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En vacances, découvertes

Chapter 1 by mariechristine69 mariechristine69

Premier thread

     Fabienne  est une belle jeune fille. Elle a 19 ans, blonde aux cheveux mi-longs. De beaux yeux noisette, un joli corps qui fait se retourner les hommes sur son passage, un joli minois avec un teint mat, une poitrine plutôt grosse, sans être imposante, ferme comme le sont les jeunes poitrines de sportives. {first_name] est une jeune fille sérieuse. Etudiante en droit, elle travaille durement pour réussir. Ce n’est pas une jeune fille guidée par l’ambition, bien qu’elle n’en manque pas, mais plutôt une de ses personnes qui se lancent dans une entreprise et qui travaillent d’arrache-pied pour arriver jusqu’au bout.

     En ce début d’été, c’est avec une certaine fierté qu’elle monte dans sa nouvelle voiture, cadeau de son père à la suite de son récent succès dans ses études, et qu’elle prend la route pour rejoindre la maison familiale sur la cote bretonne. 

     Quelques heures plus tard, elle arrive enfin à la maison de vacance de sa famille, tout le monde - enfin tout le monde, c’est beau dire, sa cousine et son cousin, sa mère ; se précipite pour l’accueillir. Quand enfin, la joie des retrouvailles s’éteint, elle monte ses affaires dans sa chambre. Elle sort ses vêtements, critique, en se disant qu’il allait falloir qu’elle revoie un peu sa garde robe, « hum, tout ça n’est pas très sexy ». Elle laisse un assez grand paquet, une enveloppe de plastique, au fond de sa valise qu’elle ferme soigneusement a clef.
     Elle passe quelques jours a lézarder, a aller a la plage avec sa famille, malgré l’ennui qui l’envahi imperceptiblement.
     Un jour, elle decide de ne pas les accompagner. Elle prend une bicyclette et elle se dirige vers la petite route qui s’éloigne le long de la cote. Puis, sur la route, elle avise un petit chemin qui monte une colline en direction de la mer. Elle néglige le vieux panneau de bois « propriété privée » et elle s’engage. Apres quelques mètres, elle se met à pousser sa bicyclette. Puis, le haut de la colline passée, elle l’enfourche a nouveau et se laisse descendre doucement le long de la pente qui la mène vers une sorte de petit bois. Juste à la sortie d’un virage, elle freine brusquement. Le chemin longe une vaste étendue d’herbe au centre de laquelle se trouve une vielle maison couverte de lierre. Des chaises longues, une table basse. Ayant probablement entendu son approche, une jeune femme d’une trentaine d’année, avec des cheveux blonds cendres se soulève de la chaise longue sur laquelle elle prenait le soleil, la main en visière elle regarde Fabienne.
     'Bonjour', dit-elle

