Cancre

je profitais d'un moment en fin de cours pour voir mon professeur principal monsieur Tordu (oui cela ne s'invente pas) tous les élèves avaient fuit le bâtiment dès que la sonnerie finale avait retentie, je le trouvais dans la salle de mathématique je grimaçais.

• monsieur Tordu je peux vous parler ?

il me regarda des pieds à la tête, il désapprouvait la mode actuelle qui était à la lolita perverse depuis longtemps il oeuvrait pour le retour de l'uniforme et pourtant cela ne l'empêchait pas de nous reluquer de temps à autre avec mépris mais son regard ne mentait pas.

• oui faites vite ma chère ! j'ai mieux à faire pour des élèves méritants

je pris le soufflet pour ce que c'était.

• justement monsieur Tordu, cela fait deux années que je redouble, j'ai beau faire je n'y arrive pas et si cela arrive encore mes parent m'ont menacés de m'envoyer en Suisse dans l'une des écoles les plus strictes, loin d'eux, de mes amis, de tout.

et Alors c'est une bonne idée vu votre cas c'est clairement l'ultime solution fit-il.

• pitié monsieur Tordu aidez moi je ne veux pas vivre ça.

Il s'arrêta leva ses lunettes, rit et haussa les épaules,

• vous savez que pour y arriver il faudrait que vous ayez de 18 à 20 dans les principales matières dans les 3 derniers mois c'est quasiment impossible sauf à tricher ou à me convaincre à truquer votre carnet de notes, la première laissez moi vous dire que cela n'aura pas lieu et l'autres je ne vois pas pourquoi je ferais ça avec d'autres professeur vu que je ne vous aimes pas vous êtes le type d'élève que j'exècre.
• Pitié je ferais tout, j'obéirais en tout, mon expression corporelle se fit suggestive

il cilla je me doutais que je ne lui était pas indifférente physiquement, bien que je ne savais rien du sexe, je savais comment éveiller l'intérêt des mâles.

• prouvez le moi, déshabillez vous intégralement.

je savais que je n'obtiendrais rien sans rien mais j'étais acculée aussi sensuellement que possible je retirais ma chemise, ma jupe ma culotte, mes chaussettes. Il s'approcha et caressa mes hanches , mes seins, je frémissais.

• tu te doute que cela ne suffira pas
• oui monsieur si vous le demandez je vous appartiendrais pendant ces trois mois, vous ferez de moi ce que vous voulez.
• intéressant accepterais tu de venir chez moi et mon épouse le soir et le week-end ? tu travailleras tes études tout en nous obéissant ainsi que certains prof qui viendraient, j'écrirais un mot sur ton carnet pour faire une offre à tes parents sans allez dans le détail comme la dernière chance.

Si oui je te préviens tu vas passer un sale moment. En échange je consentirais à truquer ton niveau en fonction de mon niveau de satisfaction, mais aussi ta progression, tu es encore vierge ?

je hochais la tête, alors qu'il m'attirait contre lui, je sentais son excitation

• oui monsieur.
• bon d'accord j'ai fait un héritage important, cette dernière année sera la dernière je pense autant voir si une méthode nouvelle et satisfaisante pour moi pourrait marcher, d'autant que mon épouse sauras satisfaire sur toi certains fantasmes donne moi ton carnet.

je lui donnais incrédule mais inquiète qu'il accepte,

• penche toi et écarte les jambes, appuis toi sur le bureau fit il en prenant mon carnet je m'exécutais, alors qu'il écrivait longuement dans mon carnet quand il eut fini, il claqua mes fesses avant de les malaxer un moment avec un tel savoir faire que je commençais à sentir la chaleur monter, mon intimité se mouiller, je me mordais ma lèvre mais je ne pu retenir un gémissement.
• tu es réceptive c'est bien, rhabille toi et file, crois moi tu vas regretter ce pacte. Ah fais signer ce papier qui délègue leur autorité et dégage les accompagnateurs de toute responsabilité lors des activités effectués hors du cadre scolaire.

je me rhabillais

• merci monsieur, il sourit d'un air inquiétant me faisant signe de partir.

je sortis encore émue et massant mes fesses troublées par les sensations qu'elles émettaient en moi je retournais chez moi, et distraite par ces évènements pendants tous le trajet.