Chapter 3
by Teyla
What's next?
Le pacte
Quand ils lirent le mot mes parents étaient consternés en me regardant et en éprouvant un soulagement. D'un autre côté.
- tu te rends compte de la chance Que monsieur Tordu t'offre ?
Contrite mais aussi amusée
- Oui maman.
Avec joie et empressement ils signèrent le carnet et le papier de délégation d'autorité même si j'étais majeure monsieur Tordu prenait ses précautions.
- Je déglutis en espérant ne pas avoir fait la bêtise de ma vie mais pour le moment je n'avais pas le choix.
Comme l'indiquait le mot je devais avoir très peu d'affaires à emmener, j’aurais un uniforme, l'éducation à l'anglaise la plus stricte était stipulée ce qui plaisait à mes parents pour me recadrer.
Mon père rit même en me disant que j'allais avoir les fesses qui allaient rougir si je n’apprenait pas rapidement à me discipliner et que si j'écoutais ils refusaient de me revoir et que ma seule ressource serait la Suisse.
Pendant 3 mois voir probablement plus je serais à la merci de Tordu et mes parents ne sachant plus quoi faire lui donnait sa bénédiction, explicitement je ne les verrais plus pendant cette période ma gorge se serra qu'avais-je fait ?
Je dormis en tremblant et versant un flot de larmes, j'étais adulte mais je me sentais devenir une orpheline pour les 3 mois à venir je comprenais Cosette que l'on avait mené chez les thénardiers, de guerre lasse je m'effondrais de fatigue.
Le lendemain me parents avaient déjà tout préparé pas de technologie, pas de superflu, du change principalement et des affaires scolaires, les livres seraient fournis par Tordu.
Ils arrivèrent tôt au lycée, ou Tordu nous attendait sur le parking une femme superbe mais au regard impitoyable.
Ils se présentèrent la femme était l'épouse de Tordu, chercheuse enseignante en université qui assura à mes parents que si cette tentative fonctionnait elle veillerait à assurer la suite, ce qui ravit mes parents qui déposèrent dans le coffre de celle-ci mes affaires comme demandé.
Mes parents demandant au couple d'être impitoyable pour obtenir un résultat, ce qu'ils approuvèrent avec un amusement certain qui lui ne me rassurait pas au contraire.
Je fis mes aurevoirs à mes parents qui partirent rassurés en même temps que l'épouse, Tordu lui me fit signer un papier qui confirmait que c'était sur mon total accord que tout se réalisait.
Nous nous séparâmes pour la journée, je rejoignis Tordu le soir à son bureau où était son épouse, a mon entrée il dit :
- A poil
Je m'exécutais et restais debout, il se leva, tourna autour de moi, il passa ses doigts sur mes courbes, je sentis son souffle dans ma nuque.
Il me regarda d'un air approbateur, alors que son épouse passait d'un air négligé ses ongles sur mes courbes, regarda mes aisselles.
- tu raseras ça compris ?
je hochais la tête bien que je ne savais pas comment faire.
elle tira les poils de mon pubis me faisant grimacer sous le pincement qu'elle accentua un air satisfaite, elle rejoignit son époux me contemplant longuement me faisant pivoter souvent sur moi même, elle chuchota à son mari mais j'entendis
- son corps est sensible ça va être un délice de le marquer et le faire rougir quand elle ne sera pas à la hauteur.
il sourit, approuva de la tête.
- enfile cet uniforme il désigna un paquet de vêtements tu le porteras à l'extérieur de mon domicile et en cours, la directrice est au courant et approuve l'expérience.
Ce que je fis sans attendre trop heureuse de retrouver un semblant de pudeur malgré la courte jupe que je tentais de tirer tout en me demandant jusqu'où la directrice approuvait l'offre impudique qui accompagnait la partie éducative.
nous sortîmes et croisions la directrice qui eut un regard approbateur,
- je compte sur toute votre rigueur Tordu, ne lui épargnez rien cette petite est un cas qui à part la prostitution n'a guère d'avenir, elle doit comprendre la chance que vous lui accordez, morte de honte je les accompagnais à sa voiture sous le regard interrogateur et réprobateur des autres élèves, à mon grand soulagement il démarra aussitôt.
Chez moi ou dans ce véhicule tu m'appelleras maître et ma femme maîtresse, partout tu ne serreras pas tes cuisses, ni les croiseras, tu ne t'assieras pas sur ta jupe ce sera à même tes fesses, tu baisseras tes yeux en permanence compris ?
Je hochais la tête et tirais sur ma jupe pour la dégager de dessous, je fis la grimace la sensation était perturbante la fraîcheur fut la première sensation sur le sky puis la sensation de coller au siège à cause de la chaleur de mon corps sans la barrière d'une jupe.
Le reste du trajet se fit en silence, quand nous sommes arrivés à une grille en fer forgée.
Derrière une petite maison de gardien, un homme avec deux chiens nous ouvrit, avant de nous engager dans un sentier forestier, Tordu me présenta.
-Jean voici Nadège elle va vivre avec nous pendant au moins 3 mois, elle ne sortira qu'avec moi ou mon épouse compris ? montre tes cuisses à Jean il aime bien ça fit il en faisant un clin d'oeil à celui-ci et donne lui ta culotte désormais tu n'en n'auras plus besoin
rouge de honte j'obéis en remontant ma jupe et tentant de me dissimuler au mieux je descendis ma culotte et le donna par la fenêtre au gardien
-OK monsieur, mademoiselle bonne soirée au plaisir de vous revoir, je vous présenterais mes chiens, ils vous plairont. Sa voix était inquiétante je ne pu réprimer un frisson alors qu'il prenait ma culotte la huma un moment puis la fit sentir à ses molosses qui semblaient apprécier tout en me fixant de manière inquiétante, dans quoi j'avais mis les pieds ?
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Histoires courtes
libre de tout du meilleur au pire
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