le fond de l'humilation

le calme se fit je sentais le sperme couler, les crachats et pourtant j'étais toujours excité, la porte s'ouvrit un sourire se fit entendre avant que quelqu'un ne se mette à rire, un rire cruel qui semblait s'attarder dans l'air comme un relent de haine. Je sentis des pas qui approchaient, des pas légers et précautionneux qui semblaient étudier ma réaction. Mon cœur se mit à battre plus vite, je ne savais pas qui était cette nouvelle personne, ni ce qu'elle allait me faire.

La voix qui se fit entendre ensuite me fit trembler de peur. C'était une voix de femme, une voix douce et mélodieuse qui semblait se moquer de moi. "Tu as aimé, hein ?"

c'était Akiko.

• Mon frère m'avait raconté mais je ne croyais pas que tu pouvais aller si loin dans le débauche il a raison tu es un sace à foutre.

elle me retira le masque qui occultait ma vision

elle grimpa sur les deux barres longeant les toilettes je sentis la chaleur de son corps se rapprocher du mien, son odeur féminine envahissant mes sens déjà saturés par les relents de sperme et de sueur. Akiko se mit à fait face à moi, ses yeux brillant d'une lueur de perversion, elle écarta les jambes et se mit à s'asseoir sur mon visage, son sexe féminin pulpeux et mouillé s'appuyant sur mes lèvres. "Lèche, salope" répéta-t-elle, sa voix douce et mélodieuse contrastant avec la brutalité de ses paroles.

Le poids d’Akiko s’abattait sur mon visage, son humidité s’infiltrant dans ma bouche. Je pouvais goûter le goût salé de son excitation et je pouvais la sentir trembler de plaisir. Je n’arrivais pas à croire ce qui se passait. J’étais utilisé comme des toilettes, un jouet, une source de plaisir pour ces gens.

« Lèche-moi, salope », répéta Akiko, sa voix dégoulinante de malice. Je pouvais entendre le son de sa respiration s’accélérer alors que j’obéissais, ma langue s’élançant pour la goûter. J’ai senti ses mains saisir mes cheveux, me rapprochant alors qu’elle appuyait ses hanches contre mon visage.

Je sentis les mains d'Akiko se resserrer sur mes cheveux, me forçant à enfouir mon visage plus profondément entre ses cuisses. Son sexe pulpeux et mouillé s'appuyait contre ma bouche, et je pouvais sentir les contractions de son corps à mesure qu'elle se rapprochait de l'orgasme. Sa respiration s'accéléra, devenant des halètements courts et rapides, et ses hanches se mirent à bouger d'un mouvement circulaire, me forçant à suivre le rythme de ses mouvements.

Les doigts d'Akiko se resserrèrent encore un peu plus sur mes cheveux, me faisant gémir sous la douleur. Mais elle ne semblait pas se soucier de ma détresse, trop occupée à chercher son plaisir. Ses hanches se soulevaient et descendaient de plus en plus vite, ses mouvements devenant de plus en plus brusques. Je sentais son sexe pulpeux et mouillé qui glissait sur ma bouche, laissant des traces de son excitation sur ma peau.

Je continuais à lécher et à sucer le sexe d'Akiko, sentant ses hanches se soulever et s'abattre sur mon visage avec une **** et une fréquence croissantes. Sa respiration était devenue haletante, et ses gémissements devenaient de plus en plus forts. Je pouvais sentir son orgasme approcher, et je savais que je n'avais pas d'autre choix que de continuer à lui donner du plaisir.

Je parvins rapidement à lui tirer un orgasme fabuleux probablement par le situation dans laquelle j'étais.

• AHAHHH ouiiii salope, prend ça pour avoir trahis notre amitié.

un jet doré me percuta le visage, pénétra ma bouche coula le long du corps, elle m'urinait dessus.

Le jet d'urine chaud et acide me brûlait la peau, mais je ne pouvais pas bouger, toujours maintenu en place par les mains d'Akiko qui me saisissaient les cheveux. Elle se laissa aller à un rire sadique, son corps secoué de spasmes de plaisir, tandis que son urine continuait à couler sur moi, m'imbibant de son odeur amère. Je sentais son sexe encore pulpeux et mouillé qui me touchait la joue, et sa respiration haletante qui réchauffait mon oreille.

Akiko se releva lentement, son corps encore secoué de spasmes de plaisir, et me laissa tremper dans son urine chaude et acide. Je sentais son liquide dégouliner le long de mon corps, sur mon visage et mes cheveux. Elle regarda en bas, un sourire sadique toujours collé sur son visage, et me cracha dessus, une goutte de salive atterrissant sur mon front. "Tu es vraiment une salope", dit-elle en secouant la tête, avant de se tourner pour partir.

Akiko se tourna vers la porte et la poussa, laissant la lumière du couloir inonder la pièce. Je clignai des yeux, ébloui par la soudaine intensité de la lumière. La porte se referma derrière elle avec un clic, me laissant seul dans le silence oppressant de la salle de bain. Je restai immobile, mon corps tremblant de douleur et de honte, mon visage et mes cheveux encore imbibés de l'urine d'Akiko.

Je sentis les larmes monter à mes yeux, mais je les retins, refusant de pleurer.