libérée, humiliée

après une heure Uzachi revint il me regarda comme une bête curieuse qui échappait à sa compréhension. Il me détacha et m'ordonna

• lèche toute cette urine comme la serpillère que tu es sinon je te laisse ici pour une deuxième journée.

Je me mis à genoux, mes jambes tremblant sous moi, et je commençai à lécher le sol avec une répulsion grandissante. L'urine était froide et salée, et elle me brûlait la langue. Je pouvais sentir le relent de laisser-aller et de la dégradation qui émanait d'elle, et je savais que j'allais devoir le porter en moi pendant encore longtemps. Uzachi me regardait, son visage impassible, mais ses yeux brillant d'une lueur de satisfaction sadique.

Avant que je ne comprenne alors que j'étais à quatre patte lui tournant le dos, il s'enfonça dans mon anus, je hurlais.

• le seul endroit qu'il me restait à avilir. alors qu'il tenait son portable et me filmait.

La douleur était insoutenable, comme si on m'arrachait les entrailles. Je sentais son membre dur et chaud me pénétrer avec une **** brutale, me faisant crier de douleur. Je sentais son souffle chaud sur mon cou, ses mains agrippant mes hanches avec une **** inhumaine. Il continuait de me pénétrer avec une **** animale, comme s'il voulait me posséder entièrement.

Je sentais mes larmes couler sur mon visage, mon corps tremblant de douleur et d'humiliation, mais pourtant ma perversion elle avait atteint un niveau de satisfaction jamais atteinte, j'étais comblée.

Le corps d'Uzachi se raidit, et il poussa un cri de satisfaction. Il se retira de moi, me laissant avec une sensation de vide et de douleur. Je restai là, à quatre pattes, tremblante et couverte de sueur, de sperme et d'urine. Je sentais la brûlure dans mon anus, et je savais que je serais meurtrie pendant plusieurs jours.

Uzachi se rhabilla, je t'attend sur le parking avec Akiko, et sortit des toilettes. Quand je sortis totalement nue suintant d'urine séchée je vis que l'université était vide, sur le parking m'attendait l'utilitaire des parents de Uzachi, il m'attendait avec Akiko qui me foudroyait du regard.

visiblement amusé Uzachi me dit

• tu vas salir la voiture monte à l'arrière avec Snoopy.

Quand j'ouvris je vis le grand dogue allemand qui me renifla et me lécha.

Sa langue râpeuse me faisait frissonner, mais je ne pouvais pas bouger, encore sous le choc de ce qui venait de se passer. Uzachi me poussa vers l'arrière de la voiture, et je me laissais tomber dans le grand coffre , à côté de Snoopy qui continuait de me lécher. Akiko monta à l'avant, et Uzachi démarra la voiture, me laissant seule avec le dogue allemand qui me regardait avec des yeux curieux. Je sentais son haleine chaude sur ma peau, et son corps chaud contre le mien.

La route du retour fut longue et douloureuse, les secousses de la route faisant résonner la douleur dans mon corps meurtri. Mais je savais que c'était la seule façon de retourner chez nous, et je ne pouvais que me résoudre à mon sort, Uzachi avait compris mon démon intérieur et il l'alimentait pour le satisfaire.

Les secousses de la route firent résonner la douleur dans mon corps meurtri, et je me laissai aller contre le côté du coffre, essayant de trouver une position qui atténuerait un peu la souffrance. Snoopy, sentant mon mouvement, se rapprocha de moi, son museau froid contre ma joue. Il me lécha le visage, et je sentis son souffle chaud sur ma peau, ce qui me fit frissonner malgré la douleur.

enfin je reconnus les gravillons de la propriété des parents d'Uzachi et de Akiko nous stoppions pas loin des parkings qui étaient isolé de la maison. Ils me firent descendre sur les gravillons je grimaçais à cause des piqures sous la plante des pieds, pendant que Snoopy continuait à me renifler quand il s'écarta alors qu'un jet d'eau froide me frappait.

L'eau froide me frappait comme un coup de fouet, me faisant sursauter et pousser un cri de surprise. J'étais debout, les gravillons sous mes pieds, et l'eau me ruisselait sur la peau, refroidissant instantanément la douleur qui me brûlait encore à l'intérieur.

L'eau froide me frappait encore, me faisant claquer des dents, mais je ne pouvais pas bouger, incapable de supporter le choc de la réalité. Je sentais mon corps trembler sous l'effet de la douleur et du froid, mes genoux menaçant de se dérober sous moi. Snoopy, qui s'était écarté à la première goutte d'eau, se rapprocha de moi à nouveau, sa queue battant doucement, comme s'il cherchait à me réconforter.

la voix d'Akiko s'éleva,

• tu ne croyais pas que j'allais te laisser souiller la demeure de mes parents,

elle continua longtemps à m'arroser

, l'eau froide me ruisselait sur la peau, me faisant frissonner de douleur et de froid. Snoopy, qui s'était rapproché de moi, se mit à aboyer, comme s'il cherchait à protester contre ce traitement. Mais Akiko ne s'arrêta pas, elle continuait à m'arroser, me faisant claquer des dents, mes genoux menaçant de se dérober sous moi.

Je sentais mes yeux se remplir de larmes, mais je ne pouvais pas les laisser couler, je devais supporter ce supplice.

Uzachi lui posa la main sur l'épaule pour qu'elle arrête, elle le foudroya du regard, elle me cracha dessus.

-vous avez tout gâché et toi petite pute je te hais tu me le paiera.

Uzachi posa au sol une grande serviette au sol et mes vêtements,

• nous t'attendrons dans la salle principale nos parents ne sont pas là pendant une semaine, avec Akiko en colère contre toi je sens que ta perversion va être comblée au-delà de ce que tu peux l'imaginer, et je vais me faire petit, je ne pourrais pas grand chose pour toi.

il s'éloigna rapidement pour rejoindre sa soeur, je restais seule nue, gelée et trempée.

Tremblante et frissonnante, essayant de reprendre mes esprits. Je m'enroulais dans la serviette qu'Uzachi m'avait laissée, essayant de réchauffer mon corps transi. Snoopy, toujours à mes côtés, me regardait d'un air inquiet, sa queue fouettant doucement le sol.

J'ai pris un moment pour m'essuyer et m'habiller à nouveau, essayant de rassembler mes forces pour affronter ce qui allait suivre.

Je me suis approchée de la maison, mes pieds nus faisant craquer les gravillons sous mon poids. La serviette que j'avais enroulée autour de moi commençait à perdre de son efficacité, et je pouvais sentir le froid se glisser à nouveau dans mes os. Snoopy, toujours à mes côtés, me lançait des regards anxieux, comme s'il sentait mon appréhension. Je respirai profondément, essayant de me préparer à ce qui m'attendait à l'intérieur.

Je m'habillais au mieux pour ne pas ajouter à la fureur de Akiko

. Mes doigts tremblaient encore, mais je parvins à boutonner ma chemise et à enfiler ma jupe. Je jetai un dernier coup d'œil à Snoopy, qui me regardait avec une expression de compassion. Je lui fis un signe de tête pour le remercier de son soutien et m'avançai vers la porte d'entrée.

Je tournais la poignée et poussai la porte doucement, me préparant au pire.