler pour sentir notre désir mutuel: je sais maintenant que, quoi qu'il nous attende au cours de cette soirée, avant demain matin je ferai l'amour avec Edith.
Dans le club privé où elle m'emmène, nous lions rapidement connaissance avec deux jeunes gens. D'autres couples évoluent autour de nous, au bar ou sur la piste de danse, mais je comprends vite, en regardant certains d'entre eux, que dans cet endroit boire et danser ne sont que les prélimaires à d'autres plaisirs. Déjà, dans les coins de la pièce, des couples se caressent et se déshabillent. Il ne faut pas longtemps à mon cavalier pour m'enlacer et me basculer sur le bar même, au vu et au su des autres clients. Je me laisse faire après un regard à Edith qui va encore plus vite en besogne et qui, un genou en terre devant son propre cavalier, est tranquillement en train de le débraguetter. Ma robe est retroussée sur mes hanches, mon slip glisse prestement le long de mes jambes. Etendue sur le bar, alors qu'un sexe gainé de latex envahit ma fente intime, je vois soudain une deuxième bite apparaître à la hauteur de mon visage. Je la gobe sans résistance, suce ardemment ce nouveau venu pendant que mon cavalier pilonne ma chatte, que des mains dénudent mes seins et les malaxent. Mes deux étalons jouissent presque en même temps, celui d'en haut barbouillant mes seins de semence. Pendant qu'ils me retournent à quatre pattes sur le bar, j'ai à peine le temps de jeter un coup d'oeil à Edith. Son partenaire est maintenant allongé sur le dos et elle le chevauche, tandis qu'un deuxième homme debout devant elle présente son sexe à sa bouche, et qu'un troisième s'agenouille dans son dos et pénètre son anus. Je crains un moment que mes deux partenaires ne veuillent m'infliger un pareil traitement, que je n'ai encore jamais connu, mais c'est heureusement par la chatte que l'homme que je suçais tout à l'heure me prend en levrette. En même temps, mon premier cavalier me donne sa bite à sucer, et je jouis bientôt de nouveau avec mes deux partenaires, pendant qu'Edith satisfait trois hommes en même temps.
Nous revenons chez elle aux aurores, fatiguées mais pas encore rassasiées. A peine dans son salon, nous tombons enlacées sur la moquette. Nos robes, sous lesquelles nous avons négligé de remettre nos culottes, volent bientôt à l'autre bout de la pièce. Nous nous caressons, nous léchons, nous goûtons, essayant chacune de retrouver sur le corps de l'autre la trace des hommes et du plaisir qu'ils lui ont donné. Edith renifle et lèche le sperme séché sur ma poitrine, j'ouvre sa fente encore chaude, lui arrache un petit rire nerveux en pénétrant d'un doigt son anus encore douloureux de la sodomie. C'est la première fois que je fais l'amour avec une femme, mais, l'expérience d'Edith aidant, nous ne tardons pas à retomber sur le tapis, épuisées par l'orgasme.
Au cours des semaines suivantes, Edith et moi nous retrouvons régulièrement pour faire l'amour, à deux chez elle ou en groupe dans le club privé où elle m'emmène à nouveau. C'est une nuit où nous sommes enlacées, nues dans son lit, qu'elle m'avoue:
"Tu sais, depuis peu j'ai un homme dans ma vie. Et tu le connais."
"Ah?"
"C'est Bertrand." dit-elle en me serrant très fort.
...
"Après ce que tu m'as raconté de tes acrobaties avec lui, je me suis dit qu'il faudrait que je l'essaye. On s'est plu, mais il ne t'a pas oubliée. La preuve: il aimerait beaucoup qu'on fasse l'amour à trois... et moi aussi."