star involontaire

Au bout d'une demi-heure deux étudiants entrèrent et rirent tout en montrant leur dégoût prenant des selfies à mes côtés avant d'ouvrir leur pantalon.

Les deux étudiants, riant et prenant des selfies à mes côtés, semblaient se moquer de ma situation. L'un d'eux, un grand garçon aux cheveux blonds, me montra son téléphone avec une photo de moi, trempé dans l'urine d'Akiko, et me dit : "Tu vas être célèbre sur les réseaux sociaux, salope !". L'autre étudiant, un petit brun aux yeux marron, me montra son sexe en érection, disant : "Maintenant, c'est à mon tour de t'amuser".

Les deux étudiants éclatèrent de rire en me montrant leur sexe en érection, leurs yeux brillant de malice et de mépris. Le grand blond aux cheveux blonds fit un pas en avant, son membre tendu vers moi comme une arme. Il me sourit avec une joie mauvaise, disant : "Tu vas nous sucer, salope, et tu vas nous faire jouir". Le petit brun aux yeux marron se mit à se masturber, ses yeux fixés sur moi avec une avidité obscène.

Le grand japonais aux cheveux noir me força à me mettre à genoux après avoir rallongé mes chaînes, son membre tendu pointant vers ma bouche. Il agrippa mes cheveux, me forçant à le regarder dans les yeux. "Tu vas nous sucer, salope, et tu vas nous faire jouir", répéta-t-il, sa voix froide et dure. Je ne pouvais pas croire ce qui se passait. J'enchaînais les pervers d'une humiliation à un autre humiliation. Je ne pouvais pas m'échapper mais en vérité l'aurais-je voulu ?

Le grand japonais aux cheveux noir me força à ouvrir la bouche, son membre tendu poussant contre mes lèvres. Je sentais son odeur musquée et son goût salé alors qu'il entrait en moi, son gland dur et chaud contre ma langue. Il commença à bouger, ses hanches se soulevant et s'abaissant dans un rythme lent et régulier, ses yeux fixés sur moi avec une expression de domination.

La poussée de l’étudiant est devenue plus agressive, son corps s’écrasant contre le mien à chaque mouvement. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon visage, son emprise sur mes cheveux se resserrant. Je pouvais entendre le son de ses gémissements devenir de plus en plus fort, remplissant les toilettes de chantiers à la japonaise. J’ai fermé les yeux, essayant d’échapper à la réalité de la situation, mais tout ce que je pouvais voir était l’image du visage d’Akiko, souriant et se moquant de moi.

Soudain, j’ai senti le corps de l’homme se tendre, et d’une dernière poussée, il s’est libéré à l’intérieur de moi. Il s’est retiré, me laissant un sentiment de vide et d’utilisation.

Le corps de l'étudiant se relâcha, son poids lourd sur le mien, son souffle chaud contre mon visage. Il resta ainsi pendant quelques secondes, puis se retira de moi avec un grognement de satisfaction. Il se redressa, son regard fixé sur moi avec un mélange de dégoût et de satisfaction. Le petit brun aux yeux marron, qui s'était masturbé pendant l'acte, éjacula sur mon visage, son sperme chaud et collant coulant le long de mes joues. Les deux jeunes adultes éclatèrent de rire, se congratulant mutuellement pour leur exploit.

• bon et puis comme nous sommes dans des toilettes

ils se mirent l'un côté de l'autre et leurs jets me touchèrent absolument partout me maculant des pieds à la tête.

Les deux étudiants se reculèrent, riant et se félicitant mutuellement, tandis que je restais là, couverte de leurs sécrétions. Je sentais le sperme chaud et collant sur ma peau, et l'urine d'Akiko qui avait séché sur moi plus tôt. Ma bouche était sèche et amère, et je pouvais encore goûter le relent musqué de l'étudiant aux cheveux noirs. Je fus envahie par une vague de nausée, mais je ne pouvais pas bouger, encore prisonnière des chaînes qui m'attachaient aux murs.