Fabienne s’arrête, pose un pied a terre.
'Heu je suis désolée, je crois que ce chemin est prive non ?'
La jeune femme rit doucement
'Ne vous inquiétez, c’est prive oui, mais c’est surtout pour rester tranquille vous savez.'
'Oui, j’avais envie de m’isoler un moment et c’était tellement tentant'
'Ne craignez rien, le grand méchant loup ne va pas vous manger'
Fabienne éclate de rire, gagnée par la bonne humeur de la jeune femme. Une seconde jeune femme, brune, aux cheveux courts, se joint à la première
'Je vous présente Virginie, ma cousine'
puis la jeune femme se presente 'Sandra', en tendant la main à Fabienne
'Enchantée', et Fabienne se présente à son tour.
Les rires s’élèvent. Puis la jeune femme, s’installe dans sa chaise longue
'Vous savez, si vous venez seule et si vous êtes discrète, nous ne ferons pas appel à la gendarmerie, revenez quand vous voudrez profiter d’un endroit calme.'
'Ho merci, c’est tellement aimable a vous, je suis désolée si je trouble votre enfin la tranqu…'
'Chuuut ce n’est pas grave, mais je suis sérieuse, si vous êtes seule, n’hésitez pas, venez profiter du calme, plus loin il y a des endroits magnifiques vous savez et quelques petits creux de rocher pour se baigner et par ici, il ne vient heureusement jamais personne.'
'Merci c’est très gentil'
Et Fabienne enfourche a nouveau sa bicyclette et continue son chemin. Plus loin, effectivement, le petit bois entraperçu de la route, avec une immense pelouse comme les landes peuvent donner et plus loin encore, après une petite cote, la mer, des rochers en pentes douces, un petit carre de sable. Fabienne se précipite et fait quelques pas dans l’eau. « Elle est trop bonne, quel dommage que je n’ai pas mon maillot »
Puis elle regarde en direction du chemin, autour d’elle. « Il ne vient jamais personne » songe-t-elle. Ni une, ni deux, elle se déshabille en un tour de main et plonge dans la mer, elle fait quelques brasses puis ressort de l’eau et, attrapant ses vêtements, elle se précipite sur l’herbe pour se sécher au soleil.
Elle s’allonge sur le ventre, un peu gênée de sa nudité, puis elle se gourmande « non je suis seule, elle l’ont dit, et puis, qu’est ce que je risque » et elle se retourne pour bien profiter du soleil.
Elle sent le vent chaud et doux parcourir son corps, caresser son ventre, elle se détend, profite de la douce chaleur du soleil. Apres l’eau fraîche de Bretagne, son corps se réchauffe ? Elle sent les pointes de ses seins durcir, une douce chaleur envahir son ventre. Sans y réfléchir, ses mains caressent son ventre, remontent lentement vers sa poitrine, la prennent sans serrer, puis ses doigts effleurent doucement les pointes maintenant gorgées de sang et érigées comme deux petites tiges de chair.
Lentement les doigts prennent possession des pointes sensibles et les pressent. Fabienne soupire puis les mains reprennent leur lentes caresses du ventre, des cuisses, descendent vers les fesses puis remontent, plus rapidement, comme impatiente et pressent les seins, se saisissent des mamelons et les pressent doucement. Fabienne soupire longuement, frissonne, sa peau fait la chair de poule. Ses doigts pressent a nouveau, plus longuement, les pointes érigées. Puis, avec un petit cri, Fabienne tourne lentement les pointes, les tordant de plus en plus, provoquant des vagues de douleurs qui résonnent dans son corps, des vagues électriques qui la parcourent explosant en vagues de chaleur dans son sexe. Un bruit la fait sursauter. Elle se redresse brusquement, se sentant coupable. Elle regarde autour d’elle, se gourmande « non ce n’est rien, il n’y a personne » pourtant elle ne peut s’empêcher de se relever avec prudence, en regardant tout autour d’elle. Mais une fois debout, elle se dit que, comme cela elle est plus visible et, troublée, gênée, elle se sent encore plus excitée. Elle se laisse doucement retomber a genoux, face au chemin qui remonte a travers le petit bois et ses mains reprennent possession de sa poitrine. Tout en la caressant, son regard parcourt le chemin, essaye de transpercer le rideau d’arbre. Elle pense à Sandra, Virginie, et ses doigts roulent les mamelons durcis, provoquant des frissons, des vagues de désirs qui rendent son sexe plus liquide encore. Elle n’y tient plus et écartant les genoux, sa main gauche tirant une pointe, tordant l’autre, sa main droite glisse entre ses cuisses, son doigt cherche son bouton qu’elle sent dur sous son doigt. Elle le presse, le roule sous son doigt, puis elle se pénètre de son majeur avec un soupir d’aise. Elle remue son doigt en elle, son pouce presse le clitoris dur, ses doigts tirent et tordent ses mamelons et elle jouit en gémissant, la tête en arrière, le ventre se contractant autour de son doigt. Le corps de Fabienne glisse lentement sur le coté, la main toujours entre les cuisses. Fabienne reprend son souffle, rouge de gène et de plaisir, excitée encore. Elle retire sa main, s’allonge sur le dos. Elle essuie nerveusement la main sur l’herbe a cote d’elle puis, sans y réfléchir, elle la porte a son nez, elle sent longuement son odeur, puis elle reporte la main entre ses cuisses, le doigt écarte les feuilles de ses lèvres et plonge en elle puis revient vers sa bouche. Elle se lèche longuement le doigt. Prenant plaisir a goûté son parfum et son goût de femme. Elle recommence plusieurs fois, troublée par son parfum, son goût

Que fait maintenant notre héroïne ?

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