Une famille dans la précarité

(WIP renommage des personnage avec le "nouveau" systeme de variables)

Julie vivait dans un petit appartement avec ses parents : (Bruno) Bruno et (Valérie) Valérie DURAND.

Au lycée, Julie n'était pas la plus jolie fille, mais elle n'était pas non plus dans la catégorie des moches.

Ses parents s'étaient connus à l'époque dans ce même lycée d'ailleurs. Le couple resta amoureux, même si quelques temps après la grossesse de Valérie n'était pas prévue, et ils se marièrent avant la naissance de Julie, malgré les avis de leurs familles respectives.
Bruno avait alors dû trouver un emploi pour faire vivre sa petite famille.

Valérie avait maintenant 36 ans et était bien conservée; de plus le régime forcé de ces derniers temps ne lui faisait pas prendre de poids, en gardant également la fermeté de sa poitrine de catégorie C.
Elle avait transmis à sa fille un charme inné, l'éclat de ses beaux yeux. L’héritage ne s’arrêtait pas là, et même si pour le moment ce n’était pas encore fait, la poitrine de Julie pourrait bientôt dépasser celle de sa mère.

Valérie avait l'habitude d'avoir les cheveux courts et bouclés mais Julie préférait laisser pousser les siens et de les attacher avec un ruban. Toutes les deux étaient brunes.

Bruno et Valérie travaillaient à la mine, elle au secrétariat, lui à l'entretient des machines, mais les rumeurs de fermeture du site étaient de plus en plus évoquées.
Les temps était durs, surtout dans une ville minière touchée par la crise. Ils s’inquiétaient tous de plus en plus pour l'avenir de la famille.

Julie avait fêté ses 18 ans la semaine auparavant. Elle avait invité une amie pour la soirée; Valérie avait fait un gâteau et Bruno lui avait acheté une robe bleue, en tissus simple mais joli. Cela avait apporté un peu de bonheur dans cette période d’inquiétude.

Elle avait peu d'amies, elle soutenait ses parents dans cette période, et donc ne sortait pas souvent. De fait, elle avait été progressivement exclue des cercles d'ado qui allaient boire et danser en boite.
Elle estimait que certains sacrifices étaient nécessaires pour permettre à la famille de rester unie.

Elle avait même pris un petit emploi de serveuse dans le restaurant à coté de la mine; mais cela n'ajoutait pas beaucoup au budget familial.
Mais elle avait souvent l'impression que les clients, et même le patron, lui regardaient le cul et la poitrine avec insistance.

Elle demandait souvent à sa mère si elle ne pourrait pas obtenir également un poste au secrétariat, maintenant qu'elle aurait fini le lycée. Cela rapporterait d'ailleurs plus d'argent.

Cet argent semblait nécessaire.
Le propriétaire de l'appartement signalait de plus en plus souvent les retards dans le paiement du loyer; et les repas étaient souvent limités, les commerçants aussi tenaient à être payés.

La situation était précaire, les autres factures s'empilaient de plus en plus, lorsque un jour ....